MES VOEUX POUR 2023
L’année 2022 est presque terminée. Elle aura été aussi calamiteuse, aussi catastrophique, sinon plus, que les précédentes. Depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, on a l’impression que le délitement de la France s’accélère. Je fais partie des naïfs qui pensaient qu’avec Hollande, ce porcelet priapique, on avait touché le fond.
Hélas, trois fois hélas, je me trompais !
En cette période de l’année, et ce depuis des décennies, j’envoie mes vœux à mes amis sous la forme d’une longue missive, qui, une fois édulcorée pour être publiable, devient un article destiné à quelques journaux de droite et à des sites de la « Fachosphère » (1). J’y récapitule l’année écoulée et j’émets des souhaits, plutôt des vœux pieux, pour celle à venir.
Cette année encore je ne dérogerai pas à cette habitude, mais cet article sera plus court que celui des années précédentes car, au fil du temps, j’ai l’impression de radoter : le constat que je fais sur la France est en gros toujours le même, sinon que la chute s’accélère. Comme Michel Onfray, je doute de la capacité de réaction de notre pays. Il est gangréné, vérolé, pourri, perverti, et… abruti.
LES OPTIMISTES ESPÈRENT QU’IL Y AURA UN RÉVEIL, UN SURSAUT SALUTAIRE, UN RETOUR DE BALANCIER…
Je le souhaite moi aussi, mais sincèrement, j’y crois de moins en moins.
« La France a perdu une bataille ; mais la France n’a pas perdu la guerre ! »
Cette phrase, attribuée à de Gaulle, figure sur l’affiche placardée sur les murs de Londres le 3 août 1940. Elle ne figure pas dans le fameux « appel du 18 juin », et pourtant elle fait partie du mythe gaulliste.
En réalité, on la doit au général Maxime Weygand qui comptait sur notre Empire colonial et sur notre Armée d’Afrique pour une éventuelle reconquête. Weygand et Giraud voyaient juste : nos Armées avaient subi une mémorable raclée en juin 1940, mais, grâce aux Américains (90 divisions) et à l’Armée d’Afrique (2), nous étions parmi les signataires de la reddition de l’Allemagne le 7 mai 1945.
Mais depuis, les choses ont bien changé !
La France a perdu TOUTES ses batailles et elle est en train de perdre la guerre.
Sa descente aux enfers aura connu des paliers successifs qui n’ont pas ému un peuple de veaux trop bien nourris durant les « Trente Glorieuses ».
Nous avons perdu notre autosuffisance énergétique en perdant notre Empire, au début des années 60. Vatican II a affaibli le catholicisme deux ans plus tard. Mai 1968 a accéléré le délitement – moral ET intellectuel – du pays. Des accords de coopération avec nos anciens colonisés, puis le « regroupement familial » du funeste tandem Giscard-Chirac ont amené chez nous une immigration afro-maghrébine qui, contrairement à l’immigration de travail d’autrefois, n’a aucune intention d’intégrer nos us et coutumes, et encore moins de respecter nos lois.
Manipulées par l’ultragauche soixante-huitarde, les jeunes générations issues de la « diversité » apprennent dès leur enfance à détester la France. Dans le même temps, la Loi Veil, légalisant l’avortement, condamnait à mort 230 ou 240 000 petits Français par an (chiffres officiels). Depuis 1975, on en a donc tué plus de 9 millions !
PUIS L’EUROPE SE CHARGEAIT DE DÉSINDUSTRIALISER LE PAYS ET D’AGGRAVER SON INVASION
Rappelons quelques dates, juste pour mémoire : Schengen en 1985, Maastricht en 1992, le Marché unique en 1993, la Monnaie unique, le 1er janvier 2002. Après ses frontières, devenues des passoires, la France perdait aussi sa monnaie. Elle n’était donc plus une Nation, mais un « Land » européen. Dans cette litanie de coups tordus, n’oublions pas que les Français ont refusé le Traité de Nice, le 29 mai 2005, et que, à peine élu, Nicolas Sarkozy faisait voter le Congrès (3), le 13 décembre 2007, pour nous imposer le Traité de Lisbonne (qui est un quasi copier-coller du Traité de Nice).
A l’heure actuelle, 80% des textes qui régissent notre vie sont des directives imposées par Bruxelles.
L’agonie de la France a été relativement lente. Du coup, beaucoup de nos concitoyens ont refusé d’écouter ceux qui les mettaient en garde depuis des lustres. La politique de l’autruche : la tête dans le sable et le cul à l’air, prêt à recevoir les derniers outrages. D’autres, telle la grenouille dans l’eau chaude, n’ont rien vu venir.
Les violences urbaines s'étendent, et avec elles les territoires perdus de la République? -
Shootés au « Padamalgam », abreuvés jusqu’à plus soif du « vivre ensemble », du métissage, du multiculturalisme, de la « diversité » qui serait, parait-il, « une chance pour la France », ils n’ont pas vu, ou pas voulu voir, que nos banlieues devenaient des zones de non-droit, des coupe-gorges, des « territoires perdus de la République » pour parler comme les cuistres.
Mais depuis l’élection d’Emmanuel Macron, on a la très nette impression que les européistes ont décidé de passer au braquet supérieur. D’ailleurs l’ancien banquier de chez Rothschild, le pantin choisi par le Forum de Davos, n’a-t-il pas été programmé, formaté, et mis en place pour ça ?
Combien de fois ai-je écrit que j’aimais la belle devise des « Croix-de-Feu » du colonel de La Rocque : « Travail, Famille, Patrie » (4). Or ceux qui veulent détruire la nation ont compris qu’il fallait tuer le travail (en désindustrialisant le pays), tuer la famille (avec l’IVG, le PACS, le mariage des invertis, la primauté donnée aux LGBT, etc…) et, enfin, tuer la patrie en accueillant massivement une faune allogène qui la déteste et entend lui imposer ses mœurs et/ou la Charia.
Il fallait aussi tuer la « superstition » car toutes les grandes civilisations s’appuient sur une religion forte. Le catholicisme a du plomb dans l’aile depuis 1789. Vatican II s’est chargé d’accélérer le processus mais, comme visiblement c’est encore trop lent, Bergoglio – dit « François 1er » – fait ce qu’il faut pour que l’Europe devienne musulmane. Son encyclique « Fratelli tutti » (Tous frères) et son livre « Un tempo per cambiare » (Un temps pour changer) sont tantôt une moraline infantilisante sur l’accueil des migrants, tantôt une quasi déclaration de guerre à l’Occident chrétien.
Au final, Soros, le Forum de Davos, le Groupe Bilderberg, les GAFA, Ursula von der Leyen, Macron et Bergoglio mènent le même combat ! Sus aux États-nations, à l’indépendance des peuples et à leur liberté ; vive la supranationalité européenne et vive la « mondialisation heureuse » !
Certains vont dire que j’exagère, que je noircis le tableau ; d’autres me citeront Talleyrand qui disait que « tout ce qui est excessif est insignifiant. ». Je les invite à lire « Great Reset » (Grande Réinitialisation) de Klaus Schwab, le président-fondateur du Forum de Davos.
Pour tuer une nation, il faut aussi tuer sa langue or, si les amoureux du français combattent depuis des années les anglicismes, là encore, tout s’accélère avec Macron, tout juste élu, qui s’est rendu au « Sommet de la Francophonie » et a prononcé un discours… en anglais ! C’était une gifle à la langue de Molière, langue qu’il a pourtant apprise avec Brigitte Auzière (née Trogneux) (5).
Avez-vous remarqué, qu’à l’heure actuelle, les marques françaises – automobiles, banques, parfums, produits de luxe etc…- ont presque toutes adopté un slogan publicitaire en anglais ? Même AXA, premier groupe d’assurances français, a opté pour « Know you can » !
A la télé, les séries américaines – qui diffusent toutes le même message « politiquement correct » – ne se donnent même plus la peine d’avoir un titre en français. On peut en dire autant des émissions-jeux qui se chargent de l’abrutissement des masses : « The voice », « Dance floor », « Mask singers »… etc. Je vous cite ces noms de mémoire, car je ne regarde jamais ces débilités, mélange d’infantilisation et de vulgarité à l’américaine. Mais elles font de l’Audimat, ce qui prouve le niveau d’abrutissement, de niaiserie et d’abêtissement de notre pauvre pays.
Mais il y a aussi le pathos jargonneux des gens branchés, les nouveaux précieux ridicules. Un supérieur s’appelle un « N+1 » (ou N+2 ou 3 selon son grade) ; on communique en « 2.0 » ; la vente est devenue une « relation client ». Jadis, c’est ainsi qu’on parlait de l’échange entre une fille de joie et un micheton. Les formations sont devenues « proactives », comme le Bifidus dans les yaourts.
Et que dire de celui des banlieues, ces territoires qu’on dit perdus alors qu’ils sont, en fait, conquis par l’Islam et les dealers ? On y parle une langue bizarre (en plus de«Wesh gros!» | Fred via Flickr CC License by dialectes africains : le Wolof, le Peul, le Sérère, le Diola, le Saafi, le Soninké, le Bambara… liste non limitative) illustrée par une gestuelle qui aide à la mieux comprendre : « C’te meuf, j’la kiffe grave », « J’nique les keufs ! ». Et, tant qu’on y est « j’nique ta mère, eh bouffon ! » accompagné d’un doigt d’honneur qui vous informe que le primate à capuche qui gesticule devant vous a des pulsions sexuelles inassouvies.
Vous me direz que la probabilité d’aller dans ces banlieues est quasi-nulle ; même les flics, les médecins et les pompiers ne peuvent plus y entrer !
J’ALLAIS OUBLIER LE MASSACRE DE NOTRE BELLE LANGUE AU PROFIT D’UNE ECRITURE DITE « INCLUSIVE ».
Pour moi une combattante du feu ne sera jamais une « sapeuse-pompière », ni une plumitive ne une « écrivaine ». Comme le préconise l’Académie Française, la première magistrate d’une ville s’appelle « Madame Le Maire » (exception faite d’Anne Hidalgo qui est « l’amère de Paris »). Un homme se désigne par le pronom personnel masculin « il », une femme par « elle » ; quant à « iel » qui, si j’ai bien compris, est hermaphrodite comme l’escargot, qu’il aille se faire voir chez les Grecs, surtout si ça peut lui procurer du plaisir !
Ceci m’amène au dernier volet de la mort programmée de la nation : la dictature des minorités. Pour être tout à fait exact, il faut maintenant parler d’une véritable prise de pouvoir par les minorités : islamistes (et islamo-gauchistes), LGBT, féministes, écolos, décoloniaux, végans, antispécistes, etc… Toutes ces catégories – minoritaires mais terriblement sectaires – ont déclaré la guerre à leur ennemi commun, le mâle blanc hétérosexuel (qui est souvent catholique et qui vote à droite). En pompier-pyromane, Macron laisse faire, souffle sur la braise et encourage la guerre civile larvée qui affaiblit notre pays. Quand il va à l’étranger, il se permet même d’insulter son peuple.
ALORS OUI, C’EST VRAI, JE ME SENS DE MOINS EN MOINS FRANÇAIS (ET DE PLUS EN PLUS PATAGON !).
J’en ai marre de devoir subir sans broncher les diktats de Bruxelles, les oukases des minorités – religieuses, raciales ou sexuelles – qui sont le véritable pouvoir ; les mensonges des « merdias » – écrits ou télévisuels – qui leur servent la soupe ; l’infantilisation que nous impose une classe dirigeante aussi arrogante qu’incompétente ; l’hyper fiscalité qui est le corollaire du « quoi qu’il en coûte » macronien ; et les menaces de me voir trainer devant la justice si j’exprime trop crûment mon indignation, ma grogne ou ma colère.
En clair, je n’en peux plus !
Je vous éviterai la litanie de mes (bonnes) raisons de râler et de fulminer ; leur kyrielle finirait par vous lasser. Disons, que je suis atterré par la soumission, la veulerie, des gens qui sont allés, péteux et en rasant les murs, rendre le fusil de chasse de leur grand-père à la gendarmerie de leur patelin, avec parfois des commentaires affligeants expliquant qu’une arme à feu peut tuer.
Pour ma part, j’ai toujours pensé que l’arme n’est qu’un moyen, c’est son utilisateur qui peut éventuellement être dangereux. La lecture des faits divers me laisse à penser qu’on tue beaucoup au couteau chez nous. Dans la plupart des « féminicides » récents, les victimes ont été surinées ou étranglées, très majoritairement par des gens (plus ou moins) issus de l’immigration, et le fusil de chasse de grand-papa est resté au râtelier en attendant le prochain passage des palombes.
Le ministricule Darmanin se félicite du succès – inespéré – de cette collecte d’armes mais ne nous communique pas les chiffres obtenus dans les banlieues de non-droit. On a dû, je suppose, y collecter un nombre impressionnant de fusils d’assaut Kalachnikov (AK 47 pour les puristes) ?
Pendant toute la coupe du monde de « balle au pied » nous avons assisté à des scènes de pillage, de guérilla urbaine, de saccages de la part de Marocains (ou plutôt de Franco-marocains) qui soutenaient leur équipe. Vous aurez noté qu’au Maroc, pays que je connais bien et que j’aime, les victoires de l’équipe nationale ont donné lieu à des scènes de liesses populaires. Chez Mohamed VI on ne casse pas les vitrines, on ne brûle pas les voitures, on n’agresse personne, et ce pour une raison simple : ce pays est gouverné de façon autoritaire et le Roi sait avoir la main lourde contre ceux qui ne respectent pas la loi.
Mohamed VI est le « commandeur des croyants » ce qui lui donne le droit de taper fort. Chez nous le pouvoir reprend du poil de la bête quand, enfin, un groupuscule de l’ultra-droite lui donne l’occasion de brandir « le danger fasciste », « la peste brune » et d’évoquer avec des trémolos « les heures les plus sombres de (notre) histoire ». C’est HONTEUX ! Combien de victimes peut-on imputer à l’extrême-droite depuis la fin de la guerre d’Algérie (6) ? Sauf erreur un tué et un blessé. J’invite l’arrogant Gérald Moussa Darmanin à mettre ce chiffre en parallèle des 271 tués et 1200 blessés, victimes des attentats terroristes sur notre sol depuis seulement dix ans (2012).
Le danger, en France et en Europe, c’est l’Islam salafiste et les collabos islamo-gauchistes qui favorisent son entrisme dans la société. Je ne prétends pas, tant s’en faut, être un spécialiste du Coran, mais je peux en parler sans haine et sans passion, en restant tout simplement factuel :
Le Coran est constitué de versets, de sourates (en arabe : سورة, sūra) lesquelles sont complétées ou explicitées par les hadîts (en arabe : حديث / ḥadīṯ). 114 sourates, classées dans un ordre de longueur assez sensiblement décroissant, forment le Coran.
Or le livre comporte plus de 600 versets consacrés à la guerre aux non-musulmans et aux apostats. 396 versets sont haineux, belliqueux, esclavagistes, anti-chrétiens, anti-juifs, ou appellent à tuer les apostats et les infidèles. 129 versets prônent la guerre et le djihad. On y compte plus de 200 répétitions du mot « enfer », et 365 répétitions du mot « châtiment » et ses nombreuses variantes (menaces, intimidation …). Le Coran contient aussi 41 versets associant la femme au mal ou au diable. Je vous épargnerai une fastidieuse énumération des versets violents. Contentons-nous, juste pour l’exemple, de la Sourate 5 (« La table servie »), verset 33.
« Tuer, crucifier, expulser du pays les corrupteurs. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et son messager… c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment… ».
Ne cherchez pas le mot « aimer » dans le Coran, vous ne le trouverez pas !
Aimer n’est pas musulman mais chrétien ! Le Coran, c’est le livre saint d’une religion forte. Une religion dont les visées expansionnistes sont clairement énoncées et annoncées.
Quand Erdogan claironne qu’il veut recréer l’Empire Ottoman, il est dans la même logique conquérante qu’Abou Bakr al-Baghdadi, fondateur de l’État islamique (en arabe : الدولة الإسلامية) aussi appelé Daesh, qui déclarait, à la création de son mouvement : « Nous reprendrons Grenade ».
Si cela ne vous parle pas, je vous rappelle qu’en 1492, les troupes d’Isabelle de Castille et de Ferdinand d’Aragon chassaient les Maures de Grenade, dernière étape de la « Reconquista ».
L’islam n’avance pas masqué ! Dans son discours sur le « séparatisme », Emmanuel Macron prônait un « Islam des Lumières », et c’est l’Islam des… cimeterres qui lui a répondu.
Comme je connais (disons, un peu !) et que je respecte l’Islam, je réfute par avance le sacro-saint « pas d’amalgame ».
Il émane souvent de gens qui ne font pas la différence entre les Sunnites et les Chiites, entre le Soufisme et le Salafisme, ou qui ignorent tout du Wahhabisme (en arabe : الدعوة الوهابية) (7). Ceux qui confondent allégrement un Ouléma (en arabe علماءʿ ulamā’), enseignant dans une médersa (ou madrassa, en arabe : مدرسة) (8), avec un Muezzin (arabe مؤذّن) ou un Imam (arabe : imām, إمام,), souvent autoproclamé, qui dirige la prière en commun.
L’Islam est pluriel, tout le monde le sait ou devrait le savoir, mais arrêtons de prendre les Français pour des imbéciles ou des débiles profonds. De grâce, ne nous voilons pas la face !
On peut philosopher durant des heures sur cette belle religion « de tolérance, d’amour et de paix » ; sur l’islam intégriste, modérément radical ou radicalement modéré ; faire un distinguo subtil entre le Coran alternatif et le Coran continu ; il n’en demeure pas moins vrai qu’un sondage récent nous apprend que la jeune génération musulmane issue soit du regroupement familial, soit du « Jus Solis » – dans son immense majorité (71%) – fait passer la Charia avant les lois de la République.
Musulmans dans le monde : Unité et diversité
Musulmans dans le monde
Il y a 50 pays musulmans dans le monde et, dans presque tous ces pays, les Chrétiens sont persécutés. Notons aussi qu’aucun de ces états n’est une vraie démocratie mais, au risque de vous surprendre encore, ceci ne me dérange pas le moins du monde. D’abord parce que je respecte la souveraineté des peuples : après tout, ils sont chez eux !
Ensuite parce que le concept – ô combien critiquable – d’ « ingérence humanitaire » inventé par Bernard Kouchner, nous a valu, entre autres drames, des « printemps arabes » calamiteux qui n’ont réussi qu’à faire enfler un peu plus la colère des Musulmans contre l’Occident. Mais, force est de constater que si tous les Musulmans ne sont pas des terroristes, tous les terroristes qui commettent des attentats chez nous sont des Musulmans.
Je vous épargnerai la liste et le nombre de victimes des attentats islamistes commis sur notre sol depuis 2012 (et même depuis 1995, époque où la GIA Algérien exportait son terrorisme en France). Ne généralisons cependant pas : quand je m’exprime sur les Musulmans – ce qui m’arrive relativement souvent – je rends hommage aux magnifiques combattants de l’Armée d’Afrique, ceux de Monte-Cassino et du débarquement en Provence, ou à nos Harkis, fidèles à la France et livrés aux égorgeurs du FLN.
Il m’arrive fréquemment de conseiller à des amis la lecture du livre « Mon pays, la France » du Bachaga Saïd Boualem (9) : preuve, s’il était besoin, que l’attachement à l’Islam n’empêche pas une parfaite intégration.
Le danger de l’islamisation rampante de la France n’est pas nouveau : Jean-Marie Le Pen, François Brigneau, Roger Holeindre et quelques autres (dont, modestement, j’étais) le dénonçaient au début des années 1970, il y a un demi-siècle. Il s’est aggravé avec le « regroupement familial » de Giscard et ceux qui aujourd’hui le découvrent sont soit des imbéciles, soit des menteurs.
Souvenez-vous, par exemple, de la « marche des Beurs » d’octobre à décembre 1983.
Soutenue et encouragée par le curaillon Delorme et le pasteur Costil, tous deux de gauche, une bande de « jeunes » des Minguettes à Vénissieux, près de Lyon, entamait une longue marche inspirée, nous dit-on, par « les moyens d’action de Martin Luther King et Gandhi » vers la capitale.
Les « Beurs » mettaient en avant deux revendications principales : une carte de séjour de dix ans et le droit de vote pour les étrangers. Leur marche scandait des slogans niaiseux dont un qui disait :
« la France c’est comme les mobylettes, ça marche au mélange ! »
Le genre d’argument idiot mais imparable, qui cloue le bec de tout opposant. Jean-Marie Le Pen avait aussitôt répondu :
« C’est vrai mais quand le mélange dépasse 4 ou 5%, le moteur s’encrasse et tombe en panne »
C’était, déjà à l’époque, une synthèse magistrale du problème de l’immigration !
Nous sommes sans doute en mesure de supporter une immigration de travail limitée à 4 ou 5% de la population mais il faut impérativement arrêter l’immigration de peuplement, supprimer le « regroupement familial » ET le droit du sol. Il va sans dire, mais tellement mieux en le disant, qu’il faut aussi supprimer la double (ou triple) nationalité et renvoyer dans leur pays les étrangers qui commettent un délit en France.
Mais je subodore que, pour le Nouvel Ordre Mondial, le « remplacement de population » est voulu, programmé, planifié.
Le Gaulois, bientôt minoritaire dans son pays, bouge encore mais, à coup d’assignation à résidence, de surinformation catastrophiste, de confinement, de « pass-sanitaire » obligatoire, de vaccins suivis de rappels, de coupures de courant, de pénuries, d’entretien de la peur, on peut casser son esprit de résistance et en faire un mouton qu’on pourra tondre à loisir.
Mais le panurgisme des masses se retourne parfois contre les mauvais bergers : beaucoup d’agitateurs de la Révolution ont fini sur le « rasoir national », victimes de gens encore plus excessifs et expéditifs qu’eux. Le mot « résilience », qu’on semble redécouvrir et dont on nous abreuve tous les jours, ne veut pas forcément dire acceptation ou collaboration.
Mais il est temps de conclure. On va essayer d’oublier cette annus horribilis 2022.
Pour clore cette année, le « Time », ce torchon gauchisant américain, a mis la photo de Volodymyr Zelensky en couverture. Le voilà désigné « personnalité de l’année 2022 ».
Reconnaissons au « Time » un flair indéniable dans le choix de ses « unes » : en 1938, très en avance sur la mouvance écolo-végane, le « Time » mettait à l’honneur une forte personnalité, un végétarien pur et dur, un buveur d’eau, un certain…
Adolf Hitler.
Bon, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un Joyeux Noël Chrétien et une Bonne Année 2023, pour vos proches et votre famille.
Santé, Bonheur, etc…etc…
Je terminerai mes vœux pour 2023 sur une citation de Pierre Desproges :
« Mes idées sont trop originales pour susciter l’adhésion des masses bêlantes ataviquement acquises aux promiscuités transpirantes et braillardes inhérentes à la vulgarité du régime démocratique imposé chez nous depuis deux siècles par la canaille régicide ».
Pierre Desproges écrivait ça pour amuser ses lecteurs, moi c’est le plus sérieusement du monde que je vous le dis.
Même si je sais que c’est totalement irréaliste, j’ai envie de lever mon verre et de crier :
« Mort à la gueuse et vive le Roy ! »
Éric de Verdelhan
19 décembre 2022
1)- La « Fachosphère » est un mot inventé par la bienpensance pour cataloguer tous ceux qui ne pensent pas comme elle. En clair, ce qui n’est pas de gauche est fasciste : CQFD !
2)- N’oublions pas la 2ème DB et l’apport –certes faible – de la Résistance intérieure.
3)- Députés et Sénateurs réunis en Congrès, lequel, à la différence d’une assemblée législative, ne peut exercer le droit d’amendement. C’est donc une forfaiture…légalisée par la Constitution.
4)- Elle a été reprise plus tard par le gouvernement de Vichy. Depuis, elle sent le souffre et on lui préfère la devise du Grand Orient « Liberté. Égalité. Fraternité ».
5)- Brigitte lui a aussi appris les galipettes lubriques.
6)- Beaucoup d’attentats imputés à l’OAS étaient en réalité commis par des « barbouzes » gaullistes pour discréditer l’OAS.
7)- Mouvement se réclamant de l’islam sunnite hanbalite qui défend « un retour aux pratiques en vigueur dans la communauté musulmane du prophète Mahomet et ses premiers successeurs ou califes ». Il s’agit d’une forme de Salafisme. Le Wahhabisme est totalement opposé, par exemple, au Soufisme marocain jugé trop tolérant.
8)- Une médersa, ou école coranique, est une université théologique musulmane.
9)- « Mon pays, la France » du Bachaga Saïd Boualem ; France-Empire ; 1962.