« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: François, Marseille et les migrants Lun Sep 25 2023, 11:00
LE PAPE A MARSEILLE :
Liesse, ferveur... et manipulation
J’ai suivi en direct la messe papale de Marseille ce samedi 23 septembre…
Je n’aurais pas dû. Ca va me gâcher mon dimanche.
Macron, lui, a bien fait d’y aller ; il pourrait bien en toucher les dividendes. Et pas seulement lui ! Mélenchon et autres crapules nupésiennes doivent se régaler ce soir !
Après la messe, pendant de longues minutes, CNews affichait en permanence le bandeau « 2 jours de liesse et de ferveur » pour bien l’ancrer dans les esprits. Ben voyons !
J’avais envie d’ajouter… « et de manipulation ».
L’expression « Panem et circenses » vient de s’enrichir ce soir d’une dimension religieuse. J’ai eu à plusieurs reprises le sentiment d’assister à une nouvelle forme de cette injonction antique, revue et modernisée à la sauce actuelle (médias obligent).
Du pain et des jeux, certes, mais aussi de la politique, beaucoup de politique, surtout avec le Pape François. Et en l’occurrence, sous couvert de morale chrétienne.
Aimons nous les uns les autres, aidons nous les uns les autres. C’est beau, c’est grand, mais en pleine crise de submersion migratoire, ne faut-il pas nous protéger un peu ? Juste un peu ?
Je n’ai rien contre ce Pape. Je m’en fiche, bien que je sois toujours resté chrétien par mes racines. Mais je suis complètement allergique à ses prises de positions politiques sur l’immigration.
Et ça n’a pas manqué cet après-midi. Il en a remis une couche, épaisse, qui est déjà en train de se répandre, en France, en Europe et en Afrique.
Comme une incitation papale destinée à accélérer le processus migratoire sud-nord. Direction l’Europe, ce continent chrétien, charitable, accueillant, et prospère... pour l'instant.
Au risque de me damner pour l’éternité, je considère de mon devoir de réagir contre ce que je considère comme une grossière manipulation de masse.
Je ne serais pas étonné que, dans les jours qui viennent, le mouvement de résistance à l’immigration, qui commençait à naître et se développer, se dégonfle lentement, influencé par cette « ferveur » chrétienne.
Enfin, prétendument chrétienne.
Car enfin, les chrétiens de jadis ne se laissaient pas envahir, et ils suscitaient encore moins les invasions. Ils organisaient même au contraire des croisades pour répandre leur religion ! Il n’est certes pas question d’en revenir là, mais pourquoi cette faiblesse et pourquoi cet abandon aujourd’hui ?
Pourquoi le chef spirituel de l’église catholique abandonne t’il ainsi les siens, tout en critiquant (très mollement, et presque pour la forme) les attentats perpétrés en Europe par une religion prônant le sang et la violence ?
Déjà, je note des réactions favorables aux injonctions papales de ce samedi.
Sauf, et c’est un bonheur (j’allais dire « Dieu merci », s'il m'écoute encore un peu après cette newsletter), celle de Mathieu Bock-Côté sur CNews, qui semble prendre un peu de recul…
Ce n’était qu’une réaction épidermique, à chaud...
Attendons demain celles de la classe politique.
Et la cote de Macron, qui pourrait bien se redresser !
Marc Le Stahler
23 septembre 2023
AUJOURD'HUI ENCORE, ET PLUS QUE JAMAIS...
VIVE LA RÉPUBLIQUE, et surtout...
VIVE LA FRANCE !
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Sujet: Re: François, Marseille et les migrants Lun Sep 25 2023, 19:25
Merci mon René ,
Ce connard de pape est Argentin .
Les pays d'amérique du sud , sont de grands cathos , contrairement a la france et a l'europe .
L’abandon de nos valeurs religieuses fait que le patron de l'église se détourne totalement de nous et nous expédie la lie du Monde .
Merci a la République , aux Cocos et a la Libre pensée .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: François, Marseille et les migrants Lun Sep 25 2023, 22:07
Je le croyais Brésilien, mais peu m'importe, bien que chrétien de baptême je ne l'aime pas : il est trop de gauche et mal vu par certains de la curie romaine, où son élection aurait été suspecte ! Je suis aussi déçu par Cnews qui en à trop rajouté, et je suis content de ne pas avoir regardé cette mascarade de messe, avec la bénédiction de Macron et LFI. un comble, par ailleurs je n'en avait pas le temps, et ne regrette pas. La religion Chrétienne va en prendre un coup, elle n'est déjà plus la première dans notre pays, on le voit bien par le manque de vocations de nos curés qui sont remplacés petit à petit par les curés Africains.
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GOMER nouveau en attente de confirmation
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Sujet: Re: François, Marseille et les migrants Mar Sep 26 2023, 09:15
Bonjour tout le monde,
Mon cher JP, OK avec toi pour les Tous de Gros "E*****S"
D'accord aussi avec le commentaire de marienneau JM
Quant à Cnews, deux remarques sur cette chaine, je n'ai pas regardé la messe car ce Pape m'énerve prodigieusement comme maConAnus d'ailleurs. La 2è remarque sur cette chaine, à présent, à la matinale il y a un boukak Saïd dans l'équipe du matin qui présente le sport...., ce matin, plus de boukak mais un bamboula "café au lait"....
Cnews veut prouver quoi avec ça ? Qu'il ne sont pas raciste ou quoi ? Est ce pour "coloré" le plateau de la matinale ? C'est peut être pour concurrencer le café du matin de notre ami Athos
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Commandoair40 Admin
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Sujet: Re: François, Marseille et les migrants Mar Sep 26 2023, 18:55
Peut être que c'est un "Gentil" , mais si il est Muzz , là , j'ai de gros doutes .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: François, Marseille et les migrants Mar Sep 26 2023, 19:16
Pour mon Ami Jean-Michel .
Pas pour confirmer sa nationalité , mais te montrer le chemin de ce "Connard" , avec ses idées de Gauche et son cursus en Amérique du Sud .
Pour lui , rien ne compte que son Pays , son Continent et ses idées saugrenues .
BIOGRAPHIE DU SAINT-PÈRE FRANÇOIS
Le nouveau Pape argentin
Jorge Mario Bergoglio a pris le nom de François
Le premier Pape américain est le jésuite argentin Jorge Mario Bergoglio, 76 ans, archevêque de Buenos Aires.
C’est une figure de premier plan pour tout le continent et un pasteur simple et très aimé dans son diocèse, qu’il a visité en long et en large, aussi en métro et en autobus, au cours des quinze ans de son ministère épiscopal.
« Mes gens sont pauvres et je suis un des leurs », a-t-il dit à plusieurs reprises pour expliquer son choix d’habiter dans un appartement et de préparer lui-même ses repas.
Il a toujours recommandé à ses prêtres la miséricorde, le courage apostolique et d’ouvrir les portes à tous.
Le pire qui puisse arriver dans l’Église, a-t-il expliqué à plusieurs occasions, « est ce que de Lubac appelle la mondanité spirituelle », qui signifie « se mettre soi-même au centre ».
Et quand il cite la justice sociale, il invite d’abord à reprendre en main le catéchisme, à redécouvrir les dix commandements et les béatitudes.
Son projet est simple: si l’on suit le Christ, l’on comprend que « piétiner la dignité d’une personne est un péché grave ».
Malgré son caractère discret — sa biographie officielle ne fait que quelques lignes, au moins jusqu’à sa nomination comme archevêque de Buenos Aires — il est devenu un point de référence pour ses fortes prises de position lors de la dramatique crise économique qui a bouleversé son pays en 2001.
Il né dans la capitale argentine le 17 décembre 1936, fils d’émigrants piémontais:
Son père Mario est comptable, employé des chemins de fer, tandis que sa mère, Regina Sivori, s’occupe de la maison et de l’éducation de ses cinq enfants.
Diplômé comme technicien en chimie, il choisit ensuite la voie du sacerdoce en entrant au séminaire diocésain de Villa Devoto.
Le 11 mars 1958, il passe au noviciat de la Compagnie de Jésus.
Il complète ses études de lettres au Chili et en 1963, revient en Argentine et obtient une maîtrise en philosophie au collège Saint-Joseph à San Miguel. Entre 1964 et 1965 il est professeur de littérature et psychologie au collège de l’Immaculée de Santa Fé et, en 1966, il enseigne les mêmes matières au collège du Sauveur à Buenos Aires.
De 1967 à 1970 il étudie la théologie et obtient une maîtrise toujours au collège Saint-Joseph.
Il a été ordonné prêtre le 13 décembre 1969 par l’archevêque Ramón José Castellano.
Il poursuit sa préparation entre 1970 et 1971 à Alcalà de Henares, en Espagne, et le 22 avril 1973 il émet sa profession perpétuelle chez les jésuites.
À nouveau en Argentine, il est maître des novices à Villa Barilari à San Miguel, professeur à la faculté de théologie, consulteur de la province de la Compagnie de Jésus ainsi que recteur du Collège.
Le 31 juillet 1973, il est nommé provincial des jésuites d’Argentine, charge qu’il occupera pendant six ans.
Il reprend ensuite son travail dans le domaine universitaire et, entre 1980 et 1986, il est à nouveau recteur du collège Saint-Joseph, et curé encore à San Miguel.
En mars 1986, il se rend en Allemagne pour terminer sa thèse de doctorat; ses supérieurs l’envoient ensuite au collège du Sauveur à Buenos Aires puis à l’église de la Compagnie dans la ville de Cordoba, comme directeur spirituel et confesseur.
C’est le cardinal Antonio Quarracino qui le veut comme son proche collaborateur à Buenos Aires.
Ainsi, le 20 mai 1992, Jean-Paul II le nomme évêque titulaire d’Auca et auxiliaire de Buenos Aires.
Le 27 juin, il reçoit dans la cathédrale l’ordination épiscopale précisément des mains du cardinal.
Il choisit comme devise Miserando atque eligendo ( "Choisi parce que pardonné" )et insère dans son blason le christogramme IHS, symbole de la Compagnie de Jésus.
Il accorde son premier entretien en tant qu’évêque à un petit journal paroissial, « Estrellita de Belém ».
Il est immédiatement nommé vicaire épiscopal de la zone Flores et, le 21 décembre 1993, il reçoit également la charge de vicaire général de l’archidiocèse.
Ce n’est donc pas une surprise lorsque, le 3 juin 1997, il est promu archevêque coadjuteur de Buenos Aires.
Moins de neuf mois plus tard, à la mort du cardinal Quarracino, il lui succède, le 28 février 1998, comme archevêque, primat d’Argentine et ordinaire pour les fidèles de rite oriental résidant dans le pays et dépourvus d’ordinaire de leur propre rite.
Trois ans plus tard, lors du Consistoire du 21 février 2001, Jean-Paul II le crée cardinal, lui assignant le titre de saint Roberto Bellarmino.
Il invite les fidèles à ne pas se rendre à Rome pour fêter son cardinalat et à destiner aux pauvres l’argent du voyage.
Grand chancelier de l’Université catholique argentine, il est l’auteur des livres Meditaciones para religiosos (1982), Reflexiones sobre la vida apostólica (1986) et Reflexiones de esperanza (1992).
En octobre 2001, il est nommé rapporteur général adjoint à la xe assemblée générale ordinaire du synode des évêques, consacrée au ministère épiscopal.
Une tâche qui lui est confiée au dernier moment en remplacement du cardinal Edward Michael Egan, archevêque de New York, contraint de rester dans son pays en raison des attaques terroristes du 11 septembre.
Lors du synode, il souligne en particulier la « mission prophétique de l’évêque », son identité de « prophète de justice », son devoir de « prêcher sans cesse » la doctrine sociale de l’Église, mais également d’« exprimer un jugement authentique en matière de foi et de morale ».
Entre temps, en Amérique latine, sa figure devient toujours plus populaire.
Cependant, il ne perd pas la sobriété de son caractère et son style de vie rigoureux, que certains définissent presque « ascétique ».
C’est dans cet esprit qu’en 2002, il refuse la nomination comme président de la Conférence épiscopale argentine, mais trois ans plus tard, il est élu, puis reconfirmé pour un nouveau triennat en 2008.
Entre temps, en avril 2005, il participe au Conclave au cours duquel est élu Benoît XVI.
En tant qu’archevêque de Buenos Aires — diocèse qui possède plus de trois millions d’habitants — il pense à un projet missionnaire centré sur la communion et sur l’évangélisation.
Les quatre objectifs principaux sont :
Des communautés ouvertes et fraternelles ; participation active d’un laïcat conscient ; évangélisation adressée à tous les habitants de la ville ; assistance aux pauvres et aux malades.
Il vise à réévangéliser Buenos Aires, « en tenant compte de ceux qui y vivent, de sa configuration, de son histoire ».
Il invite les prêtres et les laïcs à travailler ensemble.
En septembre 2009, il lance au niveau national la campagne de solidarité pour le bicentenaire de l’indépendance du pays :
Deux cents œuvres de charité à réaliser d’ici 2016. Et, sur le plan continental, il nourrit de fortes espérances dans le sillage du message de la Conférence d’Aparecida en 2007, qu’il va jusqu’à définir « l’Evangelii nuntiandi de l’Amérique latine ».
Jusqu’au début de la vacance du siège, il était membre des Congrégations pour le culte divin et la discipline des sacrements, pour le clergé, pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique ; du Conseil pontifical pour la famille et de la Commission pontificale pour l’Amérique latine.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: François, Marseille et les migrants Mar Sep 26 2023, 22:27
Un curriculum vitae impressionnant, sa formation aussi ! Mais lui qui "vivait comme un ascète", depuis son pontificat, semble bien avoir changé de son origine jésuite. Son projet est simple: si l’on suit le Christ, l’on comprend que « piétiner la dignité d’une personne est un péché grave ».
Avec ce principe, je ne m'étonne plus de son comportement.