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  Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale .

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Commandoair40
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Commandoair40


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 Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . Empty
MessageSujet: Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale .    Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . Icon_minitimeLun Oct 17 2022, 21:59

Les États-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale

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"Au début du XXIe siècle, s'il y avait bien une puissance qui cherchait à dominer le monde, en contraignant les autres et en bafouant les règles, c'était bien les États-Unis", pouvait-on lire dans une tribune parue en octobre 2020 dans le New York Times.

Depuis la déclaration d'indépendance en 1776, les États-Unis se sont attachés à étendre leur territoire et leur influence. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis n'ont épargné aucun effort pour poursuivre et maintenir leur hégémonie mondiale. Capitalisant sur leur supériorité absolue dans les secteurs militaire, économique, scientifique, technologique et culturel, ils se sont fréquemment immiscés dans les affaires intérieures d'autres pays, les intimidant, pillant et contrôlant sous la bannière de la "liberté, de la démocratie et des droits de l'Homme".

Dans l'après-guerre, les administrations américaines successives ont poursuivi des stratégies hégémoniques. De la doctrine Truman, également connue sous le nom de politique d'endiguement, aux politiques étrangères des administrations américaines récentes, notamment la stratégie de "puissance intelligente" de Barack Obama, la politique "America First" de Donald Trump et le plan "Build Back Better" de Joe Biden, le but ultime est toujours de garantir l'hégémonie américaine.

Les États-Unis ont attisé les tensions dans le monde entier en déclenchant des guerres, en provoquant des confrontations et en renversant des gouvernements étrangers par la force, semant la guerre et le désordre dans de nombreux pays et régions.


En défendant le soi-disant "exceptionnalisme américain", ce pays a délibérément appliqué "deux poids, deux mesures", au mépris des lois et règles internationales, et a gravement entravé la coopération internationale en utilisant les organisations, accords et conventions internationaux pour satisfaire à ses besoins, tout en abandonnant ceux qui allaient à l'encontre de ses intérêts.

En truquant le système financier international, les États-Unis se sont emparés d'énormes richesses tout en fermant les yeux sur la cupidité et la spéculation, ce qui a donné lieu à une crise financière mondiale.

En imposant de manière éhontée sa juridiction au bras long, ce pays a déclenché des conflits commerciaux avec de nombreux autres pays et n'a reculé devant rien pour réprimer ceux qu'il considère comme ses opposants. Il a aussi tenté de manipuler les opinions publiques internationales, tout en exportant ses valeurs et en menant des invasions culturelles dans d'autres pays.

Les États-Unis sont le plus grand saboteur des règles et de l'ordre internationaux, ainsi qu'une source croissante d'incertitude et d'instabilité dans le monde. L'hégémonisme et la politique de la force de l'Amérique ont sapé l'ordre mondial, menacé la paix humaine, entraînant de graves conséquences pour le monde. Ils sont devenus le plus grand défi pour le progrès de la société et de la civilisation humaines, ainsi que pour le développement pacifique.

UNE NATION BELLIQUEUSE

Les États-Unis ont toujours été une nation belliqueuse. Après avoir annoncé son indépendance le 4 juillet 1776, ce pays n'a jamais été en paix plus de vingt ans au fil d'une histoire de plus de 240 ans.

Dakota Wood, chargé de recherche sur les programmes de défense au Centre pour la défense nationale du think tank The Heritage Foundation, avait relevé en octobre 2018 que "tous les 15 ans environ", les Etats-Unis étaient impliqués dans un conflit.

Pour maintenir leur hégémonie, les États-Unis ont violé à plusieurs reprises de manière flagrante les principes de la Charte des Nations Unies et les normes du droit international.

S'appuyant sur leur force militaire, ils se sont ingérés dans les affaires intérieures d'autres pays et ont créé des conflits en menant des guerres, en mettant en œuvre des stratégies de confinement et en préparant des soi-disant "évolutions pacifiques" et "révolutions de couleur", menaçant ainsi gravement la paix mondiale.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, ils ont mené des guerres dans la péninsule coréenne, au Vietnam, au Kosovo, en Afghanistan, en Irak et dans d'autres pays, qui ont non seulement causé la mort de nombreux soldats, mais aussi entraîné des pertes civiles et matérielles extrêmement graves, déclenchant des catastrophes humanitaires choquantes.

En 2003, en dépit de l'opposition généralisée de la communauté internationale, les Etats-Unis ont lancé la guerre en Irak sur la base d'accusations injustifiées, tuant 180.000 à 200.000 civils irakiens, selon les statistiques de l'Institut Watson pour les affaires internationales et publiques. Les forces de la coalition ont également utilisé en Irak des munitions à uranium appauvri et au phosphore blanc, mettant gravement en danger l'environnement et la santé des populations.

Selon un rapport publié en mars par Code Pink, un groupe pacifiste américain, les Etats-Unis et leurs alliés n'ont cessé de bombarder d'autres pays au cours des vingt dernières années, larguant en moyenne plus de 40 bombes par jour. Fin février 2021, un peu plus d'un mois après l'entrée en fonction de l'administration Biden, l'armée américaine a mené des frappes aériennes dans l'est de la Syrie, suscitant de vives condamnations de toutes parts.

Derrière les bombardements aveugles de l'armée américaine à l'étranger se cachent des dépenses militaires sans cesse en hausse.

"En 2020, les dépenses militaires américaines ont atteint un montant estimé à 778 milliards de dollars, soit une augmentation de 4,4% par rapport à 2019", notait l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm dans un rapport publié en avril.

"En tant que No1 des dépenses militaires dans le monde, les États-Unis ont représenté 39% du total de ces dépenses en 2020. Il s'agit de la troisième année consécutive de croissance des dépenses militaires américaines", peut-on y lire.

Stephen Walt, professeur de relations internationales à l'université Harvard, a écrit sur le site du magazine Foreign Policy : "Les campagnes sans fin à l'étranger libèrent une foule de forces politiques - militarisme, secret, pouvoir exécutif renforcé, xénophobie, faux patriotisme, démagogie, etc. - toutes contraires aux vertus civiques dont dépend une démocratie saine".

Selon un article publié par le Center for American Progress, une organisation américaine de recherche et de défense des politiques publiques, paru en 2021, le budget de la défense des États-Unis est aujourd'hui plus élevé, une fois ajusté de l'inflation, que ce qu'ils ont dépensé au plus fort de la Guerre froide et il est actuellement supérieur aux budgets de défense des dix plus grands pays du monde combinés tout en consommant plus de la moitié du budget discrétionnaire total de l'ensemble du gouvernement fédéral. Cependant, "peu importe combien les Etats-Unis dépensent pour la défense, ils ne peuvent pas acheter une sécurité parfaite", a noté l'article.

"GUERRE CONTRE LE TERRORISME"

2021 marque le 20e anniversaire de l'invasion américaine en Afghanistan sous la bannière anti-terrorisme. M. Biden a annoncé le 14 avril le retrait complet des troupes américaines d'Afghanistan avant le 11 septembre, puis a avancé le 8 juillet la date limite au 31 août.

Les États-Unis ont revendiqué avoir combattu l'extrémisme et amené la stabilité à ce pays déchiré par la guerre, mais ils ont échoué sur ces deux fronts, a estimé l'ancien président afghan Hamid Karzaï.

Après les attaques terroristes du 11 septembre 2001, l'antiterrorisme est devenu le coeur de la sécurité nationale américaine et de sa politique étrangère. Dès lors, avec leur double standard et une mentalité de Guerre froide, les États-Unis ont mené la "guerre contre le terrorisme" à travers le monde au nom de la "sécurité nationale" et de la "défense de la liberté", divisé les pays en différents camps et même renversé des gouvernements d'autres pays sous couvert de lutte contre le terrorisme.

Les opérations antiterroristes menées par les États-Unis sont devenues un outil pour maintenir leur hégémonie et promouvoir la soi-disant démocratie et les valeurs américaines à l'étranger, blessant de nombreux civils, aggravant le problème des réfugiés, plongeant les régions touchées dans le chaos et faisant déborder les menaces sur la sécurité.

Outre les opérations dites "antiterroristes", les Etats-Unis ont également gravement bafoué les droits de l'Homme et la liberté dans d'autres pays, comme en témoignent les scandales choquants des abus sur les prisonniers commis par l'armée américaine en Afghanistan et en Irak.

Depuis 2001, "contrairement à ce que croient la plupart des Américains, la guerre contre le terrorisme ne s'apaise pas; elle s'est répandue dans plus de 40% des pays du monde", écrivait le Smithsonian Magazine dans un article publié en 2019.

Selon un rapport publié en novembre 2019 par le projet Costs of War (les coûts de la guerre) de l'université Brown, entre 770.000 et 801.000 personnes sont mortes dans les guerres de l'après 11-Septembre.

Le Mouvement islamique du Turkestan oriental (MITO) s'est engagé depuis longtemps dans de violentes activités séparatistes et extrémistes anti-chinoises, à l'intérieur et à l'extérieur de la Chine, causant d'importants dégâts et de dommages au peuple chinois. En 2002, il a été ajouté à la liste des sanctions en vertu de la résolution 1267 du Conseil de sécurité de l'ONU, dont les États-Unis étaient co-parrains.

Ces dernières années, le MITO est actif en Afghanistan, en Syrie ainsi que dans d'autres régions, complotant et menant une série de violentes activités terroristes, y compris l'attaque à la voiture piégée contre l'ambassade de Chine au Kirghizistan en 2016.

Toutefois, les États-Unis ont unilatéralement retiré le MITO de sa liste d'organisations terroristes en 2020, arguant que depuis plus d'une dizaine d'années, il n'y a pas de preuve fiable montrant que le MITO continue d'exister. Un tel geste a clairement montré l'intention sinistre de Washington de contenir la Chine avec le terrorisme.

Les États-Unis ont également cultivé de nombreuses forces anti-gouvernementales à travers le monde, dont beaucoup sont devenues plus tard des organisations terroristes et des auteurs d'activités terroristes.

Par exemple, après la révolution cubaine, les États-Unis ont abrité plusieurs groupes armés s'opposant au gouvernement cubain et leur ont même permis d'établir des camps de formation en Californie du Sud. En octobre 1976, un avion de ligne cubain a explosé au-dessus de la Barbade, tuant les 73 personnes à son bord. Luis Posada Carriles, un exilé cubain aux États-Unis, a été soupçonné d'avoir orchestré cet attentat et était recherché par Cuba, mais le gouvernement américain a toujours refusé de l'extrader vers Cuba.

Dans les années 1980, les États-Unis ont fermement soutenu les guérilleros anti-gouvernementaux au Nicaragua. Stansfield Turner, ancien directeur de la CIA, a autrefois témoigné devant le Congrès américain en disant : "Je pense que beaucoup d'actes de guérilla sont de nature terroriste et sont des actes terroristes soutenus par les États-Unis, ce qui est irréfutable".

Plus ironiquement encore, les États-Unis ont envahi l'Afghanistan en 2001 au nom de la lutte antiterroriste, mais ont de fait nourri le terrorisme. Pendant la Guerre froide, les États-Unis ont utilisé l'Afghanistan comme un pion contre l'Union soviétique, fournissant de grandes quantités d'armes et d'argent aux groupes extrémistes, dont les forces d'Oussama Ben Laden, pour les encourager à lutter contre l'Union soviétique. Après le retrait soviétique d'Afghanistan, les États-Unis ont immédiatement abandonné leurs "amis" inutiles, faisant de l'Afghanistan un paradis pour le terrorisme et l'extrémisme internationaux.

Medea Benjamin, cofondatrice de Code Pink, et Nicholas Davis du même groupe pacifiste ont écrit dans un article que si l'administration Biden persistait à accumuler davantage de mensonges et atrocités sur la base des administrations précédentes, "elle ne sera pas en mesure de regagner le respect du monde pour le leadership américain, ni gagnera le soutien du public américain pour sa politique étrangère".

UNE DÉPENDANCE A L'INTERVENTIONNISME

Pour maintenir et consolider leur hégémonie, les États-Unis ont eu recours à tous les moyens, de l'éclosion d'"évolutions pacifiques" à l'incitation à des "révolutions de couleur" en passant par la subversion directe des gouvernements d'autres pays.

En juillet dernier, des manifestations anti-gouvernementales ont éclaté dans certaines parties de Cuba. Des preuves publiées par le gouvernement cubain montrent que depuis mi-juin, certaines forces anti-cubaines aux États-Unis, financées par le gouvernement américain, ont délibérément répandu le mensonge via des réseaux sociaux selon lequel le système médical cubain, attaqué par la COVID-19, s'était effondré et l'ont utilisé comme le prétexte pour déclencher une intervention militaire à Cuba afin de renverser le gouvernement cubain. Des sanctions américaines se sont suivies contre certains responsables et entités militaires de l'île en raison de la soi-disant "répression gouvernementale" visant les manifestants.

Cette année, des médias cubains ont révélé qu'au cours des deux dernières décennies, des agences comme l'Agence américaine pour le développement international (USAID) et la Fondation nationale pour la démocratie (NED) ont alloué près de 250 millions de dollars à une série de programmes subversifs ciblant Cuba.

Lors d'une réunion de haut niveau à l'occasion du 75e anniversaire de la fondation de l'ONU, le ministre cubain des Affaires étrangères Bruno Rodriguez a déclaré que le comportement irresponsable des États-Unis constituait la plus grande menace pour la paix et la sécurité mondiales.

Les États-Unis ont une dépendance à l'ingérence dans les affaires intérieures d'autres pays.


L'auteur américain William Blum a écrit dans son livre "L'exportation la plus meurtrière de l'Amérique : la démocratie" que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis se sont efforcés de renverser plus de 50 gouvernements étrangers, dont la plupart ont été élus démocratiquement, se sont largement immiscés dans les élections démocratiques d'au moins 30 pays et ont tenté d'assassiner plus de 50 dirigeants étrangers.

Pendant la Guerre froide, les États-Unis ont lancé des activités d'infiltration, d'incitation à la rébellion, à la perturbation et à la destruction contre l'Union soviétique et les pays d'Europe de l'Est.

Après la Guerre froide, les États-Unis ont promu encore plus effrontément leur interventionnisme et ont fréquemment exporté des "révolutions de couleur". A la fin de 2003, ils ont forcé à la démission le président géorgien de l'époque, Edouard Chevardnadzé, pour une prétendue "fraude" au dépouillement des voix lors d'élections législatives. Cet incident est connu sous le nom de "Révolution des roses".

En octobre 2004, ils ont concocté un scandale de "fraude" aux élections ukrainiennes, incité les jeunes du pays à descendre dans la rue et soutenu l'avènement de Viktor Iouchtchenko. C'est ce qu'on appelle la "Révolution orange".


En mars 2005, ils ont incité l'opposition kirghize à protester contre les résultats des législatives, mouvement qui a dégénéré en émeutes. Le président Askar Akaïev a été contraint de fuir et d'annoncer sa démission.

Au cours de la dernière décennie, les États-Unis sont intervenus à plusieurs reprises ou ont manipulé des "révolutions de couleur" dans certains pays d'Europe centrale et orientale, d'Asie centrale, du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord.

Derrière cette série de "révolutions de couleur" orchestrées par les États-Unis, une organisation autoproclamée non officielle et à but non lucratif est sous le feu des projecteurs : la NED, connue comme "le plus grand commanditaire des révolutions de couleur dans le monde". Fondée en 1983, elle entretient des liens étroits avec le Département d’État américain, l'USAID, la CIA, etc..

Chaque année, elle offre plus de 1.600 subventions pour soutenir les projets d'ONG dans plus de 90 pays. La fondation est également une source de financement derrière certaines forces séparatistes contre la Chine, soutenant chaque année des dizaines de complots liés à la Chine. La NED a fourni environ 100 millions de dollars à ce jour à plus de 100 groupes sinophobes, dont des groupes clairement identifiés comme des organisations terroristes par la Chine, tels que le Congrès de la jeunesse tibétaine (CJT) et le Congrès mondial ouïghour. Beaucoup de fonds pour les activités en faveur de l'"indépendance de Hong Kong" sont également venus de cette fondation.

HEGEMONIE DU DOLLAR

Après la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont bien profité de leur dollar pour tirer des bénéfices de la création et du flux des richesses mondiales.

Ils ont utilisé cette hégémonie pour accroître le risque financier dans les pays en développement, piller leurs richesses, dont les ressources et les biens immobiliers, et obtenir le monopole de services publics tels que l'eau, l'électricité et les transports dans ces pays.

Dans les pays d'Amérique latine qui ont adopté le Consensus de Washington, le taux de croissance économique dans les années 1990 a chuté en moyenne de 50% par rapport aux années 1980.

Les "tueurs économiques" américains, parés de la couverture légale d'économistes, de banquiers et de conseillers financiers internationaux, manipulent d'autres pays par des moyens économiques, leurrent les pays en développement pour qu'ils tombent dans des pièges économiques préétablis, contrôlent les lignes de vie économiques et les ressources naturelles de ces pays, laissent les fonds s'écouler vers les États-Unis en permanence, ainsi que consolident et étendent leur hégémonie économique, politique et militaire partout sur la planète, a déclaré l'économiste américain John Perkins dans son livre "Confessions d'un tueur à gage économique" paru en 2004.

C'est le cas depuis longtemps dans le commerce international : les États-Unis impriment leur dollar, le reste du monde échange des ressources et des biens en dollars dans le commerce mondial, puis achète des bons du Trésor américain et des actions de sociétés comme réserves de change, faisant ainsi revenir le dollar aux États-Unis et soutenant l'économie américaine. L'historien américain Niall Ferguson a appelé ce phénomène "le plus grand repas gratuit de l'histoire économique moderne".

Malgré le gonflement du déficit budgétaire et de la dette publique, les dettes américaines peuvent toujours bénéficier de taux d'intérêt bas en raison de l'hégémonie du dollar américain, ce qui permet aux États-Unis de recueillir des fonds du monde entier à des coûts extrêmement bas.

S'appuyant sur l'hégémonie du dollar, les États-Unis ont toujours joui de privilèges presque illimités pour imprimer de l'argent.

Après la crise financière de 2008, la Réserve fédérale (Fed) a lancé trois cycles d'assouplissement quantitatif entre fin 2008 à octobre 2014, répercutant la crise sur le monde entier par une émission excessive de dollars.

Depuis le déclenchement de la pandémie de nouveau coronavirus, afin de stimuler l'économie américaine et son marché boursier, la Fed a de nouveau eu recours au mode "super leasing" avec un taux d'intérêt nul et un assouplissement quantitatif illimité. Après l'arrivée au pouvoir de l'administration Biden, elle a rapidement mis en place un plan de relance économique de 1.900 milliards de dollars.

Ce qui est plus remarquable, c'est que chaque fois que la Fed sauve le marché américain, les bénéficiaires ne sont pas des Américains ordinaires, mais le 1% des élites américaines les plus riches, qui reçoivent la quasi-totalité des bénéfices que les États-Unis ont extraits dans le monde. La plupart des élites de ce centile supérieur sont les lobbies les plus puissants et les mieux financés, dont les GAFA, Wall Street, les assurances santé, les laboratoires pharmaceutiques, l'industrie des combustibles fossiles et le complexe militaro-industriel.

Les industries financières et de haute technologie américaines se sont rapidement développées pendant la pandémie, alors que les grandes entreprises américaines ont reçu d'énormes subventions via divers plans de relance économique. Dans le même temps, la plupart des dollars excédentaires ont afflué vers le marché boursier américain, ce qui a encore gonflé la richesse des riches. Selon les données du magazine américain Forbes parues en janvier, bien que des dizaines de millions d'Américains aient perdu leur emploi pendant la pandémie au cours de l'année écoulée, la richesse totale des plus de 650 milliardaires américains a augmenté de 1.300 milliards de dollars, en hausse de 38,6%, tandis que la richesse des cinq Américains les plus riches est passée de 358 milliards de dollars à 661 milliards de dollars au total, en hausse de 85%.

L'emploi frénétique de la planche à billets a créé l'illusion d'une prospérité temporaire aux États-Unis, mais de grands dangers se cachent derrière elle. Le bilan de la Fed dépasse désormais 8.000 milliards de dollars et la dette nationale américaine s'élève à 28.500 milliards de dollars. L'agence de notation Fitch a abaissé en juillet 2020 ses perspectives sur le crédit souverain des États-Unis, passées à "négatives", jugeant que la flambée de la dette et des déficits l'érodait.

La pratique américaine consistant à imprimer de l'argent pour que les autres pays "paient" leurs déficits finira par mettre en danger la domination du dollar. Ces dernières années, afin de se débarrasser de l'hégémonie du billet vert, la Russie, l'Union européenne, la Chine et d'autres pays ont accéléré leurs efforts de dédollarisation. George Soros a dit un jour en 2018 que le dollar perdrait son statut de principale monnaie de réserve et de moyen d'échange du monde au cours des prochaines années.

UNE JURIDICTION AU BRAS LONG


Dans son livre "Le piège américain" paru en 2019, Frédéric Pierucci, un ancien cadre d'Alstom, a fourni un témoignage de première main sur la répression de Washington envers Alstom au nom de la lutte contre la corruption.

Il a relevé dans son livre que pendant plus d'une décennie, les États-Unis avaient réussi à démanteler de nombreuses grandes multinationales européennes sous couvert de lutte contre la corruption.

Au fil des ans, Washington a exploité des moyens tels que sa juridiction au bras long et les sanctions économiques pour contenir ses ennemis et les pays qu'il considère comme ses rivaux, entravant leur développement pour maintenir sa propre hégémonie.

Par exemple, les États-Unis ont promulgué la loi CAATSA (Counter America's Adversaries Through Sanctions Act) afin d'étendre leurs sanctions contre la Russie, la République populaire démocratique de Corée (RPDC) et l'Iran. Washington a activé le titre III de la loi Helms-Burton pour renforcer son embargo contre Cuba et imposer unilatéralement de lourdes sanctions économiques aux entreprises étrangères ayant des liens économiques avec Cuba.

Les États-Unis ont continué d'étendre l'application extraterritoriale de leurs lois nationales et ont placé de force des personnes et entités étrangères sous leur juridiction, quelles que soient les règles de compétence du droit international.

En vertu de leurs lois nationales, les États-Unis ont accès aux données des utilisateurs et aux informations de transfert de nombreuses banques européennes via le système interbancaire SWIFT. Ces dernières années, des entreprises européennes ont été constamment attaquées par le ministère américain de la Justice et les régulateurs financiers compétents, tandis que certaines entreprises accusées de "corruption" ou de violation de l'interdiction américaine des échanges avec Cuba, la Libye, la RPDC, l'Iran et d'autres pays ont écopé de centaines de millions voire des milliards de dollars d'amendes, a noté Ali Laïdi, chercheur à l'Institut français des relations internationales et stratégiques (IRIS).

Ces mesures ont infligé à certains pays des épreuves terribles et même des crises humanitaires, qui n'ont pas été moins destructrices que les guerres. Depuis le début de la pandémie, le Venezuela, la Syrie et l'Iran, longtemps soumis aux sanctions américaines, ont vu leur situation économique et sanitaire se dégrader, ainsi qu'une grave situation épidémique émerger chez eux. Néanmoins, Washington est allé plus loin dans ses sanctions, aggravant encore la situation.

"Avec leurs sanctions illégales et inhumaines et leurs actions terroristes, les Américains ont infligé 150 milliards de dollars de dommages au peuple iranien", a déclaré le président iranien de l'époque, Hassan Rohani, en septembre 2020.

Les États-Unis ont truqué les règles économiques, les utilisant lorsqu'elles étaient compatibles avec leurs intérêts.

Sous l'administration Trump, pour saper la sécurité et la stabilité de la Chine et freiner son développement, les États-Unis lui ont formellement dénié le statut d'économie de marché dans des documents soumis à l'OMC, provoqué des différends commerciaux avec elle et imposé une série de sanctions unilatérales aux entreprises chinoises de haute technologie. Après son entrée en fonction, l'administration Biden a continué d'abuser du pouvoir de L’État, présentant une série de projets de loi et de décrets visant à supprimer et restreindre par tous les moyens Huawei et d'autres sociétés chinoises.

Les États-Unis ont même réprimé leurs alliés. Après la Seconde Guerre mondiale, l'essor économique rapide du Japon a entraîné une répression impitoyable de la part des États-Unis, comme en témoignent les Accords monétaires du Plaza en 1985. Lors de la construction du gazoduc Nord Stream 2 entre la Russie et l'Allemagne, les États-Unis ont jugé que ce projet était préjudiciable à leurs intérêts dans la région et ont imposé de multiples séries de sanctions pour entraver la progression du projet, provoquant un fort mécontentement de leur alliés, notamment de l'Allemagne.

UN ORDRE INTERNATIONAL PERTURBE

Les États-Unis se servent de leur grande puissance pour faire de "l'exception américaine" le fondement théorique justifiant de fouler aux pieds les relations internationales sans raison valable.

Tout en demandant aux autres pays de respecter l'ordre international basé sur les règles, le pays place depuis longtemps ses propres intérêts au-dessus du système international avec l'ONU en son cœur, et de l'ordre international soutenu par le droit international.

Bien que les États-Unis aient joué un rôle pionnier dans la création des règles et systèmes internationaux pour la gouvernance politique et économique mondiale après la Seconde Guerre mondiale, le pays a pris l'habitude d'enfreindre les règles et de se retirer des organisations internationales dès qu'elles ne répondent pas aux exigences américaines. Depuis les années 1980, les États-Unis ont refusé de ratifier ou se sont unilatéralement retirés de nombreux traités et organisations internationaux, tels que la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer, la Conférence mondiale contre le racisme et le Protocole de Kyoto.

L'administration Trump a été particulièrement capricieuse puisque les États-Unis se sont retirés de plus de 10 organisations et accords internationaux en l'espace de quatre ans, notamment le Conseil des droits de l'homme de l'ONU, le Plan d'action global commun et le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire.

Les États-Unis sont le seul pays à s'être opposé aux négociations sur un protocole de vérification pour la Convention sur l'interdiction des armes biologiques, faisant ainsi obstacle aux efforts de la communauté internationale pour vérifier les activités biologiques dans divers pays et nuisant au contrôle des armes biologiques.

En plus de fréquemment se retirer de groupes internationaux, les États-Unis punissent aussi tout groupe qui ose les défier. En 2020, l'administration Trump a annoncé qu'elle imposerait des sanctions économiques et des restrictions sur les voyages à l'encontre des responsables de la Cour pénale internationale (CPI) impliqués dans l'enquête sur les actes américains dans la guerre en Afghanistan. Cette mesure est encore plus grave que son précédent refus de reconnaître et mettre en œuvre les jugements de la CPI ou de coopérer dans son enquête.

L'administration Biden a renoué avec certains accords et organisations internationaux dans le seul but de servir ses stratégies nationales, tout en restant à l'écart des accords dont elle estime qu'ils nuiraient à ses intérêts, comme le traité Ciel ouvert. Même si cette administration a promu le "multilatéralisme sélectif", certains médias européens estiment que c'est un "America First 2.0".

En réalité, les États-Unis n'ont jamais fait preuve de gentillesse à l'égard des autres pays, qu'ils soient adversaires ou alliés, s'ils ne servent pas les intérêts américains.

Ces dernières années, les États-Unis demandent à l'OTAN et à leurs alliés asiatiques d'augmenter leurs dépenses militaires et de payer des "frais de protection" plus élevés au pays pour que celui-ci déploie des soldats.

Juste avant la tournée européenne de M. Biden en juin dernier, il a été révélé que les États-Unis avaient espionné des politiciens chez leurs alliés européens, un nouveau scandale sur la surveillance américaine après le projet PRISM en 2013. Cela a démontré une nouvelle fois que les États-Unis mènent depuis longtemps une cyber-surveillance à grande échelle et des cyber-attaques internationales : ce véritable empire de hackers est devenu la plus grande menace à la cyber-sécurité mondiale.

La pandémie de COVID-19 est semblable à un miroir magique qui a dévoilé au grand jour la laideur de la politique "America First". Les Etats-Unis se sont engagés dans la voie de l'unilatéralisme depuis le début de la pandémie. En effet, ils ont accaparé des fournitures anti-épidémiques destinées à d'autres pays, édicté des embargos sur leur matériel médical et acheté les capacités de production des médicaments qui peuvent être utilisés pour traiter la maladie.

Leurs actes égoïstes ont choqué le monde et gravement nui à la coopération internationale contre la pandémie. Alors que les vaccins ont donné de l'espoir dans la lutte mondiale contre la COVID-19, les États-Unis ont défendu le "nationalisme vaccinal" : ils ont commandé et acheté des vaccins à toute vitesse, même ceux qui étaient toujours en phase d'essais cliniques, et ont ainsi placé certains pays et régions sous-développés dans une situation désespérée avec aucun accès aux vaccins.

En parallèle, les États-Unis ont imposé des conditions politiques à leur assistance vaccinale. Dans un éditorial, le site d'informations espagnol El Mundo a rapporté que Washington avait prêté des vaccins au Mexique en échange d'un contrôle accru des migrants clandestins à la frontière du Guatemala. Le magazine bimensuel américain Foreign Policy a commenté sur son site que l'administration Biden courait toujours après les intérêts américains aux dépens des intérêts des autres pays du monde.

Les États-Unis ont secrètement installé des laboratoires biologiques en divers endroits du monde, afin de mener des activités de militarisation biologique. Le mystère de la relation entre Fort Detrick et la propagation de la COVID-19 n'a pas encore été résolu.

Hume Field, conseiller scientifique et politique pour la Chine et l'Asie du Sud-Est de l'organisation EcoHealth Alliance à New York, a affirmé que la politisation de la recherche sur les origines du coronavirus ne faisait que générer du "doute" et de la "méfiance", et minait fondamentalement les efforts internationaux unifiés nécessaires pour vaincre ce virus et cette pandémie.

UNE MANIPULATION IDEOLOGIQUE

En août, la Maison Blanche a annoncé qu'en décembre, M. Biden convoquerait les dirigeants des "démocraties du monde" pour un Sommet virtuel pour la démocratie, qui sera suivi "par un second sommet, en personne, environ une année plus tard".

Ironiquement, un récent sondage commandé par la fondation Alliance of Democracies auprès de 5.000 sondés dans plus de 50 pays a révélé que près de la moitié des personnes interrogées considéraient les États-Unis comme une menace envers la démocratie.

Les États-Unis se considèrent depuis longtemps comme une "cité au sommet d'une colline" et font la promotion de valeurs américaines telles que "la démocratie, la liberté et les droits de l'homme" en tant que soi-disant "valeur universelles". Ils estiment en outre qu'il en va de leur responsabilité de défendre leurs valeurs à travers le monde.

Pourtant, ces "valeurs universelles" constituent en réalité un outil idéologique pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie internationale.

D'un côté, les États-Unis profitent de leur position dominante dans les domaines de la culture et des médias pour promouvoir de force la "démocratie" et les valeurs américaines dans le monde entier, en particulier dans les pays en développement. D'un autre côté, sous le couvert de soi-disant "valeurs universelles", ils tentent de donner des leçons de morale pour manipuler l'opinion publique internationale, attaquer sans raison valable des pays et entités qu'ils considèrent comme des menaces et des rivaux et délibérément créer des divisions et des confrontations.

En 2010, marqué par la proposition du "Cadre stratégique national pour la communication" au Congrès par le président de l'époque, Barack Obama, le système national de propagande dirigé par le gouvernement américain est entré dans une nouvelle phase en devenant plus capable de mener des opérations inter-agences.

En 2014, un article du Guardian a révélé un programme secret mené par l'Agence américaine pour le développement international en vue d'infiltrer la scène cubaine du hip-hop et lancer un mouvement contre le gouvernement cubain.

Selon le média britannique, l'agence a recruté des dizaines de musiciens cubains pour des projets déguisés en initiatives culturelles visant en réalité à renforcer leur visibilité et encourager un mouvement de fans à défier le gouvernement.

Les États-Unis ont aussi relié leur aide économique au système politique en faisant pression sur les pays africains pour qu'ils suivent les modèles politiques occidentaux à travers des institutions financières internationales dirigées par les États-Unis.

Depuis les années 1980, les présidents américains ont fait de la promotion de la "démocratisation" des pays bénéficiaires l'un des principaux objectifs de l'aide américaine à l'étranger. Cependant, de telles démarches ont souvent engendré des catastrophes dans les pays bénéficiaires. La "démocratisation" politique et la privatisation économique rapides dans de nombreux pays africains ont mené à des crises politiques de grande ampleur et même à des conflits meurtriers, certains pays étant toujours aux prises avec des troubles politiques à l'heure actuelle.

L'administration Biden promeut l'idée de "renouer avec le multilatéralisme" depuis sa prise de fonctions, mais dans la pratique, elle est toujours attachée à la politique des petites cliques, obsédée par les divergences idéologiques et déterminée à s'en prendre sans raison valable aux autres pays afin de servir ses propres intérêts au nom de la défense de "l'ordre international basé sur les règles".

Le contrôle hégémonique américain repose derrière le Dialogue quadrilatéral pour la sécurité, l''Alliance "Five Eyes" (les "Cinq yeux") , le Groupe des Sept et d'autres cliques du même acabit qui ne représentent en aucune façon la communauté internationale.

Par exemple, l'administration Biden a poussé le Royaume-Uni, le Canada et d'autres alliés à répéter au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies leurs fausses accusations contre le progrès des droits humains en Chine, y compris les allégations sur le soi-disant "travail forcé" dans la région du Xinjiang.

Par ailleurs, le déplorable passé de génocide et d'extinction culturelle de ces pays, ainsi que les tragédies de discrimination raciale qui surviennent encore aujourd'hui chez eux, sont régulièrement exposés au grand public.

Lors de la 47e session du Conseil, plus de 90 pays ont appelé à la justice et exprimé leur soutien à la Chine, tournant ainsi le dos aux cliques anti-Chine.

Le magazine américain Foreign Affairs a rapporté, dans un article publié le 9 juillet, que "de la pandémie de COVID-19 aux règles commerciales internationales, de la lutte contre le changement climatique au développement économique, les États-Unis piétinent activement les priorités de la plupart des démocraties du monde. Dans ce processus et au nom de la démocratie, la politique étrangère américaine aggrave la crise démocratique mondiale et délégitimise la puissance américaine".

"Les démocraties libérales du monde ont perdu leur monopole à définir ce qu'est la démocratie", a souligné l'expert politique bulgare Ivan Krastev dans une tribune publiée en mai dans le New York Times. Citant une étude menée il y a quelques mois par le groupe de réflexion Pew Research Center, M. Krastev a indiqué qu'une grande majorité d'Américains "sont profondément déçus de leur propre système politique" et que "certains ne sont même pas convaincus de vivre dans une démocratie".

Graham Allison, professeur à l'Université d'Harvard et expert politique américain qui a popularisé l'expression "piège de Thucydide", avait précédemment affirmé dans un article publié par Foreign Policy que "l'unipolarité est finie, ainsi que l'illusion selon laquelle d'autres pays prendraient simplement leur place assignée dans un ordre international dirigé par les États-Unis".

Voici maintenant l'Ukraine & Taïwan , mister Biden a du pain sur la planche .

Non , les Ricains ne sont pas nos Amis .

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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MessageSujet: Re: Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale .    Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . Icon_minitimeMar Oct 18 2022, 22:39

Suis je le seul a juger ainsi les "Ricains" .........?????

Si oui , faut le dire , j’efface et je ne me casse plus le   Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . 301749  pour Rien .

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
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MessageSujet: Re: Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale .    Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . Icon_minitimeMar Oct 18 2022, 23:03

Hormis l’intervention en Corée sous mandat de l’ONU, les USA ont connu de nombreux revers et ont été incapables de juguler l’expansionnisme communiste dans le Sud-est asiatique et pire encore, ont subi une défaite humiliante au Vietnam, on a toujours en mémoire l’évacuation de Saigon. Elle a été humiliée avec l’affaire de l’ambassade de Téhéran et du Commando spécial envoyé pour délivrer les otages.
Son grand fait d’armes est la prise de l’île de la Grenade.
Elle est derrière tous les putsch comme celui de Pinochet, la stratégie de la tension en Italie et les escadrons de la morte au Nicaragua tout ça orchestré par la CIA.

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MessageSujet: Re: Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale .    Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . Icon_minitimeMar Oct 18 2022, 23:47

Ne pas oublier la "Roustace" dans la "Baie des Cochons"

La chute du faucon noir - Dans l'enfer de Mogadiscio :

Extrait de l'excellent film "La Chute du faucon noir" (Black Hawk Down) réalisé par Ridley Scott.
Scène se déroulant en plein centre de Mogadiscio, en Somalie, relatant les combats des 3 et 4 octobre 1993, au cours desquels dix-neuf militaires américains et plusieurs centaines de Somaliens trouvèrent la mort.



Il s'agit d'une histoire réelle, qui s'est déroulée sous la présidence de Bill Clinton dans les années 90.

Ne pas oublier l'Afghanistan , avec la fuite en avant comme a Saïgon  Very Happy

Il faut dire aussi , que en Corée , le Bataillon Français a été le meilleur et le plus décoré .

 Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . 367768  Oui , les Ricains sont de grands combattants .............au cinéma avec des balles a blanc  Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . 3907169362   Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . 3907169362

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MessageSujet: Re: Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale .    Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . Icon_minitimeMer Oct 19 2022, 12:25

Justement Commandoair40, ce jour dans les éphémérides on parle de Washington.

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MessageSujet: Re: Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale .    Les Etats-Unis, le plus grand destructeur de la paix dans le monde après la Seconde Guerre mondiale . Icon_minitimeVen Juin 30 2023, 17:35

Les Américains,sont les Parasites de l'Humanité,effectivement ,ils ne sont pas pour la PAIX sans intérêt....

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