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Bonne nuit Album Photo 216359

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Amitiés

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Merci !!!!!!

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Merci Severlow

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Merci Severlow

Nombre de messages : 215 Date d'inscription : 06/07/2007

Bonjour,superbe photos,trés émouvantes,lorsqu'on les regarde,on imagime bien les souffrances qu'ils ont du endurer.
Salutations.

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Comme on me l'a expliqué, la photo du fantassin semble une mise en scène du photographe pour montrer la lassitude des fantassins confrontés aux incessantes attaques et contre attaques, commandées par le général Nivelle, qui se servira de nos soldats comme "chair à canon"! Pétain y mettra fin en prenant le commandement!

Il regarde à l'opposé de là où est son vélo, le brelage à terre! le vélo est posé comme le font les civils, le regard vague et malgré tout, semble soulagé!

Je n'ai pas la prose pour décrire la photo comme on me l'a fait, mais dans l'ensemble, c'est ça!

Amitiés

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Montée au front à couvert

Album Photo Montee10

guerre ou pas guerre, tea time

Album Photo L_heur10

du côté français

Album Photo Front_10

La vie au front

Album Photo La_vie10

Amitiés

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Front anglais

Album Photo Front_11

La boue, les rats, la vermines, le marmitage incessant, les alertes aux gaz, les corvées continues! dans la chaleur ou dans le froid!

Remplissage de sacs

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tombes d'aviateurs anglais

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Arrivée des premières troupes US

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chambre d'hopital militaire

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Avant Verdun

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Char français, ce qu'il en reste!

Album Photo Char_f10

amitiés

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La derniere photos scratch

Prisonniers ou rencontre amicale ????? après le ras le bol des combats et de la boucherie , des deux cotés !!!!!!!

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Merci !!!

La au moins , je puis me rendre compte de leur malheur !!!!

Avez vous vu les arbres , dénudés , hachés , le paysage de la mort !!!!!!

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Comme le film, "joyeux Noël" quoi que dise le H commandement, les périodes de fraternisations ont été plus nombreuses qu'on ne le pense!

Ici, il s'agit de prisonniers allemands et de soldats anglais, à la fin de la guerre, l'un deux a respiré du gaz au fond d'un trou! le gaz étant plus lourd que l'air, il ne faisait pas bon se réfugier dans des trous d'obus!

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Magnifique film que "Joyeux Noël"

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Merci Severlow

Oui, paysage lunaire, plus rien ne subsiste, que la terre remuée par les obus.

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Merci pour les précisions !!!!!!

Si tous les gars du monde ...............

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vu l'état du terrain, il ne restait plus rien pour se planquer!!!

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Sujet: Re: Album Photo Jeu Sep 25 2008, 15:16

l'enfer des guerres!!!!

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Les étrangers

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Sir Douglas Haig, commandant en chef de l'armée britanique, félicite les artilleurs canadiens qui ont percé la ligne Drocourt-Quéant dans le secteur d'Arras les 2 et 3 Septembre 1918

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Entre octobre 1915 et mai 1916, 185887 volontaires canadiens s'engagent dans la guerre.
Ici départ de la Colombie-britannique

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Fantassins Anglais dans une tranchée. En premier plan, le major Richardson et son chien sentinelle. les équipes cynophiles sont nombreuses et les animaux ont des rôles définis : porteur, patrouilleur, estafette ou télégraphiste.

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Sikhs, Gurkhas et Punjabis en terre inconnu

le corps indien de l'armée britanique arrive en france à l'automne 1914. Rodès aux manoeuvres dans les montagnes Afghanes, ces hommes ne sont pas préparés à la guerre de position.

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Les "Marines" débarquent en premier sur le sol Français.
Au printemps 1918, ce sont 200000 soldats qui arrivent chaque mois.

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Le 26 Juin 1917, les premiers navires arrivent à Saint-Nazaire.
A bassens en Gironde, vingt bâtiments peuvent décharger en même temps.

Les étrangers de l'armée Française

Goumiers Marocains, Spahis Algériens, tirailleurs Sénégalais ou soldats Indochinois......
Tous les hommes de l'Empire colonial français sont mis à contribution pour combattre l'ennemi.
78000 d'entre eux meurent au champ d'honneur

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La légion

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En 1914, une unité de la légion, képi sur la tête, se rend sur le front.
le 1er janvier 1915, elle compte entre autre dans ses rangs:
4913 Italiens, 3396 Russes, 1467 Suisses, 1462 Belges, 1369 Austro-Hongrois, 1072 Allemands de l'est du pays, 869 Espagnols, 592 Turcs, 541 Luxembourgois, près de 500 Arméniens et environ 200 Américains.

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Le 1er régiment de marche prêt à monter à l'assaut, en Juillet 1916.

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A la fin du conflit, le drapeau de la légion est le plus décoré de l'armée Française avec celui du régiment d'infanterie coloniale du Maroc.

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Se soigner pour vivre, être propre pour être digne

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L'hygiène dentaire, négligée au début de la guerre, devient au fil des mois un impératif autant sanitaire qu'opérationnel !
Progressivement, chaque poste de secours régimentaire se voit adjoindre un ou deux dentistes auxiliaires mobilisés

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Constituées d'un trou à même le sol, ces latrines baptisées, "feuillées" apparaissent comme luxe dérisoire quand plus de deux millions d'hommes de part et d'autre du front, vivent dans la promiscuité des tranchées

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la question de l'hygiène est une préoccupation constante des autorités militaires, qui entendent d'abord limiter les épidémies.
Des douches de campagnes sont installées à l'arrière de la zone des armées.

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Dans l'argot militaire du XIXème siècle, le nom de poilu sert d'abord à désigner un brave qui à du poil ..... au bon endroit.
Après les premiers combats, le terme, employé par les civils, sert à distinguer le "brave" soldat du "bleu" ou du "planqué".
Avec la généralisation des tranchées apparaît alors la légende de soldats qui ne se rasent plus .......

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Le ravitaillement et les popotes

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Le riz replace les pommes de terre

Si, au même titre que les haricot rouges et les pâtes, le riz constitue l'un des aliments de base du poilu, cela est encore plus vrai pour l'ensemble des troupes coloniales.
face à la pénurie de pommes de terre et de légumes frais, on expérimente alors plusieurs formes de riziculture en Camargue, destinées en priorité aux armées.

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En 1914, les armées traînent derrière elles de nombreux troupeaux ovins et bovins. De vastes parcs de bétail sont établis dans les armées, corps d'armée et dividions. Des sections de ravitaillement en viandes fraîches (RVF) sont crées. Elles permettent de disposer de produit frais sans se soucier de leur conservation !
On est cependant obligés dès 1915, de recourir à l'importation massive de viande congelé en provenance notamment d'Argentine.

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En moyenne, chaque soldat à droit quotidiennement, à 700 gr de pain biscuité, 400 gr de viande, 80 gr de légumes sec, 80 gr de féculent, 40 gr de sucre, autant en café, de la graisse ....Passée d'un quart à un demi litre, la ration de vin fait l'objet d'une attention constante de la part des autorités. Chaque armée fait fonctionner 2 à 3 boulangerie de campagne comptant chacune 32 fours pour une centaine de véhicules. A charge pour chaque cuisinier de rompre la monotonie des repas. A la fin de la guerre, les troupes sont mieux nourries que le reste de la population, qui souffre du rationnement et de l'inflation des prix

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Pour garder le moral

Le Courrier, moment privilégié.
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la distribution du courrier est le premier facteur de maintien du moral.
dans un secteur postal de l'arrière comme celui de Rouen, on enregistre jusqu'à 6 millions de lettres par mois

Moment de détente.
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La musique et la peinture représentent deux loisirs particulièrement répandus, car facilement praticable en extèrieur, comme ci-dessus, dans un camp Doughboys Américains, ou ci dessous en 1915 chez les français.

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Au théâtre

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Sarah Bernhardt, lucienne Bréval ou la Dussane sont au nombre des vedettes qui acceptent d'éffectuer une tournée à proximité du front, dans les cantonnements de repos. Encouragé par les autorités militaires, le théâtre aux armées propose des pièces légère et joyeuses

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Les "perms" de Pétain

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Afin de mettre fin aux mutineries de 1917, le général Pétain accorde une attention toute particulière aux conditions de vie des soldats.

Il réforme en profondeur le régime de permissions qui prend, dans le jargon militaire, le titre de "régime des permissions à la Pétain".

Le succès est immédiat et simple à comprendre.

le permissionnaire est pris en charge dès qu'il quitte sa tranchée et son train est prioritaire sur les autres convois, munitions y compris.

Pétain décide aussi d'augmenter le nombre des permissions et rend leur attribution plus juste.
En tout, un soldat français aura bénéficié en moyenne de 60 jours de permissions en quelque 1600 jours de guerre.

un record dans le camp de l'Entente.

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Merci CA

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