Nombre de messages : 343 Age : 60 Emploi : invalide et presque à ma retraite. Date d'inscription : 22/12/2023
Sujet: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich. Ven Fév 02 2024, 13:01
Bonjours à tous, je poste ce nouveau sujet dans cette catégorie, puisque oui bien sûr, jusqu'après la seconde guerre mondiale, il faisait encore parler de lui. Donc non il n'était pas mort comme certains l'avait laissé présager dans certains livres. Puisque on retrouve bien le même Otto Rahn, après la seconde guerre mondiale au moyen orient.
Qui était donc ce fameux Otto Rahn? En clair, oui Otto Rahn, avait suivit sa passion dévorante qui était la recherche de la vérité suivant les anciens récits. Et notamment en suivant le récit de "Perceval" pour retrouver le Graal sacré. Et ici donc, on parle de chasse au Trésor. Et ici on parle de l’Occitanie, et de nos Pyrénées.
Mes sources d'ancien journaux. Je mettrais bien sûr le titre et l'auteur du récit, à la fin de chaque article.
Citation :
CHRONIQUE LOCALE ET DEPARTEMENTALE
Découvertes allemandes dans nos Pyrénées Sous ce titre M. Robert Pi trou a publié récemment dans la Liberté du Sud-Ouest un article intéressant et documenté sur le Graal qui, ou le sait, est la coupe qui aurait servi à la Sainte Cène et dans laquelle, par la suite, Joseph d'Arimathie aurait recueilli le sang du Christ, sur les Cathares qui auraient possédé le Graal et plus généralement sur les légendes tirées de nos vieilles chansons de geste, notamment des poèmes de Chrestien de Troyes, qui furent repris au commencement du xiiiè siècle par un poète franconien Wolfram d'Eschenbach et mis plus tard en musique par Wagner dans ses opéras si connus Lohengrin, Tanhaüser, Parsifal, etc.
Or la terre ariégeoise serait directement intéressée à ces légendes qui relateraient, avec tous les embellissements et la magie de la poésie, des faits qui, autrefois, se seraient passés chez nous. Voici ce que dit à ce sujet M. R. Pitrou, auquel nous ne pouvons que laisser, dans les extraits que nous faisons, la responsabilité de ses déclarations et déductions :
... Un jeune érudit allemand, M. Otto Rahn, avait le pressentiment que les localités (et même les légendes), mentionnées par Wolfram d'Eschenbach, dans son long poème, pouvaient parfaitement être situées en terre française. Or, Wagner lui-même et tous les savants à sa suite, plaçaient dans les Pyrénées espagnoles, sur le Monserrat, non loin de Barcelone, le « Montsalvat », la Montagne sainte où. sous la garde de preux chevaliers, était, dit-on, conservé le Graal. Montserrat, Montsalvat, c'était à peu près la seule analogie Or, en interrogeant non seulement les textes, mais les lieux (et ce fut pas toujours facile), M. Rahn a découvert, dans nos Pyrénées ariégeoises, la clef du poème allemand et, du même coup, le véritable sanctuaire du Graal. Ce sanctuaire, c'est Montségur (mons securus : la montagne de l'abri), dans le massif du Sabarthès, au sud de Foix, et non pas ce Monserrat espagnol, où Saint Ignace de Loyola composa, à l'aurore du xviè siècle, ses Exercices spirituels... Avouez que cette restitution du Graal à la France par des mains allemandes, ce n'est pas banal.
M. Rahn a fouillé, avec courage, ces grottes du Sabarthès, où les gens du pays ne s'aventurent jamais. Mais, comme je le disais à l'instant, il a fait parlée aussi les livres. Et c'est ainsi qu'il a établi que le Parzivâl allemand, ou, si vous préférez, le Perceval français, (Perceval : qui perce bien), c'est le vicomte de Carcassonne, Treucavel : (qui tranche bien). La mère de celui-ci, Adélaïde de Carcassonne, c'est Herzeloïde, mère de Parzivâl; le Castis franconien, c'est Alphonse le- Chaste, roi d'Aragon Bref, ce poème allemand si connu, se passe chez nous; et ies détenteurs du Graal ce sont tout bonnement nos troubadours et les Cathares. Faut-il rappeler ici que le xiè siècle fut, pour l'Eglise catholique, une période ou ne peut plus critique ? Nous sommes toujours tentés de nous croire à une époque de décadence religieuse : allez voir un peu celle là. Jamais, peut-être, l'Eglise n'a couru pareils dangers. D'une part, un clergé oublieux de sa dignité, livré au luxe, à toutes les faiblesses humaines, et de plus en plus déconsidéré dans l'opinion publique ; de l'autre, quelques isolés clairvoyants qui appellent à grands cris une réforme radicale, mais prêchent dans le désert. La Romanie, c'est-à-dire l'Aquitaine, le Languedoc et la Provence, pays riches, de vie facile et tolérante, où la civilisation est très en avance sur celle du Nord n'échappent pas à cette déchéance morale et religieuse. Voir des prélats voyager en somptueux équipage, des prêtres ou des moines, assoiffés d'argent ou de plaisirs, c'était malheureusement trop fréquent, et cela faisait la partie belle aux « réformateurs », d'où qu'ils vinssent. Ainsi naquit l'hérésie vaudoise : Pierre Waldo, négociant lyonnais, outré de la non-conformité des mœurs cléricales avec l'Evangile, levait l'étendard contre l'Eglise. En même temps que lui, apparaissaient, plus dangereux encore, les Cathares. Et ce sont eux qui vont nous ramener à notre Graal et nos Pyrénées.
Car, c'est un fait que le Catharisme, qui mit sérieusement en péril l'existence môme de l'Eglise romaine, s'est recrulé en grande partie et propagé parmi les troubadours. M. Otto Rahn commence le curieux livre dont la traduction française va paraître, par une revue de cette joyeuse et légère cohorte que constituaient les Peire d'Auvergne, les Arnaut de Mareuil, Geoffroy Rudel, Guiraud de Borneil, Bertrand de Boni, et leurs mécènes, les Plantagenet, les comtes de Toulouse, avec les vassaux, les vicomtes de Béziers et Carcassoune, comtes de Foix, etc.
« Joyeuse et légère cohorte », disions nous. Et en effet, elle offre un bien singulier mélange de relâchement moral et de puritanisme rigide. Le tort de Rahn, à notre avis, c'est de prendre frénétiquement parti pour le catharisme, contre ce qu'il appelle, d'une expression assez mélodramatique : « le Louvre et le Vatican ». Eh bien, uon 1 La lecture des faits oblige à convenir que ces « joyeux drilles », comme les appelle lui-même notre auteur, ne se surveillaient pas davantage que le clergé, à de rares exceptions près. C'est très bieu de proclamer, pour réagir contre le laisser-aller des mœurs contemporaines, que « d'amormou caslilaz », autrement dit, que l'amour doit être pur; mais que d'exemples nous sont cités, qui ne prouvent pas précisément grande vertu chez ces dames, autour desquelles rôde le désir ! Beaucoup d'entre elles se défendaient mal, elles jouaient d'ailleurs un jeu dangereux, et le flirt n'est pas d'aujourd'hui ! Les troubadours, de leur côlé, quand ils ne voyaient pas « couronner leur flamme », se consolaient à bon compte .. Tout cela, tel que nous l'expose M. Rahn, n'a rien de très édifiant, et l'on peut, à bon droit, s'étonner de voir ce milieu troubadour donner presque intégralement dans l'hérésie des « purs ». Cathare, eu effet, signifie « pur ». Et, de môme que les adeptes de cette secte s'abstenaient de nourriture carnée, de môme, fidèles à leur théorie de l'amour platonique, ils renonçaient à l'amour charnel. Mieux encore : cette terre était pour eux une création manquée, un enfer, et l'on avait le droit après un jeûne sévère, nommé Endura, de se donner volontairement la mort .. Ces terribles pratiques, cette austérité effrayante, cela cadre mal avec la joviale insouciance des troubadours. Aussi, comme ou dit, ils en prenaient et ils en laissaient .. y avait d'ailleurs deux classes de Cathares : les « fidèles » un peu « amateurs », et les vrais « purs », ceux là portant robe noire et longue barbe. On nous raconte qu'ils étaient peu nombreux, cela se conçoit !
« Croisade contre le Graal », cela signifie que, après d'infructueux essais pour enrayer l'hérésie, toujours progressante, Innocent III. grand politique (de l'aveu môme de ses adversaires), eut recours au suprême moyen employé pour lors : il fit prêcher une croisade — la croisade que nous appelons, assez improprement, — croisade des Albigeois. Que cette Strafexpédition, cette expédition punitive, n'ait pas toujours procédé avec ménagements, tout le inonde en est d'accord. Seulement, il ne faut pas oublier non plus que nous sommes en un temps où les mœurs sont encore terriblement rudes. C'est là l'erreur de presque tous ceux qui écrivent sur le moyen âge : ils oublient que l'humanitarisme n'apparaîtra que cinq cents ans plus tard ! Les faits mêmes que cite notre auteur prouvent assez que la cruauté n'a pas toujours été le privilège des catholiques. Que dire de ce mari trompé, Messire Raimon de Roussillon, qui donne à sa femme à manger, bien assaisonné, le cœur de son complice? Et du meurtre, traîtreusement exécuté du légat du pape, Pierre de Castelnau ? Et de ce guet-apens qui coûta la vie, aux environs de Carcassonne, à tout un renfort d'Allemands, venus prêter main-forte aux Croisés ? Il ne faut donc pas s'étonner qu'Innocent III. jugeant, avec son sens politique très lin, la situation de l'Eglise on ne Fient plus critique, ait ameuté contre l'hérésie cathare — qui l'eût dévorée sans cela — toute l'Europe chrétienne. Habilement, il profite du grand désir qu'il sent chez Philippe-Auguste d'agrandir son royaume vers le Sud et de l'antagonisme entre ceux qui parlent la langue d'oil et ceux qui parlent la langue d'oc. Il réconcilie même, pour la circonstance, le soi de France avec l'ennemi héréditaire, le roi anglais. L'Occitanie, tout ce beau pays roman, de Carcassoune à Beziers, de Lavaur, est mis à sac, et avec lui, toute une belle civilisation s'effondre...
Admirons l'entrain avec lequel l'écrivain allemand raconte la « Croisade contre le Graal ». Le flot monte, conduit d'abord par le belliqueux abbé de Citeaux. puis par le rude Simon de Montfort. Mais le « trésor des Cathares », le Graal, est encore intact, enfoui dans les cavernes du Sabarthès. Il va falloir près d'un demi-siècle pour que l'inondation atteigne la haute forteresse de Montségur (preuve de l'extension incroyable de l'hérésie, des intelligences qu'elle avait partout). Dans la nuit du 1er au 2 mars 1244, elle capitule enfin. Mais pourquoi vit-on, cette nuit-là, s'allumer sur une cime voisine, un feu, non pas d'alarme, mais de joie ? C'est simple : quatre Cathares, quatre « purs », enveloppes dans des couvertures de laine, s'étaient laissés descendre, à l'aide de cordes, au fond de la gorge du Lasset, et là ils avaient remis à Pons Arnaud, seigneur de Caste! Verdun, le « trésor des hérétiques » pour le cacher dans d'autres spulgas du Sabarthès... Et depuis, on n'en a rien retrouvé. Celui qui explore ces grottes n'y voit que des dessins muraux, des inscriptions qui rappellent ceux et celles des catacombes. Etaienl ce les descendants des derniers proscrits cathares, ces cagots qu'on voyait dans les deux Navarres. jusqu'au début du siècle dernier? Etait ce l'arrière petite-nièce des Faydits, les parias hérétiques, les derniers Cathares, cette folle qu'on pourchassa un jour, en 1807, sur le sommet du Montcalm, où elle courait nue, sous la bise d'hiver? On l'hospitalise, elle se sauve on la reprend, elle s'évade de l'hospice ; on l'emprisonne, elle meurt bientôt, sans qu'on ait percé cette énigme. Les cavernes d'Ornolac, elles non plus, n'ont pas encore livré tous leurs secrets... Robert Pitrou.
Vous comprenez à présent mieux ce qui se cache encore?
81/06 aime ce message
St.Ex. membre confirmé
Nombre de messages : 343 Age : 60 Emploi : invalide et presque à ma retraite. Date d'inscription : 22/12/2023
Sujet: Re: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich. Ven Fév 02 2024, 18:40
il existe la version publier en 1933 et la version publier en 2000:
Pour la version de l'an 2000, on peut lire:
Citation :
Une grande mélancolie plane sur l'histoire de Provence et du Languedoc.
Un peuple y avait grandi qui n'existait pas au Moyen Âge évasion du monde, mais musique joyeuse et insouciante, a rendu hommage à la poésie, à l'architecture et à l'amour. Mais ce peuple n’a pas servi la croix, mais le Graal. Et c'est ainsi qu'il fut couvert de croisades et noyé dans une mer de sang et de haine. Ce qui reste, c'est le mythe de Montéségur et le message spirituel du Saint Graal. C'est grâce à Otto Rahn, nous a ramené aux racines de ce message et avoir repris la recherche du Graal. Rahn était rempli d'une dévotion passionnée envers son puissant sujet, et ainsi il a réussi à créer un sujet profondément émouvant, souvent réfléchi Œuvre vocale, profondément poétique et aussi vraie. Le nombre d'auteurs à qui je dois beaucoup aujourd'hui est grand - et certains sont Des experts dans des domaines complètement différents. Des hommes comme Spengler... Otto Rahn. La Croisade contre le Graal a écrit et ainsi de suite.
– Henry Miller, le 23 novembre 1962 dans le journal die Zeit –
Et Otto Rahn, oui il savait parler autant le patois Oc que le patois Doc, soit le Occitanais et le lanquedocien.
Tandis que la version original de 1933 contient celà:
Citation :
Eh bien, considérons maintenant que c'est approprié Commençons par les vaillants et honnêtes, L'histoire d'un fier chevalier... Wolfram von Eschenbach
Préface
Cela a demandé beaucoup de travail L'histoire de Chrétien de Troyes
Corrigez ici avec ce calcul : Alors qui était Kiot, pour restaurer Et pour résumer cette histoire...
Dans son histoire Moi, comprenant plus ou moins,
Ce qui se dit en provençal. Je te l'ai expliqué en allemand,
Oui, moi, Wolfram von Eschenbach,
J'ai chanté pour ma conscience, pas par peur...
St.Ex. membre confirmé
Nombre de messages : 343 Age : 60 Emploi : invalide et presque à ma retraite. Date d'inscription : 22/12/2023
Sujet: Re: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich. Ven Fév 02 2024, 21:39
Alors poursuivons une fois, l'histoire d'après Wolfram Eschenbach. Et si vous lisez une fois le mot Allemand Minesänger, cela n'a rien à voir avec la traduction du mot mine Français. Les minesänger, du temps du moyen âge, était les personnes, qui a travers les chants, récitait l'histoire soit d'une bataille, soit d'autre chose. C'est comme cela que Otto Rahn était arrivé avec les vieux chants des albigeois, a retrouvé les traces du Saint Graal.
Otto Skorzeny, oui encore lui, décidément c'était réellement l'homme à tout faire pour Heinrich Himmler. Lui malgré que dans ses propres mémoires, Skorzeny, n'a jamais mentionné sa petite excursion à Montségur, mais il avait bien reçu l'ordre par téléphone de Heinrich Himmler lui même, lui ordonnant d'aller à Monségur et de rapporter le trésor. Et comme ici on parle du temps du moyen âge, ah que oui, Heinrich Himmler, il n'est plus besoin d'en devoir re énumérer ses attirances, pour les chevaliers du moyen âge.
Citation :
Wolfram von Eschenbach nous raconte que « M. Kiot, dit Meister, a raconté la véritable légende du Graal de Provence en terre allemande et que Chrétien de Troyes[1] a déformé cette légende ». L’Épopée du Graal, écrite par Kyot, nous est presque inconnue. On sait cependant qu'à la fin du XIIe siècle le poète français Guillaume de Provence visita les cours les plus célèbres du Nord et du Sud de la France ; Parmi ses autres poèmes, on trouve ce qu’on appelle la « Bible », dans laquelle il caricature ses contemporains. On pense que ce Guillaume est l'auteur de la version de Parzival qui ne nous est pas parvenue. La première partie du Parzival de Wolfram von Eschenbach montre l'influence de Perceval le gallois, et il est très probable qu'elle ait été écrite à l'imitation de ce dernier. Mais, dès le neuvième livre de son Parzival, Wolfram donne une toute nouvelle interprétation de la saga du Graal. Si Guillaume a réellement été une seconde autorité pour Wolfram, il ne faut tenir compte de son influence qu'à la lecture de la dernière partie, qui, en ce qui concerne le Graal, est la plus importante {1}.
Pourquoi le texte original de Guillaume a-t-il été perdu ? De nombreuses hypothèses ont été avancées à ce sujet, mais le point de vue proposé ici, à mon avis, n'a encore été exprimé par personne. Jamais pris en compte le fait que la conséquence des Croisades contre le Languedoc et la Provence (1209-1229{2}) et, en particulier, des activités de l'Inquisition dans le sud de la France fut la destruction d'une partie importante de la littérature provençale. La censure appliquée par les croisés des guerres des Albigeois et les inquisiteurs fut très efficace. Tous les livres dont le contenu paraissait suspect ou hérétique étaient jetés au feu, où ils devaient subir une épreuve du feu. Et seuls ceux qui volaient intacts vers le ciel étaient reconnus comme exempts d’hérésie. Mais cela n'arrivait pas souvent.
Walter Map (prêtre à la cour d'Henri II d'Angleterre, auteur présumé du « Grand Saint-Graal » paru vers 1189) nous apprend qu'il n'y avait pas d'hérétiques en Bretagne, mais un grand nombre d'opposants à la vraie foi. se trouvaient en Anjou (dont « Anschauwe » de Wolfram), et en nombre incalculable - en Bourgogne et en Aquitaine (ainsi qu'en Provence et Languedoc {3}). De César de Heisterbach nous apprenons que « l'hérésie albigeoise » attirait tant de partisans que le nombre de villes dans lesquelles on pouvait trouver des adeptes de cette doctrine approchait le millier. Et bientôt le poison de cette hérésie se serait répandu dans toute l’Europe si elle n’avait pas été détruite par le feu et l’épée. Un certain historiographe issu des minorités les classe, avec les juifs, les païens, les musulmans et les empereurs allemands, parmi les cinq principaux persécuteurs de Rome.
Les « Albigeois », qui doivent leur nom à la ville d'Albi, dans le sud de la France, représentaient deux mouvements différents par leur doctrine et leur hérésie. Les plus célèbres étaient les « Vaudois » {4} (le fondateur de cette hérésie était le marchand lyonnais Pierre Waldo), dont les enseignements se sont répandus dans toute l'Allemagne en un temps incroyablement court. La deuxième secte des « Cathares » [2] pourrait être appelée le Mahatma Gandhi du Moyen Âge. Penchés sur les métiers à tisser, ils se demandaient si « l’esprit terrestre tisse réellement des vêtements impérissables pour la divinité sur le métier à tisser bruyant du temps ». On les appelait aussi « tisserands » - tisserands.
Comme ce n'est pas le but de ce livre de traiter de l'histoire des sectes, je ne parle des Vaudois que dans la mesure où ils se rapportent au sujet de mon étude.
Ce livre a été écrit pour le bien des mystérieux Cathares...
Étant donné que toute la littérature Catharienne a été détruite, nous en savons très peu sur eux. Il ne sert guère à étudier de plus près les témoignages de certains hérétiques, arrachés par la torture dans les sous-sols de l'Inquisition. Ainsi, à l'exception de quelques ouvrages historiques et théologiques particuliers qui, me semble-t-il, ne nous rapprochent que dans une faible mesure de la vérité, pratiquement rien n'a été écrit sur les Cathares. Non sans raison, les personnages dont les noms seront évoqués au cours de mon travail cachent aussi leur « pureté » et un courage confessionnel inouï.
Maurice Magre, auquel je voudrais profiter de cette occasion pour répondre avec gratitude au salut amical dans sa patrie du sud de la France, a inséré dans son livre « Magiciens et Illumines » plusieurs chapitres sur le secret des Albigeois (« Le maître inconnu des Albigeois »). . Sa suggestion selon laquelle les Cathares étaient des bouddhistes d’Europe occidentale n’est en aucun cas une « voix qui crie dans le désert ». Une opinion similaire est exprimée par exemple par un historien aussi célèbre que Giraud, dans son livre « Cartullaire de Notre-Dame de Prouille ». Nous devrions entrer plus en détail à ce sujet. Le point de vue de Magre sur le fait que la doctrine indienne de la transmigration des âmes et du nirvana a été transférée par un certain sage du Tibet vers le sud insouciant de la France, malgré tout son attrait, ne résiste pas à la moindre critique.
Lorsque j'ai décidé de séjourner assez longtemps dans l'un des coins les plus beaux, bien qu'un peu sauvages et inhospitaliers, des Pyrénées, il ne s'agissait nullement de consulter le livre de mon ami Maurice Magre, comme le prétendent certains journaux français. aime penser. Je l'ai fait pour donner forme sur place à la matière qui s'était « accumulée » au plus profond de mon âme.
Alors que j'allais revoir et vérifier les résultats de mes travaux de recherche, je suis tombé sur un pamphlet de Péladan intitulé "Le secret des troubadours", dans lequel il souligne les liens mystérieux entre les troubadours cathares et den Templeisen (?), entre Montsalvat et les ruines du Mont Ségur, dernier refuge des Cathares lors des Croisades des Albigeois...
Entre-temps, j'ai eu la chance de découvrir dans les Pyrénées les traces d'un site inconnu d'hérétiques, ce qui, combiné aux légendes locales, ne m'a laissé aucun doute sur un lien plus complexe que le simple lien étymologique entre Montsalvat[3] et Montségur[4].
Que savons-nous de la lutte impitoyable de l’Église catholique contre la fameuse « hérésie cathare » ? Citation effrayante « Tuez tout le monde, le Seigneur reconnaîtra les siens » ?..
Que savons-nous de « l’hérésie cathare » elle-même, de l’un des systèmes religieux et philosophiques les plus intéressants et originaux du Moyen Âge ? D’une culture vraiment unique qui a réussi à exercer une influence cachée sur la vie de toute l’Europe occidentale ?
Devant vous se trouve « Croisade contre le Graal » d’Otgo Rahn. Un livre qui ouvrira au lecteur la voie à la compréhension et à la connaissance des « enfants du vrai Dieu » - les Cathares...
Otto Wilhelm Rahn KREUZZUG GEGEN DEN GRAL 1933
Donc la je vient juste de rajouté le dernier paragraphe pour terminer sa préface.
St.Ex. membre confirmé
Nombre de messages : 343 Age : 60 Emploi : invalide et presque à ma retraite. Date d'inscription : 22/12/2023
Sujet: Re: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich. Ven Fév 02 2024, 21:50
Citation :
Partie un
PARCIFAL (Perceval)
Et Parzival répond :
« Il faut d'abord devenir chevalier,
Après tout, c'est une récompense céleste.
Celui qui porte une lance et un bouclier -
C'est le chevalier", dit-il...
Votre surnom est Parzival !
Cela vous glorifiera pendant des siècles... Wolfram von Eschenbach
Les couleurs vives, dangereuses pour les yeux habitués au crépuscule boréal, sont indissociables des champs de Provence et du Languedoc, royaume du soleil et du ciel azur. Ciel bleu et mer encore plus bleue, falaises côtières, mimosas jaunes, pins noirs, lauriers verts et montagnes au sommet desquelles la neige n'a pas encore fondu...
À la tombée de la nuit, les étoiles apparaissent. Incroyablement grandes, ils scintillent dans le ciel sombre, mais semblent si proches qu’il semble que vous puissiez les atteindre avec la main. La lune australe est complètement différente de la lune du nord. C'est une sœur jumelle, mais plus belle et plus silencieuse...
La lune du sud et le soleil du sud donnent naissance à l'amour et aux chansons. Quand le soleil brille, l’âme se met à chanter. Les chants coulent, un brouillard sombre se cache et les alouettes voltigent joyeusement dans le ciel azur. Mais alors la lune apparaît au-dessus de la mer. En se levant, elle arrête les chants qui, rivalisant avec les rossignols, se mettent à courtiser les belles dames.
Entre glaciers alpins et Pyrénées ensoleillées, des vignobles de la Loire aux jardins-terrasses paradisiaques de la Côte d'Azur et de la Côte Vermeil, existait au début de notre millénaire une culture brillante, aimable et spirituelle où les lois d'amour et de poésie régnait. Ces lois, leys d'amors (lois d'amour), furent reçues par le premier troubadour d'un faucon assis sur une branche d'un chêne doré {6}.
Les lois de l’amour comprenaient trente et un préceptes. La plus élevée d’entre elles était que « minne » (amour poétique) excluait l’amour charnel et le mariage. « Minne » était perçu comme une union d'âmes et de cœurs, tandis que le mariage était considéré comme une union physique. L'amour est une souffrance qui passe rapidement lorsqu'on reçoit une satisfaction sensuelle. Pour celui qui porte le véritable amour, « minne », dans son cœur, le corps de sa bien-aimée n’est pas un objet de désir. Tout ce qu'il veut, c'est son cœur. La vraie « minne » est pure et éthérée. Minne n'est pas l'amour et Eros n'est pas le sexe.
« Les amoureux devraient garder leur cœur pur et penser uniquement au « mien », car ce n’est pas un péché, mais une vertu qui rend le mal bien et le bien encore meilleur. L'amour rend chaste», dit le troubadour toulousain William Montagnagol {7}.
Les troubadours étaient les législateurs des leys d'amour. Dans les soi-disant tribunaux d'amour, les dames jugeaient les chevaliers et les troubadours qui violaient les lois de l'amour.
Les troubadours appelaient le service de l'amour, la vénération de la grâce et de la beauté domnei (de domina - dame). Les Domnei suscitaient chez les domnejaire (serviteurs de l'amour) la joie d'amour, l'amour qui fait les poètes. Celui qui a composé les plus belles chansons sur « minne » a célébré sa victoire. L'heureux chanteur devint le vassal de sa dame. Elle pouvait désormais disposer de lui comme d'un serf. Comme à genoux, le troubadour prêta serment de fidélité éternelle à la dame. La dame tendit à son poétique paladin une bague en or, symbole de « minne », l'invita à se relever et l'embrassa sur le front. Ce baiser était toujours le premier et, dans la plupart des cas, le dernier. "Minne" rend chaste...
Il fallait d'ailleurs que les prêtres provençaux consacrent cette union mystique en invoquant le nom de la Vierge Marie.
Le nord de la France, plus encore l'Italie et, bien sûr, l'Allemagne ont été le berceau de salles d'apparat, de tournois et de compétitions chevaleresques. La chevalerie sans origine noble y était impensable. Seul un noble venu à la guerre entièrement armé et à cheval pouvait être chevalier.
Dans les terres romanes, les montagnes et les forêts étaient considérées comme le refuge des chevaliers. L'entrée à la chevalerie était ouverte à tout citadin ou paysan s'il était courageux, honnête et possédait un don poétique. Chacun pouvait s'offrir une épée, une parole et une harpe, attributs indispensables d'un chevalier roman. La noblesse se plaignait auprès du paysan éloquent, l'artisan qui écrivait de la poésie était fait chevalier.
« Un mari noble doit être un bon guerrier, un propriétaire généreux et généreux. Il doit également attacher une grande importance aux belles armes, à l'élégance des manières et à la politesse. Plus un noble est vertueux, plus il est parfait en tant que chevalier. Mais les citadins peuvent aussi posséder des vertus chevaleresques. N'étant pas nobles de naissance, ils peuvent, malgré cette circonstance, être des personnes ayant une pensée noble. Une vertu est nécessaire à tout le monde, aussi bien aux nobles qu'aux gens des classes inférieures : l'honnêteté.
Ceux qui sont pauvres peuvent compenser cette déficience par des paroles courtoises et par le service rendu à une dame. « Celui qui ne sait que faire ni que dire ne mérite pas qu'on s'y intéresse, et ne vaut même pas la peine d'en parler dans mes poèmes », écrit le troubadour Arnaut de Marveil, lui-même fils de parents pauvres, d'abord scribe, puis poète. à la cour des vicomtes Carcassonne et Béziers.
Nous voyons donc que les gens nobles et ordinaires étaient des chevaliers, ou du moins pouvaient le devenir s'ils étaient courageux et honnêtes ou s'ils travaillaient dans le domaine de l'amour et de la poésie. Pour les lâches et les paresseux, devenir chevalier était un rêve impossible.
Nous voyons donc que les gens nobles et ordinaires étaient des chevaliers, ou du moins pouvaient le devenir s'ils étaient courageux et honnêtes ou s'ils travaillaient dans le domaine de l'amour et de la poésie. Pour les lâches et les paresseux, devenir chevalier était un rêve impossible.
« Gardez toujours vos distances avec les gens insensés et évitez les discours malveillants. Si vous souhaitez évoluer dans le monde, soyez généreux, magnanime, ouvert et parlez constamment des affaires judiciaires. Si vous n’avez pas assez d’argent pour acheter de beaux vêtements, assurez-vous que votre robe soit toujours parfaitement propre, notamment vos chaussures, votre ceinture et votre poignard. Il n'y a rien de plus attrayant et donne une apparence courtoise. Quiconque veut accomplir quelque chose au service d'une femme doit être habile et ingénieux en tout, afin que votre femme ne puisse pas trouver le moindre défaut en vous. Essayez également de faire plaisir aux amies de votre femme pour qu’elle n’entende que du bien de vous. Cela aura un impact particulier sur son cœur. Si une dame vous favorise, ne lui dites en aucun cas que vous avez conquis son cœur. Et si elle a vraiment fait ce que vous lui avez demandé de faire, essayez de ne le dire à personne. Au contraire, pleurez et plaignez-vous à tout le monde que vous ne pouvez rien obtenir de votre maîtresse. Après tout, les femmes ne supportent pas les bavards et les imbéciles.
...Maintenant, vous savez à quoi vous devez ressembler dans le monde et de quelle manière vous pouvez plaire à une dame...", nous apprend le troubadour Amagnier des Escas.
Les troubadours étaient un peuple joyeux et insouciant. Il n'y avait rien de mal si, tout en servant chastement la dame, ils regardaient bon visage, et le soir ils n'étaient pas pressés de se rendre au château le plus proche, où ils pouvaient espérer dîner et passer la nuit. Le ciel du sud semble recouvert de velours, il y a tellement de fruits tout autour qu'il suffit de tendre la main pour cueillir le fruit désiré, et l'eau des sources rappelle aux assoiffés les vins doux du Roussillon.
Les lois de l’amour dictaient que « mon » devait être aussi pur que la prière. Le sang chaud coule dans les veines des sudistes ; Avant de vieillir, les troubadours étaient jeunes, et les vieilles dames cherchaient et ne trouvaient pas de paladins pour elles-mêmes.
La voix harmonieuse de la chevalerie roumaine était la poésie. Son élégante langue « provençale » était l'aînée du dialecte néo-latin, dans lequel étaient tissés des échantillons ibériques, grecs, celtiques, gothiques et arabes, comme un tapis coloré.
De France, d'Italie, de Catalogne, d'Aragon et du Portugal, les troubadours se sont rendus à Montpellier, Toulouse, Carcassonne et Foix pour apprendre de nouvelles façons de versifier et mesurer leur force auprès des rois et princes poètes, avec Richard Cœur de Lion, Alphonse d'Aragon et Raymond. de Toulouse.
Qui ne connaît pas le courageux et guerrier Bertrand de Born, que Dante a rencontré décapité en enfer, et l'éternel amoureux Arnold Daniel, qui « chante à travers les larmes et regarde tristement les extravagances passées » au purgatoire et demande au grand florentin de penser pour lui. {dix}? Et tous les autres, l'un plus bête et en même temps plus doué que l'autre : Bernard Ventadorn, Gaucelm Faidit, Peyre Vidal, Marcabrun, Peyre Cardinal, Ramon de Miraval et le mélancolique Arnaut de Marveille, l'élève préféré d'Arnaut Daniel et le malheureux paladin de la comtesse de Carcassonne.
Leur biographe Michel de la Tour, qui a vu et connu ce peuple, nous raconte comment vivaient, aimaient, riaient et pleuraient les troubadours romans. Il peut vous en dire plus sur les « écrivains de poésie » que quiconque. Nous vous proposons ci-dessous certains de ses messages en traduction libre.
Giraud de Borneil était originaire de la région d'Exideville. Malgré ses origines ignobles, il avait un esprit sain, connaissait les sciences et devint le meilleur troubadour de tous ceux qui l'ont précédé et suivi. Les connaisseurs de déclarations raffinées et spirituelles sur « minne » le surnommaient maestre dels trobadors (maître des vers). Il était vénéré par tous les hommes et femmes intelligents et nobles qui étaient capables de comprendre le contenu et le sens de ses chansons. Tout l'hiver, il était à l'escola (école), où il étudiait assidûment les sciences. L'été, il voyageait de château en château, emmenant avec lui deux chanteurs qui chantaient ses chansons accompagnés d'une harpe. Il n'a jamais voulu épouser une femme et a envoyé tout l'argent qu'il gagnait à ses parents pauvres ou l'a donné à l'église de son village natal.
Ami! Écoutez ma voix joyeuse résonner. Réveillez-vous! Ou n'entendez-vous pas le chant des oiseaux ? Une chanson joyeuse court vers un nouveau jour. Laissez votre insolence, - le cri retentit, - attention ! Le matin viendra bientôt !
Cher ami! Je chante la canzone à la nuit, Si c'était ma volonté, le jour disparaîtrait à jamais. La silhouette élancée de la plus belle des mortelles avec la main de la chaussure. L'insensé et l'hypocrite tremblent sous les assauts du rire Avec le matin.
Alexderome Admin
Nombre de messages : 9338 Age : 59 Emploi : A la recherche du temps perdu Date d'inscription : 22/10/2010
Sujet: Re: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich. Ven Fév 02 2024, 21:53
Otto Rahn était aussi le représentant du III Reich auprès de Mussolini au moment de la RSI.
« Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient ». N°6 Le Prisonnier
81/06 aime ce message
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich. Ven Fév 02 2024, 22:19
Merci St.EX ;
Bien beau post
J'ai toujours été fasciné par le "GRAAL"
Je ne connaissais pas trop la vie de Otto Rahn
Il était SS et se serait suicidé , mort bien controversée .
Il se serait donné la mort en absorbant une dose de cyanure au sommet d'une montagne de Kufstein, pour des raisons politico-mystiques et intimes non précisées.
Son corps aurait été retrouvé congelé, le 13 mars 1939, sur le glacier du massif de l'Empereur.
Il a été supposé qu'Otto Rahn, qui était pacifiste, ne pouvait pas soutenir les ambitions guerrières du IIIe Reich.
Il suivit alors la coutume cathare de l'Endura, un suicide rituel .
Certains soutiennent l'hypothèse que cette mort serait un simulacre et que Otto Rahn ne serait pas mort mais aurait continué sa carrière au service du IIIe Reich, sous le nom de Rudolf Rahn, qui ne ferait qu'un seul personnage avec Otto Rahn.
En fait, Otto Rahn a été « suicidé » sur ordre d'Hitler en 1939 au Wilder Kaiser.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
81/06 aime ce message
St.Ex. membre confirmé
Nombre de messages : 343 Age : 60 Emploi : invalide et presque à ma retraite. Date d'inscription : 22/12/2023
Sujet: Re: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich. Lun Fév 12 2024, 18:48
Oui Salut mon cher Commandoair40. Oui, et dans la famille Hahn, il y avait aussi son frère, Et je pense aussi que lorsque quelques historiens, parles de 1942, ou Hahn est ressuscité, ou il aurait eu le rang de diplomate, Ambassadeur du Reich en Italie, et aussi en 1945, ou on retrouve le hahn en Syrie.Ici oui, malgré le fait que Otto lui avait été admis chez les SS, mais après de multiple re-demande que OTTO, transmette sa ligné digne Arien de 5 générations, et que lui même n'avait jamais pu produire ou souhaité transmettre ce document, Himmler a été mis au courant. Ainsi je pense son frère à eu ce poste a l’ambassade, uniquement parce que le ministère des affaires étrangère, était un peu moins regardant sur le fait d'avoir du sang juif dans les veines coulé, et aussi en raison du fait que Otto était mort en 1939. Donc adolf lui as attribué juste le titre d’Ambassadeur en Italie, par peine. Et l'argent en 1945, lui est réellement partie en Syrie. donc a travers le frère à Otto, qui lui est mort dans les années 1980.
Et de toute façon, avec les photos, cela cloche dès le départ, sur les photos le montrant avec Erwin Rommel, non, ici même avec de la chirurgie facial (énumérer par certains qui pensait que c'était Otto), il y a trop de différence entre Otto et son frère, donc cela ne pouvait pas être Otto, mais bien son frère.
81/06 aime ce message
St.Ex. membre confirmé
Nombre de messages : 343 Age : 60 Emploi : invalide et presque à ma retraite. Date d'inscription : 22/12/2023
Sujet: Re: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich. Lun Fév 12 2024, 19:10
24.1.38 Rahn's Certificate of Racial Origin requested for his SS-dossier but never materialises 11.9.38 promoted to lieutenant (Obersturmfuhrer) end 1938 Rahn to Buchenwald for two months tour of duty 1939 Rahn invited Wiligut and Himmler to his wedding 28.2.39 submits letter of resignation to Karl Wolff< 13.3.39 Rahn disappears on Wilder Kaiser, Kufstein, Tyrol 17.3.39 Rahn's resignation from SS is granted
Parce que c'était Karl Wolf, qui avait informé himmler que Otto Rahn, n'avait pas encore transmis son certificat d'Arien, et oui je m'était trompé dans ma frappe d'écriture précédement.
Donc on voit que les SS, on vite accepté la sortie de Rahn de leurs ordres. Juste 4 jours après sa mort.
81/06 aime ce message
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Otto Rahn le Indiana Jones du III Reich.