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Sujet: Lettre ouverte à la France en danger Sam Avr 29 2023, 08:34
LETTRE OUVERTE A LA FRANCE EN DANGER – PARTIE 1
(Lt Colonel Jean-François Cerisier)
PARTIE 1
Dans son livre « Testament »[1] le Général Marcel BIGEARD a écrit:
« Adieu ma France… Tu n’es plus celle que j’ai connue, le pays du respect des valeurs, de l’hymne et du drapeau, le pays de la fierté d’être français. Adieu ma France des trafics en tous genres, du chômage, de l’islamisme, de la polygamie, du laxisme, de la permissivité, de la famille décomposée… Adieu ma France réduite à l’état d’urgence, ma France déconstruite, en guerre avec elle-même. Je veux, néanmoins, demeurer optimiste et croire en ton sursaut. Mais qui te sauvera ? »
De Léon Trotski :
« Peut-être la guerre ne vous intéresse-t-elle pas, mais la guerre s’intéresse à vous ».
De Gaston Bouthoul [2] :
« … la guerre lorsqu’elle ne comporte pas de destruction de vies humaines, n’est qu’un conflit ou un échange de menaces »
De Ibn Khaldoun [3] :
« … la guerre contre les infidèles est d’obligation divine, parce que cette religion s’adresse à tous les hommes et qu’ils doivent l’embrasser de bon gré ou de force… ».
LE PRESENT DOCUMENT
Rappelle ce qu’est la « Guerre totale », la guerre du XXIe siècle avec ses bases et ses finalités, et non pas seulement des vues particulières de la guerre qui sont utilisées assez régulièrement : guerre psychologique, guerre économique, guerre informatique, guerre civile, … Voire « guerre de la désinformation », ce qui n’ a aucun sens, la désinformation n’étant au mieux – au sens de la Loi française – qu’une arme par destination (cf infra « Guerre totale » – Troisième différence, et Définition du concept « Désinformation »).
Repose sur des thèmes présentés et développés dans mon livre « Guerre à l’Occident – Guerre en Occident » [4].
CONCEPTS ESSENTIELS TELS QU’ILS SONT EMPLOYES DANS CE DOCUMENT
Ce préalable est essentiel tant ces termes et concepts ont tellement évolués, voire même ont pris un sens déviant ou tellement atténué, depuis un siècle.
NATION
« Groupe humain assez vaste, dont les membres sont liés par des affinités tenant à un ensemble d’éléments communs : ethniques, sociaux (langue, religion, etc.) et subjectifs (traditions historiques, culturelles, etc.) dont la cohérence repose sur une aspiration à former ou à maintenir une communauté. » (Source CNRTL).
ÉTAT
« Autorité souveraine qui, par l’exercice de ses pouvoirs, représente et garantit l’unité et le fonctionnement d’une société sur un territoire défini ».
« Le gouvernement, l’administration, l’ensemble des pouvoirs publics d’un pays. Chef de l’État, celui qui exerce dans son pays les fonctions suprêmes ».
« Cette autorité politique souveraine, civile, militaire considérée comme une personne juridique et morale, a pour mission de diriger, organiser une nation, vivant sur un territoire donné. (Source Dictionnaire de l’Académie française).
GUERRE
Quelles que soient les acceptions retenues pour le terme de « guerre » parfois qualifié de « phénomène social », celles-ci possèdent trois composantes :
– les agressés : un ou plusieurs États, groupes sociaux, groupes ethniques, confessionnels, philosophiques , d’affaires ou d’intérêts ;
– les agresseurs : un ou plusieurs États, groupes sociaux, groupes ethniques, confessionnels, philosophiques, d’affaires ou d’intérêts ;
– une lutte armée entre agresseurs et agressés consistant en des actions de guerre à des fins offensives entreprises par les agresseurs, ou à des fins défensives, voire contre-offensives entreprises par les agressés.
GUERRE TOTALE
La guerre au XXIe siècle n’a plus grand-chose à voir avec les guerres conventionnelles (guerres mondiales de 1914-1818 et 1939-1945 pour l’essentiel) du XXe siècle, aussi meurtrières et effroyables qu’elles aient été.
En ce XXIe siècle, le contenu sémantique du terme « guerre » doit être complété par rapport à celui utilisé dans l’expression « guerre conventionnelle » admis au siècle précédent. Pour l’essentiel, cela est justifié par trois grandes différences :
– la première différence est apparue dans le courant du XXe siècle, un peu avant la fin des années 40. Les guerres ont changé, non seulement de forme mais aussi de nature. Auparavant, il s’agissait d’engager des troupes aux frontières des pays à conquérir ou à défendre. Cela n’a plus été le cas. Et de plus en plus de place a été prise par la guerre révolutionnaire à laquelle a été ajouté le mode d’action subversif ;
– la deuxième différence est apparue à la fin du XXe siècle. Jusqu’à cette époque, la guerre était constituée d’un ensemble d’opérations mettant en œuvre ou impliquant essentiellement les ressources ou les domaines militaires. Au XXIe siècle, il convient d’ajouter des opérations mettant en œuvre ou impliquant les ressources ou domaines civils, et aussi une combinaison des deux. Ne pas en tenir compte conduirait à une vision réductrice n’étant plus adaptée et rendant toute contre-guerre impossible ;
– la troisième différence porte sur les armes utilisées. Dans les siècles passés, agresseurs et agressés utilisaient des armes par nature : fusils, canons, bombes, …
Aujourd’hui, il convient de prendre en compte, aussi et surtout, les armes par destination : ensemble des « outils » mis en œuvre par les agresseurs, pour parvenir à leurs fins, ou mises en œuvre par les agressés pour se défendre.
Cela ne signifie nullement que soient négligées les armes par nature (armes traditionnelles des guerres ou conflits conventionnels des siècles passés), pour des actes de guerre géographiquement limités ou pour des actions terroristes.
En Droit français l’arme par nature est : « tout objet qui peut servir à blesser, quelqu’un ou à détruire quelque chose, même si ce n’est pas son usage premier ou principal ».
Et, d’une manière générale, aujourd’hui, doit être considérée comme arme toute action, toute organisation, tout processus, toute technique, tout moyen matériel ou immatériel, en particulier ceux
s’appuyant, utilisant ou agissant sur les informations ou leurs systèmes (cf infra, la définition du concept « information »), les sciences humaines et toutes les technologies associées, de même que la biologie plus particulièrement.
L’utilisation, l’application ou la mise en œuvre des armes par destination, combinées ou non à des armes par nature, sont « nécessaires » aux agresseurs pour leurs attaques, tout comme elles sont nécessaires aux agressés pour leur défense.
DÉSINFORMATION
Arme de guerre d’une formidable puissance dont la finalité est :
« Ne pas faire croire ce qui n’est pas mais modifier le comportement malgré les croyances ».
Vladimir VOLKOFF en donne la définition suivante :
« Manipulation de l’opinion publique, en général à des fins politiques, avec une information traitée par des moyens détournés ».
ISLAMISME, ISLAMISTE (OU « TENANT DU SYSTÈME ISLAMIQUE »)
L’islamisme est tout à la fois :
– la doctrine politique dont la finalité est l’expansion de l’islam, sur le monde ;
– l’idéologie développée à des fins de domination du monde musulman et du monde occidental, avec pour but le changement en profondeur : des idées, des comportements, tant dans le « territoire de l’islam » (dar al-islam), que dans le « territoire des mécréants » (dar al-kufr). (cf. infra la citation d’un court extrait des « Prolégomènes, d’Ibn Khaldoun, déclaré arabe au seul fait qu’il était musulman … ).
L’islamisme s’appuie sur une organisation comportant des individus, des structures : associatives, partisanes, sociales, éducatives, religieuses, financières, para-militaires …
L’islamiste est un individu – de toute nationalité y compris française – qui adhère tant à la doctrine qu’à l’idéologie de l’islamisme. Pour les islamistes, la démocratie, la souveraineté du peuple et les Droits de l’Homme sont des concepts occidentaux impies, utilisés comme des armes destinées à saper la renaissance de l’islam et à empêcher l’essor d’une société islamique. Pour plusieurs auteurs de la mouvance islamiste : « il n’y a pas de souveraineté autre que celle d’Allah » et il convient de « Briser la tête de la doctrine de la démocratie ». C’est suffisant pour justifier le « réflexe de défense » des islamistes face à la soi disant agression de l’Occident !
Les wahhabites, les frères musulmans et plusieurs groupes para-militaires islamiques, de différentes nationalités ou obédiences sont des islamistes.
GUERRE MENÉE PAR LES ISLAMISTES
Tout d’abord, c’est une « obligation divine » !
Dans dans son ouvrage « Al Muqaddimah »[5] (première Partie), Ibn Khaldoun écrivait déjà :
« … Dans l’islamisme[6] » , la guerre contre les infidèles est d’obligation divine, parce que cette religion s’adresse à tous les hommes et qu’ils doivent l’embrasser de bon gré ou de force. On a donc établi chez les musulmans la souveraineté spirituelle et la souveraineté temporelle, afin que ces deux pouvoirs s’emploient simultanément dans ce double but. Les autres religions ne s’adressent pas à la totalité des hommes ; aussi n’imposent-elles pas le devoir de faire la guerre aux infidèles; elles permettent seulement de combattre pour [leur] propre défense. Pour cette raison, les chefs de ces religions ne s’occupent en rien de l’administration politique… ».
« … Nous ne jugeons pas convenable de salir nos pages en rapportant les opinions des chrétiens. Toutes ces doctrines sont fausses, ainsi que le Coran l’a déclaré. Nous n’avons pas à discuter ou à raisonner là-dessus avec eux, nous n’avons qu’à leur donner le choix de l’islamisme, de la capitation ou de la mort … ».
La simple étude de l’Histoire de l’islam depuis ses origines fait apparaître que, même s’il y a bien eu quelques périodes d’interruption, la guerre a été l’activité principale des Arabes et de plusieurs peuples envahis, convertis et devenus adeptes de l’obligation divine.
Quelles que soient les époques de cette Histoire, les justifications des guerres, y compris les guerres civiles entre les deux grandes factions musulmanes rivales : sunnisme et chiisme ont toujours découlé des préceptes du Coran, de la Sunna, de leurs exégèses et la finalité a toujours été la même : la domination du monde justifiée par une soi-disant supériorité décrétée par Allah, pour ses adorateurs soumis, du fait de leur « statut de musulman ».
C’est ainsi qu’au cours des siècles les islamistes ont imposé leur domination, leur religion, leur colonisation spirituelle, temporelle, territoriale à de nombreuses Nations, sur de très vastes territoires, sur lesquels ils ont pratiqué l’esclavagisme. À grande échelle. Mais, cette partie de leur Histoire étant un fardeau tellement lourd qu’ils ont développé une forme d’amnésie, aidés en cela par doctrine autorisant tout musulman à faire usage de la tromperie (ou « taqiyya ») afin de se défendre ou afin de répandre l’islam.
Christiane Taubira déclara d’ailleurs sur ce point d’Histoire avéré : « … qu’il était préférable de ne pas évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes… » (Référence : l’Express du 4 mai 2006).
En ce XXIe siècle, les islamistes ne dérogent pas à l’obligation divine. Pour cela ils mènent des opérations guerrières :
– contre les religions : l’islam continue de s’opposer violemment aux autres religions, par exemple : le bouddhisme, l’hindouisme, le judaïsme, le christianisme. En fait, toutes les religions ne reconnaissant pas Allah et son Prophète ;
– par la religion, l’islam est la base idéologique du système islamique, un système politique, et ce sont ses principes, ses règles, et sa loi (la charia) qui constituent la boite à outils de l’islamiste ;
– pour la religion, dans le cadre de leur obligation divine, les musulmans doivent combattre afin que l’islam prenne la place des autres religions, puisqu’il est la seule « vraie» religion, la seule qui glorifie le « vrai Dieu » : Allah.
INFORMATION
L’information découle de phénomènes : faits ou événements observables, survenant dans l’environnement dans une ou plusieurs de ses six composantes : géographique, organisationnelle, technique, temporelle, humaine, opérationnelle.
Elle est le résultat de deux actes : la perception du phénomène et l’application des règles requises pour interpréter et attribuer un sens au phénomène, indépendamment des moyens mis en œuvre et des technologies employées.
L’utilisation des technologies renforce considérablement les possibilités d’acquisition, de transmission, de stockage, de traitement et de falsification des informations à l’aide de dix recettes – largement utilisées par les politiques et leurs obligés : contre-vérité non vérifiable, mélange du vrai-faux, déformation du vrai, modification du contexte, estompement avec sa variante les vérités sélectionnées, commentaire appuyé, illustration, généralisation, parts inégales, parts égales.
ATTAQUE
D’une manière générale : toute opération hostile d’un ou plusieurs agresseurs sur des agressés. Les agresseurs peuvent être (énumération non limitative et pouvant être combinées) :
– des États, parfois « amis » ;
– des organisations para-étatiques, internationales ou nationales ;
– des groupes internationaux ou nationaux, d’affaires ou d’intérêts ;
– des groupes internationaux ou nationaux à caractère social, ethnique, philosophique, ou confessionnel ;
– des organisations se déclarant « philanthropiques » mais pratiquant l’entrisme (Tactique consistant à s’introduire dans une organisation, un parti, pour en infléchir l’orientation. Source : Dictionnaire de l’Académie Française).
En ce qui concerne notre Patrie, ces attaques sont susceptibles de provenir :
– de l’intérieur du territoire national ;
– de son environnement proche : le territoire de l’U.E ;
– de son environnement éloigné : tous les pays dans lesquels sont implantées des organisations possédant leurs réseaux d’influence ou de déstabilisation.
Les attaques lancées contre la France ont pour finalité l’imposition à notre Nation d’un système politique, de gouvernement, une loi fondamentale (Constitution), un système de pensée, un mode de vie, une religion en totale contradiction avec : la volonté des Citoyens français, les Valeurs forgées au cours de l’Histoire de notre Nation, et niant les faits historiques, malgré la présence de preuves rapportées par les historiens, et ce à des fins racistes ou politiques.
Fin de la première partie
Lt Colonel Jean-François Cerisier
26 avril 2023
[1] Général BIGEARD « Testament » Éditions du Rocher
[2] Fondateur et promoteur de la « polémologie »
[3] « Célèbre historien et philosophe de l’histoire arabe et berbère, Abou Zeid Abd er-Rahman, surnommé Ouéli ed-Din est né à Tunis en 1332, mort au Caire en 1406 »
[4] Achevé au dernier trimestre de 2014 et édité au début du deuxième trimestre 2015
[5] Traduction du titre : « Les Prolégomènes »
[6] A son époque ce terme utilisé par Ibn Kaldhoun signifiait « islam »
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Sujet: Re: Lettre ouverte à la France en danger Sam Avr 29 2023, 08:39
LETTRE OUVERTE A LA FRANCE EN DANGER – PARTIE 2
(Lt Colonel Jean-François Cerisier)
PARTIE 2
ATTAQUES LANCÉES DANS LA GUERRE CONTRE L’OCCIDENT
Les citoyens et l’opinion publique, en général, sont les cibles privilégiées des attaques montées par les islamistes, leurs complices et leurs collabos [7].
La guerre contre l’Occident ou « cancer vert » dont les métastases se développent en « continu » est caractérisée par :
son type révolutionnaire : sa finalité est la prise du pouvoir, via le contrôle progressif des citoyens, de leurs âmes, de leurs esprits ;
sa nature asymétrique, susceptible de conduire les islamistes à une victoire, d’abord politique, dont les modes d’action utilisés sont plus particulièrement ceux destinés à faire régner la terreur dans notre Nation, tout en permettant de pallier l’infériorité militaire du ou des attaquants ;
son mode subversif, dont la finalité est le renversement de notre État de droit à l’aide de moyens détournés et la mise en œuvre d’un ensemble d’actions dissimulées, insidieuses. Il s’agit d’amener la Nation France à s’affaiblir et à capituler, le summum étant de l’amener à s’autodétruire, en commençant par une atteinte forte et durable à la légitimité des autorités, des institutions, et un isolement de ses composantes humaines les unes des autres via des actions psychologiques, par exemple : jeunes contre vieux [8], femmes contre hommes, citadins contre campagnards …
Dans le mode subversif, les actions psychologiques, éventuellement complétées par des actions terroristes, ou de type militaire, ont la plus grande portée puisqu’elles sont destinées à atteindre notre pensée, notre volonté, nos sentiments, nos croyances, nos amitiés dans les domaines politique, économique, industriel, culturel, familial, cultuel, philosophique, militaire …
Dans le cadre de la guerre contre l’Occident, des opérations de type militaire seraient susceptibles d’induire des réactions hostiles provenant des allogènes installés chez nos voisins et Amis des pays d’Europe (au sens géographique du terme). Dans cette hypothèse, nos Amis européens – ne serait-ce que pour leur propre sécurité – seraient impliqués et réagiraient de manière à protéger leurs Nations, leurs Territoires et leurs intérêts… Et, peut-être même, réagiraient-ils pour nous aider …
Nous passerions d’un conflit en France à un conflit en Europe dont l’étendue, l’intensité, la complexité, les forces en présence, … dépasseraient très largement ce qui s’est produit au cours des siècles depuis l’invasion islamique de l’Inde (cf le génocide de l’Hindu Kouch [9] jusqu’à la chute de l’empire Ottoman !
Cette situation ferait que les pays de l’OCI [10] (au minimum, et tout particulièrement la Turquie) viendraient au secours des ressortissants de la « nation islamique » (ou « Oumma ») en passe d’être éliminés.
Les Pays membres de l’OTAN, y compris non européens, ne pourraient pas rester sans réaction. Ce qui pourrait entraîner une situation particulièrement difficile à maîtriser puisque jusqu’à ce jour la Turquie fait partie de l’OTAN et qu’il est « toujours question » qu’elle intègre l’U.E.
Et, un conflit en Europe pourrait entraîner à une conflagration de niveau mondial, sans qu’il soit possible d’imaginer qui serait impliqué, quand il le serait, comment il le serait, et pour qui il combattrait.
En raison de la convergence des attaques que subit la France, directement ou indirectement, et du fait de ses amitiés, de ses relations avec d’autres Nations, elles-mêmes victimes d’attaques, et de menaces contre elles, font que la France apparaît clairement en danger de mort !
ATTAQUES PROVENANT DE L’INTÉRIEUR DU TERRITOIRE DE L’U.E.
La Commission Européenne, bras armé du « super-État » U.E. est – en fait – un «super gouvernement » de nature oligarchique, technocratique, institutionnellement irresponsable [11], dont les composantes ne tiennent aucun compte de la volonté des Nations.
Ses attaques reposent sur :
la prétendue suprématie du « Droit Européen » sur les législations nationales, bien que ce principe ne soit pas inscrit dans le Traité de l’U.E ;
le reniement de l’origine chrétienne des peuples de l’Europe et des Valeurs en étant issues ;
l’incapacité institutionnelle et délibérée à ne pas protéger ses frontières extérieures malgré les multiples officines existantes (FRONTEX [12] en particulier), voire des frontières intérieures : celle de chaque État européen en cas de troubles graves (cf EUROGENDFOR [13], ou « Force de gendarmerie européenne ») ;
la promotion d’une immigration de masse – légale ou illégale – très fortement islamisée. Présentée par certains comme le palliatif au déficit démographique et à l’appauvrissement génétique (!) des peuples de l’U.E. ;
la pénétration – entre autres – de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) par des ONG, particulièrement le réseau de l’Open Society Foundations, organisation montée et pilotée par le milliardaire américain SOROS ;
l’incapacité institutionnelle à élaborer des politiques européennes qui ne soient pas « inspirées » par les U.S.A. (cf. « J‘ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu », de Philippe de Villiers), plus particulièrement dans les domaines essentiels de la Défense, des Affaires étrangères, de l’Économie, des Finances. Cette situation entraînant une vassalisation de fait par ce pays ami ;
l’échec du grand marché européen n’ayant apporté que la dérégulation, la régression sociale, le chômage, les délocalisations, la pauvreté et l’endettement ;
la soumission aux diktats des États et des organisations islamiques, telle l’O.C.I, (Organisation de la Coopération Islamique) afin de favoriser puis d’imposer la « culture », les modes de vie, l’islam et la charia.
De plus, la Commission de Bruxelles s’est reniée en ignorant la décision de la Cour Européenne jugeant la charia incompatible avec la démocratie. (Décision de la Cour Européenne en date du 31/07/2001 – affaire Refah Partisi contre République de Turquie – dans son Arrêt confirmé par la grande chambre de cette Cour le 13/02/2003, a fait « observer l’incompatibilité du régime démocratique avec les règles de la charia »).
Les attaques présentées ci-dessus par seulement quelques exemples, sont à elles seules constitutives du processus de mise à mort de la Nation française.
ATTAQUES PROVENANT DE L’INTÉRIEUR DU TERRITOIRE FRANÇAIS [14]
Les attaques lancées par les islamistes dans le cadre de la guerre contre l’Occident doivent aussi être prises en compte, ne serait-ce que du fait de l’existence de « cinquièmes colonnes [15]».
Le pouvoir français (particulièrement celui en place depuis 2017) amplifie et développe le travail de démolition de la Nation entrepris par ses prédécesseurs :
accentue la mise en place d’un système dictatorial : la pensée unique est la règle, la manipulation de l’information est le processus de base et l’arbitraire règne dans l’appareil d’État à tous les niveaux de l’Administration : nationale, régionale, départementale et communale. Il en est de même dans les médias (tous types de supports confondus), qui à l’exception de quelques uns assurant la ré-information de la Nation, sont des laquais du système bénéficiant de prébendes, diffusent et amplifient les informations trafiquées de la « voix de son maître » pour les opérations de manipulation de l’opinion publique : intoxication, désinformation, influence, propagande blanche, propagande noire ;
refuse de nommer l’ennemi alors que c’est maintenant établi : la France est en guerre, … mais alors, contre QUI ?
Le Premier Ministre, constitutionnellement responsable de la Défense nationale, ainsi que le Ministre de l’Intérieur responsable de la Sécurité intérieure et les différentes autorités subordonnées ou collatérales prétendent que l’ennemi est le terrorisme alors que ce terme ne nomme qu’une technique destinée à terroriser les agressés, ici les Citoyens français). Technique utilisée avec succès par les islamistes, par leurs collabos ou par leurs alliés …
Tant qu’un ennemi n’est pas nommé, il n’a pas d’existence ; dès lors, l’éliminer devient impossible. On ne combat pas un ennemi inconnu par nature. Cette situation est d’autant plus inquiétante qu’elle est aggravée par un climat anxiogène propice à la démobilisation de citoyens déjà gagnés par un individualisme forcené, contraire à l’immunité citoyenne collective vitale, aujourd’hui primordiale !
LA NATION EST AINSI DANS LE CHAOS LE PLUS TOTAL ET DONC INCAPABLE D’ÉLABORER LA MOINDRE STRATÉGIE.
Cette attitude qui est un bon moyen pour les lâches, pour fuir leurs responsabilités, ou tenter de camoufler leur collaboration avec l’ennemi ne se limite pas au refus de sa « pseudo méconnaissance » puisqu’en même temps, des responsables politiques, ou des autorités élues ou des citoyens chargés de mandats publics :
apportent leur soutien, de fait, aux islamistes : dès le 5 août 2014, le Ministre de l’Intérieur, dans le cadre de sa déclaration sur RTL, déclarait : « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad » ;
bafouent la Constitution en particulier par leur présence officielle lors de cérémonies religieuses islamiques (cf. Constitution de 1958 – Article 21) ;
ne respectent pas des principes de « laïcité », « d’égalité des confessions », puisque l’Exécutif a modifié ou créé des textes réglementaires au profit de la dite « finance islamique » (en fait de son vrai nom « finance soumise à la charia ») de telle sorte que le contrôle de certaines opérations financières impliquant des pays islamiques soit effectué sur le territoire national français selon les règles de la charia et par des religieux étrangers ;
ont mis en place une justice islamique dans le département de Mayotte, dans lequel les Cadis ( Magistrat musulman remplissant des fonctions civiles, judiciaires et religieuses, dont celle de juger les différends entre particuliers – Source CNRTL) sont devenus des magistrats bénéficiant d’une Délégation de Service Public !
bafouent la « loi de 1905 » en ne respectant pas l’interdiction de financer la construction de nouveaux lieux de culte, et en finançant de pseudo édifices culturels islamiques, en fait des centres cultuels ou politiques camouflés ;
reconnaissent de fait la polygamie islamique, et n’appliquent pas l’exclusion à l’accès à la nationalité française associée à cette situation (cf. Article L313-11 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile et en contradiction avec le « Code civil »). Corollairement des familles mono-parentales sont « créées » de toutes pièces pour pouvoir bénéficier de toutes les aides publiques dites sociales ;
poursuivent et développent la réécriture, la falsification, l’altération et voire la suppression de périodes entières de l’Histoire de notre Nation française au profit de l’islam et de sa « culture » de telle sorte que les héritages chrétien, grec et romain laissent la place à un pseudo héritage arabo-musulman ;
effacent la responsabilité des arabo-musulmans dans les guerres, les razzias, les actes de piraterie, l’esclavage ayant ensanglanté les pays européens et pays africains depuis des siècles, et pratiquement jusqu’à la chute de l’empire ottoman en 1923 ;
remplacent (procèdent à un révisionnisme particulièrement perfide et encore plus dangereux puisqu’il détruit l’enchaînement chronologique des événements concernant l’Histoire de la France au profit d’un classement thématique et manipulatoire ne permettant pas aux élèves de comprendre l’évolution réelle de notre Histoire et de son contexte ;
mettent en place l’espionnage des internautes patriotes, véritable viol des correspondances : identification des destinataires et prise de connaissance des contenus des messages échangés, est utilisé au prétexte de la lutte « contre le terrorisme » … alors que des prêches salafistes sont tolérés, que des chaînes de télévision « propriétés » de pays ou organisations soutenant, finançant les islamistes diffusent quotidiennement le poison de l’islamisme, via des liaisons radio-télévision satellitaires ;
pratiquent le culte de l’audimat jusqu’aux plus hauts niveaux de l’État. Toute occasion, quelle que soit sa nature, qu’elle soit officielle ou non, triste ou heureuse, est l’occasion d’opérations de propagande ou de manipulation afin « d’enfumer », épouvanter, voire de susciter la terreur dans l’opinion publique pour apparaître en sauveur ; ou tout simplement pour mener des actions de coercition sans bases juridiques, ignorant notre Constitution censée être un rempart contre l’arbitraire du pouvoir politique , et s’appuient sur des structures où règnent l’incompétence, l’inefficacité, le renoncement et où les mensonges sont courants ;
n’assurent pas – conformément à notre Constitution – la protection des Français alors que surviennent de plus en plus fréquemment des actions de guérilla urbaine – avec des actes terroristes ou non – commises par des islamistes « assistés » de trafiquants de toutes natures ;
prennent des décisions politiques qui, en plusieurs occasions ont permis à des islamistes de pénétrer les Forces de sécurité extérieure ainsi que les Forces de sécurité intérieure, certains d’entre eux à des postes très sensibles (par exemple affaire Mickaël HARPON) ;
tolèrent les attaques physiques contre les Forces de sécurité intérieure, dont les effectifs sont insuffisants, tout en sachant parfaitement que les Femmes et les Hommes qui les composent n’en peuvent plus et, parfois, font l’objet de poursuites judiciaires pour n’avoir fait que leur devoir en neutralisant la racaille islamiste ou autre ;
réduisent les effectifs des Forces de sécurité extérieure au point où leurs relèves sur des théâtres présentent de graves difficultés. Ce d’autant qu’elles sont aussi engagées sur le territoire national dans le cadre du plan « VigiPirate » dont le niveau, n’a plus aucun sens et ne constitue rien de plus qu’une opération de propagande équivalant – de fait – à désigner nos Soldats comme cibles pour les islamistes ;
ne remplacent pas des matériels militaires usagés, non adaptés conduisant à des situations dramatiques. Certains des matériels en service étaient déjà déployés en Afghanistan, ou avaient été mis en place lors de la guerre du Golfe. Donc des matériels datant de plus de trente ans !
A noter que ce comportement de responsables politiques, d’autorités élues ou de citoyens chargés de mandats publics est renforcé par le comportement de certains Français de confession catholique, particulièrement certains membres du haut clergé :
ardents partisans du « dialogue inter-religieux », par ignorance ou par esprit de collaboration, ne sont rien d’autre que des agents d’influence et/ou de propagande de l’islam, alors que les islamistes les manipulent en vue de les « inviter » à se convertir (cette « invitation » faite aux non-musulmans à « entendre » le message de l’islam est nommée « dawa ») ;
participent à des visites organisées de mosquées, au profit de jeunes enfants d’écoles catholiques qui, dans ces contextes sont soumis à des discours manipulatoires d’imams salafistes, (par exemple : Rachid Abu Hudayfa, mosquée SUNNA de Brest, individu de mouvance salafiste/wahabite et n’ayant pas le droit d’enseigner).
Ces attaques sont d’autant plus graves qu’elles sont dans les faits largement soutenues par le pouvoir exécutif, certains membres du pouvoir législatif et les anarcho-révolutionnaires maniant la désinformation à l’échelle nationale, afin d’accréditer la théorie fallacieuse et inopportune du « séparatisme », dont les promoteurs appartenant aux plus hauts niveaux de l’État occultent que toute idée de séparation, donc de séparatisme, suppose préalablement une appartenance à une entité commune sur des bases ethnique, linguistique, religieuse et dans le cadre d’une tradition historique commune !
Ce terme de « séparatisme » employé aux plus hauts niveaux de l’État, n’est pas une simple confusion, ni la méconnaissance d’un terme de la langue française.
Fin de la deuxième partie
Lt Colonel Jean-François Cerisier
26 avril 2023
[7] Collabo : raccourci péjoratif du terme « collaborationniste » très largement utilisé durant la deuxième guerre mondiale pour nommer celles et ceux qui collaboraient avec les nazis.
[8] SUN TZU, Conseillé de l’empereur de Chine, environ 2000 ans avant J.C., dans son traité « l’Art de la Guerre » avait recommandé treize types d’actions qui – aujourd’hui – sont largement utilisées, y compris dans notre Patrie !
[9] Hindou Kouch : zone de hautes montagnes centrée sur l’Afghanistan et débordant au Pakistan. Dans cette zone, entre les années 1000 et 1500 (environ), plusieurs dizaines de millions d’Hindous furent massacrés par les hordes musulmanes.
[10] OCI : Organisation de la coopération islamique
[11] Irresponsable « Qui est juridiquement dispensé de répondre de ses actes en vertu d’un privilège. » (Source CNRTL).
[12] Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes. Outre le contrôle des migrations, elle s’est vu attribuer un rôle de gestion des frontières et une responsabilité accrue dans la lutte contre la criminalité transfrontalière. (Source : https://frontex.europa.eu/fr/)
[13] Sous commandement civil ou militaire, la FGE ou Eurogendfor est une organisation dédiée à la gestion des crises extérieures, adaptée à la diversité des contextes de l’action internationale dans les zones de tension.
[14] Bien noter ici que l’expression « territoire Français » doit être comprise dans son extension et non pas limitée uniquement à l’Hexagone !
[15] Agents d’action ou d’influence, cachés, agissant au profit d’un agresseur
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Nombre de messages : 2672 Age : 80 Emploi : Retraite Date d'inscription : 20/09/2021
Sujet: Re: Lettre ouverte à la France en danger Sam Avr 29 2023, 08:44
LETTRE OUVERTE A LA FRANCE EN DANGER – PARTIE 3
(Lt Colonel Jean-François Cerisier)
PARTIE 3
Ce terme de « séparatisme » employé aux plus hauts niveaux de l’État, n’est pas une simple confusion, ni la méconnaissance d’un terme de la langue française.
Le concept nommé séparatisme est utilisé sciemment, à des fins manipulatoires, dans le cadre d’opérations de désinformation des Français, avec pour finalité de cacher les réalités et de refuser de combattre les actions de création, développement, démultiplication de « bases opérationnelles » (expression à prendre au sens militaire) et non pas de simples « bulles communautaires » comme on peut le lire ou l’entendre :
avec implantations d’agents et de structures islamistes, éventuellement clandestins (implantation : « Action de mettre en place quelque chose, et de l’installer à demeure quelque part » (Source : Larousse) ;
afin de réaliser l’emprise des islamistes sur la population française (emprise : « Ascendant intellectuel ou moral exercé par quelqu’un, ou influence de quelque chose sur une personne » (Source : Larousse).
C’est à partir de ces bases opérationnelles qu’est propagée la conquête de la France depuis de nombreuses années. Le nombre de ces bases opérationnelles ne fait que croître, en raison de l’immigration illégale, acceptée, organisée ou voulue par les autorités de l’État dans le cadre du « droit du sol ». Il est intéressant d’étudier et prendre en compte ce qui se passe avec le département de Mayotte qui bat tous les records de naissances en France, et dans lequel ce sont principalement des femmes Comoriennes, voire provenant d’autres contrées – donc non Françaises – qui mettent au monde des Français en vertu du droit du sol !
Ces bases opérationnelles, de proche en proche, pourront être réunies – éventuellement à cheval sur plusieurs frontières européennes – juridiquement et territorialement selon le droit islamique (charia) pour devenir des enclaves de plus en plus vastes de « dar al islam » (ou terre régie par les lois d’Allah).
L’existence de ces Bases opérationnelles doit impérativement être prise en compte par les plus hautes autorités de l’État, sans la moindre faiblesse, ni la moindre perte de temps, en vue de leur « neutralisation définitive » et cela, quelles que soient les origines des attaques et quels que soient leurs commanditaires ou auteurs :
États, dits ” amis ” ;
organisations para-étatiques, internationales ou nationales ;
groupes internationaux ou nationaux, d’affaires ou d’intérêts ;
groupes internationaux ou nationaux à caractère social, ethnique, philosophique, ou confessionnel ;
organisations se déclarant « philanthropiques » mais pratiquant l’entrisme (Tactique consistant à s’introduire dans une organisation, un parti, pour en infléchir l’orientation. Source : Dictionnaire de l’Académie Française) ;
Les islamistes, leurs collabos et leurs alliés, particulièrement les gauchistes de toutes obédiences – entendent imposer à notre Nation un système politique, de gouvernement, une loi fondamentale (Constitution), un système de pensée, un mode de vie, une religion en totale contradiction avec : la volonté des Citoyens français, les Valeurs forgées au cours de l’Histoire de notre Nation, et niant les faits historiques malgré la présence de preuves rapportées par les historiens, et ce à des fins religieuses, racistes ou politiques.
Ils entendent aussi parvenir à des modifications en profondeur des caractéristiques essentielles de notre civilisation, par l’acceptation officielle, ou de fait (déjà largement entamée), de nombreux « aménagements dans la Constitution et/ou le corpus législatif », nos coutumes, « conformément aux demandes » des soi-disant « autorités » politico-religieuses islamistes, telles que :
l’acceptation de la polygamie, illégale, mais reconnue de fait puisque que les épouses autres que la première sont considérées comme chefs de familles monoparentales et perçoivent illégalement différentes allocations attachées à cette situation ;
l’acceptation du mariage entre vieux libidineux et fillettes de neuf ans, pas encore dans le cadre du mariage civil, mais dans celui du mariage religieux islamique, alors que conformément à nos lois les « maris » devraient être jugés et condamnés pour pédophilie et viol ;
l’acceptation de l’abattage rituel, c’est-à-dire halal, et la consommation de cette viande par ailleurs imposée dans de nombreuses organisations étatiques ou territoriales, et dans de nombreuses Grandes Surfaces. De plus, cet abattage rituel pouvant avoir lieu – illégalement – en pleine rue, et sans aucun contrôle sanitaire ;
l’endoctrinement religieux dès l’âge de cinq ans, voire plus tôt, et de plus financé pour unepart par l’État (c’est à dire avec les impôts des Français), dans le cadre de contrats d’association établis au profit d’écoles confessionnelles ;
la reconnaissance d’Allah comme le seul « vrai dieu », son prophète Muhammad comme le modèle de la vie sur terre, et les autres religions comme étant fausses ;
l’instauration de l’enseignement de la langue arabe dans les écoles . Selon le rapport d’information du Sénat (Rapport d’information n° 63 (2003-2004) de M. Jacques Legendre, fait au nom de la commission des affaires culturelles, déposé le 12 novembre 2003 et reprise depuis ), « il est impératif de proposer une offre suffisante d’enseignement traditionnel d’arabe dans les établissements scolaires ! » au prétexte que « la tradition de l’école orientaliste française donne à l’enseignement républicain une légitimité pour assurer l’enseignement de l’arabe et le défaire des préjugés » [16] ;
l’autorisation des appels quotidiens à la prière, de préférence à grands renforts de décibels ;
la construction de mosquées « monumentales » à proximité des édifices religieux traditionnels, de telle sorte qu’ils en « écrasent » la vue et perturbent leur utilisation ;
la concession de baux emphytéotiques administratifs par des collectivités publiques, ou la participation financière directe ou indirecte de ces collectivités , …
la séparation des femmes et des hommes dans les environnements sportifs, et des horaires d’accès aux piscines, différenciés pour les femmes et les hommes ;
la généralisation du port du voile islamique en tout lieu et en tout temps, y compris dans des contextes nécessitant une identification visuelle des personnes (Bureaux de vote, bâtiments publics ou contrôles d’identité sur la voie publique, particulièrement, entre autres choses pour des raisons de sécurité) ;
les dispenses accordées à certains travailleurs pour la manutention de produits, alimentaires ou non, contenant de la viande de porc ou de l’alcool, alors qu’ils n’ont aucun contact avec ces produits, pas même visuel ;
la réservation à la prière de locaux dans des environnements de travail au sein des entreprises ou des administrations ;
la suppression, dans les médias de l’utilisation de termes tels que « islamisme », «islamiste », « jihad » « guerre faite pour propager l’islam sur le monde » ;
l’atteinte à l’image ou à la crédibilité de nos concitoyens en charge de fonctions de direction, d’encadrement, tant dans le secteur public que le secteur privé ;
l’atteinte à l’image ou à la crédibilité des citoyens détenteurs de fonctions électives au prétexte que ces dernières ne seraient pas conformes à la charia ;
les menaces envers les représentants de la Nation au prétexte que les lois votées ne seraient pas conformes à la charia ;
les manipulations, les intoxications, les menaces et voies de fait à l’encontre des membres des Forces de sécurité intérieure ou des des Forces de sécurité extérieure, au prétexte que leurs actions de police ou de maintien de l’ordre sont des atteintes à l’islam ou qu’elles stigmatisent les musulmans ;
les manipulations, intoxications des représentants des « fausses religions » que sont le bouddhisme, le christianisme, le judaïsme et l’hindouisme ;
les discours dans lesquels sont ânonnés les termes de « tolérance », ou sorte de discrimination positive au sommet de l’État favorisant la tromperie dans la volonté de l’islam pour le dialogue , la confiance le respect », et le désir de paix.
Les attaques présentées ci-dessus – particulièrement celles montées par les islamistes, leurs collabos et leurs alliés – parmi beaucoup d’autres exemples, sont à elles seules constitutives du processus de mise à mort de la Nation française.
La gravité de cette situation, impose un changement radical dans sa perception, condition primordiale pour activer la volonté des citoyens de s’opposer aux attaques, à la passivité, la lâcheté ou aux complicités se multipliant et dont les conséquences sont de plus en plus lourdes pour notre PATRIE. Cette volonté permettra aussi aux Français d’être les acteurs essentiels dans l’effort de « contre-guerre », aux côtés des Forces Armées et les Forces de Sécurité Intérieure.
CE SONT TOUTES LES FORCES VIVES DE LA NATION QUI SONT IMPLIQUÉES DANS LES ACTES DE GUERRE, QU’ELLES LE VEUILLENT OU NON.
C’est donc la Nation FRANCE, dans son ensemble, toutes ses Filles, tous ses Fils, qu’ils soient Français par le sang reçu ou par le sang versé, qui doivent se battre avec :
la volonté de maintenir et renforcer les Valeurs, pour lesquelles tant de générations ont accepté de se battre et de mourir ;
la certitude de la Valeur de chaque Français, particulièrement celle de combattant, de résistant, ainsi que la certitude de la Valeur des croyances auxquelles il est attaché ;
la certitude de la justesse de notre propre cause, de notre Patrie, de l’Armée, de la Police, de la Justice, de l’École;
la conviction que l’opinion mondiale, dans son ensemble est avec nous ;
la conviction du bien fondé de nos choix et de nos actes qui sont à la fois logiques et essentiels ;
la confiance en nos moyens de défense et d’attaque dont nous sommes la cheville ouvrière;
la conviction que le combat – même difficile mais primordial – aura une fin ;
la certitude que les islamistes ne sont pas un ennemi invincible, et que nous aurons sa peau : d’autres avant nous l’ont prouvé par les armes ;
la certitude de l’utilité vitale de notre combat quelle qu’en soit sa violence.
“Ami, pour hier, il est trop tard, il est toujours trop tard… mais pour demain, il n’est pas trop tard, il n’est jamais trop tard…
Demain, reste à faire.
Et ton salut, ami, se trouve au bout de la journée de demain.
Cela s’appelle l’espérance .”
Citation du Grand Soldat de France du XXe siècle : Hélie Denoix de St Marc.
Nous n’avons plus beaucoup de temps pour nous rassembler et affronter la réalité, en dépend la survie de notre Nation libre et démocratique, aujourd’hui sidérée et passive : c’est le devoir de tout Français de s’engager et de s’impliquer concrètement dans la guerre totale de ce début du XXIe siècle !