Aussi curieux que cela puisse paraître, il y avait des marins à DBP! Un, puis deux.
Le premier était un pilote de l'aéro-navale dont l'avion avait été détruit et était donc obligé de rester.
Le deuxième, longtemps ignoré, était un infirmier, un marin, Segelen, je crois que c'était son nom.
Aussi, 17 pilotes, obligés eux aussi de rester sur place et qui seront incorporés, faisant une section, au 1er BEP.
Amitiés