le chateau d'itter 45.

Suite au jeu, sur la photo montrant le lieu du chateau d'itter! Avec Gamelin et Paul Raynaud!

Saviez vous, que notre joueur de tennis Borotra, qui comme suite à la réponse de 06/81, lui était aussi le roi de l'évasion?
c'est pour cette raison que il l'on transféré à Chateau Itter!

Ma source pour l'histoire c'est juste une petite partie sur sa bataille à travers le journal Allemand, "Der Spiegel"  (le miroir traduit).

Citation :

Bataille du château d'Itter
Affrontement dans les Alpes

Un monde à l’envers : début mai 1945, les GI et les soldats de la Wehrmacht combattaient côte à côte. Votre adversaire : la Waffen-SS. Il y a eu une confrontation dans un château médiéval - dans le meilleur style du western.
24 février 2015, 12h55



Colosse d'acier : avec des chars Sherman comme celui-ci, les Américains avancèrent dans le Tyrol en 1945. Lorsque le capitaine Jack Lee a appris l'existence des prisonniers français au château d'Itter, il s'est précipité à leur secours avec son allié allemand, le major Josef Gangl.
Photo : Armée américaine/Steven Zaloga



Forteresse de montagne : Les Alliés avancèrent avec beaucoup de prudence dans la région alpine. La rumeur courait que les Allemands avaient parsemé le paysage de forteresses afin que le combat puisse continuer longtemps. Cependant, la soi-disant forteresse alpine s'avère être une légende. Sur la photo : des officiers britanniques de la sixième division blindée lors d'un briefing en Autriche.
Photo : Archives d’images du patrimoine culturel prussien



Impact : La Waffen-SS bombarde le château d'Itter avec un canon anti-aérien le 5 mai 1945. Ici, l'ancien Premier ministre français Paul Reynaud et le général Maurice Gamelin sont photographiés dans une salle durement touchée.
Photo : ÉRIC SCHWAB/AFP



Pose de la victoire : Avant de partir, les Français se sont fait photographier avec un GI devant le château d'Itter lourdement bombardé en guise de souvenir. Sur la photo (de gauche à droite) : le général français Maurice Gamelin, l'homme politique Michel Clemenceau, un soldat américain et l'ancien premier ministre Paul Reynaud.
Photo : ÉRIC SCHWAB/AFP



Dernier combat : Contrairement aux hommes fanatiques de la Waffen-SS, ces garçons en uniforme étaient heureux de leur capture : la guerre était finie pour eux. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, les dirigeants nazis n’hésitèrent pas à envoyer des jeunes et des vieillards dans une bataille désespérée.
Photo de : imago



Trutzburg : Les origines du château d'Itter remontent au début du Moyen Âge. Les bâtiments actuels datent en revanche pour la plupart du XIXe siècle. Cinq ans après « l'annexion » de l'Autriche au Reich allemand, le gouvernement a exproprié le propriétaire.
Photo de : Corbis



Jour de la Libération : Le 29 avril 1945, les troupes américaines atteignent le camp de concentration de Dachau, près de Munich. Le château d'Itter, situé au loin, fonctionnait comme un sous-camp du camp de concentration bavarois, où étaient internés les « prisonniers d'honneur » français. Les prisonniers du camp de concentration transférés de Dachau à Itter ont été contraints d'y travailler.
Photo : Archives d’images du patrimoine culturel prussien



Suicide au château d'Itter : Le dernier commandant du camp de concentration de Dachau, Eduard Weiter, s'enfuit fin avril 1945 au château d'Itter, où il se suicida le 2 mai. Son suicide a conduit le commandant local, Sebastian Wimmer, à fuir avec ses hommes, laissant les Français capturés sans défense.
Photo : Archives nationales



Sunnyboy : Jack Lee (à droite) était populaire auprès de ses hommes en raison de sa détermination ; il avait presque toujours un sourire aux lèvres. Également sur la photo (de gauche à droite) : le lieutenant John Powell et le participant à la bataille Harry Basse.
Photo : Robert D. Lee



Victime de la dernière bataille : Josef Gangl en avait assez de la guerre en 1945. Ce soldat de métier avait combattu contre les Alliés en Union soviétique et en Normandie. Lorsqu'il atteint l'Autriche avec les derniers survivants de son unité, il soutient le mouvement de résistance autrichien. Il est tombé en défendant le château d'Itter.
Photo : Archives nationales



Invasion : En mars 1938, les troupes allemandes envahissent l'Autriche. Alors que de nombreux habitants de la république alpine célébraient le « chef » Adolf Hitler et « l'annexion » de l'Autriche au Reich allemand, la persécution des Juifs et des opposants par la Gestapo commençait. Le dictateur allemand reçoit ici les hommages de ses partisans à Vienne, à la mi-mars 1938.
Photo : Archives d’images du patrimoine culturel prussien



L'amour en captivité : Léon Jouhaux (à g.) était l'un des dirigeants syndicaux les plus influents de France avant la guerre et participa activement à la résistance contre l'occupant allemand. Par amour pour Jouhaux, gravement malade, sa compagne Augusta Bruchlen fut également emprisonnée au château d'Itter. La photo montre Jouhaux et le journaliste américain Meyer Levin début mai 1945.
Photo : ÉRIC SCHWAB/AFP



Deux bouteilles de vin par semaine : les anciens « prisonniers d'honneur » français sortent de leur prison le soir du 5 mai 1945. Malgré la privation de liberté, leur vie était relativement luxueuse, contrairement à celle des détenus « normaux » des camps de concentration. Chacun recevait deux litres de vin par semaine et une sorte d'argent de poche pour ses achats personnels.
Photo : ÉRIC SCHWAB/AFP



Disputes et querelles : Certains « prisonniers d’honneur » passaient leur temps en captivité en cultivant leurs animosités. L'ancien Premier ministre Paul Reynaud et son prédécesseur Édouard Daladier (à g.) partageaient notamment une inimitié intime qui s'est traduite par de nombreuses railleries. Vu sur la photo : Daladier et le général français Maurice Gamelin.
Photo : ÉRIC SCHWAB/AFP



Grande sœur : Marie-Agnès Cailliau a été incarcérée avec son mari au château d'Itter pour une raison et une seule. Son nom de naissance était : de Gaulle. Son jeune frère Charles était commandant des « Forces françaises libres », qui poursuivirent la lutte contre l'Allemagne après la capitulation française en 1940. A gauche, son mari, à droite, un soldat américain.
Photo : ÉRIC SCHWAB/AFP



Capitulation : Le 8 mai 1945, la Wehrmacht allemande se rend sans condition. Ces soldats de la Waffen-SS furent également envoyés en captivité en Carinthie. Leurs camarades avaient déjà tenté de prendre d'assaut le château d'Itter.
Photo : Archives d’images du patrimoine culturel prussien



Roi de l'évasion : Jean Borotra, homme politique et star du tennis (surnom : "le Basque sauteur"), a également été interné au château d'Itter. Là, le Français a inquiété ses gardes : Borotra a tenté à plusieurs reprises de s'échapper. Lorsque la bataille d'Itter fait rage, il se déguise en agriculteur autrichien, échappe à ses poursuivants et révèle les positions ennemies aux Américains qui se précipitent à son secours.
Photo : Archives nationales



Un bon nazi ? Un officier de la Waffen-SS s'est également battu contre ses propres camarades lors du siège du château d'Itter : le Hauptsturmführer Kurt-Siegfried Schrader avait reconnu que la guerre était perdue pour l'Allemagne et voulait éviter d'autres morts.
Photo : Archives nationales/John Moore

Et pour la dernière!


Héros tragique : le capitaine Jack Lee a acquis une certaine renommée en tant que défenseur du château d'Itter. Dans la vie civile, l'Américain a été aux prises avec des problèmes d'alcool et a divorcé à plusieurs reprises.
Photo : Robert D. Lee