La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu)
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Commandoair40 Admin
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Sujet: La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu) Jeu Sep 15 2022, 22:55
La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu)
En 1938, une substance «miraculeuse» a inondé l'Allemagne: la pervitine, un dérivé de méthamphétamine.
L'état-major du Reich a tôt fait d'en approvisionner ses divisions afin de remporter la guerre.
Récit d'un dopage orchestré par Hitler.
C'est au cœur des usines Temmler, en banlieue de Berlin, que la pervitine est brevetée en 1937.
Il s'agit d'un dérivé de méthamphétamine aux propriétés psychostimulantes.
À l'époque, l'Allemagne est la capitale des paradis artificiels:
Le pays produit 80% de la cocaïne consommée dans le monde et ses laboratoires sont à la pointe de la recherche pharmaceutique en la matière.
Dans une société d'après-guerre au moral brisé, morphine et héroïne sont des palliatifs courants, particulièrement chez les vétérans, qui adoucissent ainsi leurs traumatismes.
Produite en série dès 1938, la pervitine gagne rapidement le cœur –et le système sanguin– de milliers d'Allemands.
La publicité relaie les promesses portées par cette «pilule miracle» («wunderpill»), disponible sans ordonnance dans les pharmacies.
Plus efficace que le café, cette substance permet de rester éveillé pendant des dizaines d'heures, dope la concentration et retarde les effets de la fatigue.
Un confiseur berlinois en ajoute même à la recette de ses pralines!
Mais la drogue en libre accès, semble-t-il, finit par inquiéter les autorités:
Retirée des listes vertes des pharmacies en 1939, la pervitine sera bannie deux ans plus tard.
Super-soldats, mode d'emploi
Le bref succès de la pilule miracle a suffi à éveiller la curiosité d'Otto Ranke, un professeur d'université qui dirige alors l'Institut de physiologie militaire du Reich.
Selon lui, la pervitine pourrait être la clé de la guerre qui se prépare.
Lors de sa circulation dans l'organisme, elle accroît l'endurance, permet aux soldats de marcher soixante kilomètres par jour et de rester éveillés pendant quarante heures successives, elle retarde la sensation de faim et de soif, anesthésie la peur…
Bref, c'est le composé idéal à ajouter aux gamelles des militaires!
Après avoir testé le composé sur des étudiants, le Dr Ranke fait sa première expérience à grande échelle lors de l'invasion éclair de la Pologne, en septembre 1939.
Camée jusqu'aux yeux, la Wehrmacht met le pays à genoux en moins de cinq semaines.
Les rapports du front sont extatiques:
«Tout le monde est frais, joyeux, discipline excellente. Pas d'accidents. Effets durent longtemps. Voit double et avec couleurs après la quatrième pilule.» Malgré les effets secondaires, la pervitine est devenue, selon la formule du professeur Ranke, «une substance militairement précieuse».
Le junkie sous le képi
Il ne reste plus qu'à transformer l'essai, avec la bénédiction du Führer.
Dès le printemps 1940, Hitler fait distribuer à ses légions 35 millions de doses, ciblant particulièrement les pilotes d'avions de chasse et les conducteurs de tanks, qui la consomment sous forme de barres chocolatées.
Dans le milieu, on surnomme d'ailleurs cette drogue toute neuve «Panzerschokolade», soit «le chocolat des tankistes»:
La rapidité de la Blitzkrieg doit beaucoup aux effets des stimulants, qui décuplent l'agressivité des soldats et couronnent de succès l'offensive allemande de mai 1940.
En quelques semaines, tout est joué:
La capitulation humiliante du 22 juin 1940 signe la fin de la «guerre éclair».
La Wehrmacht a remporté le premier round avec une efficacité redoutable, les Alliés sont dans les cordes.
Mais l'état-major allemand frôle le bad trip:
Car les effets secondaires de la consommation de pervitine ne tardent pas à se faire sentir.
Insomnies, dépression, arrêts cardiaques et hallucinations sont reportés chez les junkies en uniforme.
Sans compter les addictions éclair:
«C'est dur là-bas, et j'espère que vous comprendrez si je ne suis bientôt plus en mesure de vous écrire qu'une fois tous les deux à quatre jours, écrit Heinrich Böll, une recrue de 22 ans, dans une lettre à sa famille. Aujourd'hui, je vous écris simplement pour demander de la pervitine.»
Il paraît même que certains soldats se seraient entretués au cours d'épisodes psychotiques!
Reconnaissant les dangers de ce stimulant, les médecins allemands tentent d'en réguler l'usage.
Mais bien que la consommation de pervitine soit divisée par dix entre 1940 et 1941, elle dépasse tout de même le million de comprimés chaque mois…
De l'excitation à l'overdose
La banalisation de la prise de cette substance tranche sensiblement avec la politique de sobriété promue par le régime nazi.
Depuis 1933, les usagers de drogues sont confinés en institution spécialisée pendant deux ans (minimum); les médecins allemands sont également encouragés à briser le sceau du secret médical pour en dénoncer leurs patients prenant des substances. Polissant son image d'homme providentiel, Hitler assure qu'il s'abstient de boire de l'alcool, de fumer et de manger de la viande…
Pourtant, le Führer lui-même goûte au «poison juif», absorbant des quantités affolantes de substances addictives pour nourrir son hyperactivité et combattre le stress.
Son docteur personnel, Theodor Morell, aurait ainsi procédé à plus de huit cents injections d'amphétamines, de stéroïdes et d'opiacés divers pour le compte de son «patient A».
Petit à petit, le cocktail explosif qui sature les veines du Führer menace sa santé:
Ses proches voient ses traits se creuser et l'entendent tenir des propos incohérents.
Devenu accro, Hitler se croit invulnérable; ses compétences militaires en souffrent, puisqu'il se passe bientôt du conseil de ses généraux.
Les barbituriques de Morell corrompent également ses cycles de sommeil, le Führer dormant généralement jusqu'à midi (on n'arrive d'ailleurs pas à le réveiller au matin du Débarquement, ce qui retarde la contre-offensive allemande).
Le dictateur ne cesse de s'empoisonner l'organisme que lorsque l'approvisionnement deviendra impossible –soit au printemps 1945, dans une capitale en ruines.
Peu après, le Führer met fin à ses jours.
Son règne de terreur s'arrête ici.
Mais pas celui de la pervitine, qui se réfugie dans l'économie souterraine pour y faire son nid.
Des tubes de benzédrine dans les années 1940. Sa consommation permet de se retrouver dans un état d’euphorie intense et d’évacuer tout sentiment de peur.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
81/06 et GOMER aiment ce message
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GOMER nouveau en attente de confirmation
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Sujet: Re: La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu) Ven Sep 16 2022, 11:49
Pas étonnant que le Goering était drogué aussi à "mort" avec cette drogue en libre circulation.
81/06 aime ce message
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu) Ven Sep 16 2022, 13:58
Médicaments : comment l'armée maintient les militaires en action
Pour améliorer ou restaurer les performances des militaires lors de missions à haute dangerosité, les armées peuvent ordonner la prise de substances stimulantes.
Elles tentent cependant d’éviter l’émergence de conduites dopantes parmi une population à risque.
Parfois, le nerf de la guerre tient dans un médicament.
Un petit comprimé blanc, avalé avant une mission ultra-périlleuse.
Une molécule qui permet de rester sur le qui-vive pendant au moins 48 heures, et de faire temporairement d’un militaire un homme aux capacités d’alerte décuplées.
Aussi efficace que l’amphétamine sans tous ses effets secondaires, bien moins addictif que la cocaïne, le Modafinil se destine à l’origine aux patients atteints de narcolepsie.
En pointe sur sa recherche, l’armée française a vite décelé l’immense potentiel de ce psychostimulant qu’elle a prescrit aux soldats de la guerre du Golfe, en 1991.
Son usage n’est encadré que depuis 2008 et l’instruction sur « l’utilisation des substances modifiant la vigilance en opérations ».
« Les gars jouent leur peau »
« On a eu recours au Modafinil pour des opérations coup de poing en situation d’isolement total, où le maintien de l’éveil est essentiel - la destruction d’un site ou d’un personnage, la libération d’un otage…, précise Xavier Bigard, ancien directeur de l’Institut de recherche biomédicale des armées (Irba).
Typiquement ce genre de situation où les gars jouent leur peau ».
Et où les considérations éthiques passent forcément au second plan.
« L’objectif des armées est de maintenir ses soldats en bonne santé, insiste Marion Trousselard, médecin en Chef et chercheuse en neurophysiologie du stress. Mais s’ils doivent se parachuter au-dessus d’un territoire taliban, franchement, on ne se pose pas la question ! »
Difficile, en effet, de comparer le dopage militaire à celui pratiqué dans le sport quand l’objectif est la survie.
Dans la guerre, tous les moyens sont permis et la concurrence est parfois rude.
Si les molécules médicamenteuses restent l’apanage des armées riches, certains groupuscules extrémistes ne se privent pas de recourir à de puissants stimulants.
Des bruits courent ainsi sur Daesh, dont les combattants utiliseraient du Captagon, une amphétamine aux propriétés hallucinatoires, ainsi que des stéroïdes anabolisants pour développer la masse musculaire de leurs combattants.
Une situation typique qui génère un « contexte de guerre asymétrique », comme le souligne Xavier Bigard.
Les armées françaises ne sont pas les seules à avoir recours à des substances pour améliorer les performances de leurs soldats, loin s’en faut.
Aux Etats-Unis, l’amphétamine continue d’être utilisée par les pilotes.
Surnommées « go-pills », elles sont en particulier consommées par les GI de l’Air Force.
En 2003 s’est tenu le procès de deux pilotes américains qui ont bombardé par erreur une base alliée, tuant quatre personnes.
A l’époque, la défense a invoqué ces amphétamines comme l’origine de l’erreur de jugement, tout en affirmant avoir été contraint par l’institution de les ingérer.
L’armée israélienne, elle, utilise entre autre des chewing-gums caféinés appelés « Stay Alert ».
Mis au point par des laboratoires américains, la gomme diffuse la substance psychostimulante en libération prolongée.
Par rapport aux gélules, elle présente l’avantage de la mastication, une activité qui permet de limiter la somnolence.
Quant aux armées africaines, elles ont davantage recours à la pharmacopée naturelle.
En fait, tous les groupes armés font appel aux aides pharmacologiques, plus ou moins officiellement.
Caféine en pilule
Mais en réalité, le Modafinil est de moins en moins utilisé par les militaires français.
S’il était consommé en Afghanistan et garnit encore la trousse d’urgence des soldats en opérations à hauts risques, désormais, il se fait progressivement remplacer par une autre molécule :
La Caféine à Libération Prolongée (LP).
Ce concentré d’expresso sous forme galénique de 300mg a été développé pour un usage exclusivement militaire par la Pharmacie Centrale des Armées, et utilisé pour la première fois par des pilotes de l’opération Harmattan en Lybie, en 2011.
A l’époque, les Rafales sont de sortie pour bombarder les bases libyennes.
Les vols durent en moyenne huit heures et se déroulent sept jours sur sept, de jour comme de nuit.
Autant dire que la fatigue n’est pas une option.
Les effets de la Caféine LP sont moins puissants, mais relativement similaires à ceux du Modafinil pris à faibles doses.
Une gélule permet « le maintien de la vigilance, des performances cognitives, et un sentiment de bien-être lors de privation de sommeil allant de 34 à 64 heures », peut-on lire dans une étude menée par des médecins militaires sur l’opération Serval (Mali) où un quart du personnel navigant de la base aérienne de N’Djamena (Tchad) l’ont ingérée, soit 27 personnes.
Mais même les soldats doivent dormir.
Sauf que sous psychostimulant, en pleine journée, dans la chaleur et le stress, difficile de trouver le sommeil.
Le recours aux hypnotiques – Zopiclone ou Zolpidem - peut s'avérer utile.
« Bien sûr, on ne restaure pas vraiment les cycles de sommeil, précise Marion Trousselard. Il s’agit de les faire dormir quelques heures avant de repartir ».
« Apprentis sorciers » ?
Mais aussi nécessaire soit-elle, cette maîtrise des cycles veille-sommeil avec un usage des molécules hors AMM n’est pas sans poser problème.
En France, le Modafinil a vu sa prescription restreinte aux troubles sévères du sommeil en raison, notamment de l’émergence de symptômes psychotiques et maniaques.
Les effets secondaires de la Caféine à LP rapportés par les militaires vont de la tachycardie au sentiment d’anxiété, même s’ils restent assez rares.
« C’est sûr que l’on joue un peu aux apprentis sorciers, commente Sylvie Royant-Parola, psychiatre spécialiste du sommeil. Les somnifères induisent un sommeil léger, peu réparateur. La vigilance observée lors de la prise de psychostimulants ne relève pas de performances normales. Si l’usage de ces molécules est trop répété, au mieux on mine la fonction naturelle du sommeil, au pire, cela entraîne des effets secondaires graves ».
Selon les médecins du Service de Santé des Armées (SSA), ce risque est bel et bien pris en compte.
L’usage de ces molécules n’excèderait jamais 48 heures et serait très ponctuel.
Marion Trousselard parle même d’un « épiphénomène » qui concerne peu de militaires, mais soulève malgré tout des questions puisque la perception des risques sous psychostimulants peut être modifiée et le temps passé en mission allongé.
« Toutefois, les essais montrent que le Modafinil n'engendre pas vraiment d'erreurs d'interprétations de l'information, comparé aux amphétamines », nuance Xavier Bigard.
Observations de fortune
De fait, si des études cliniques ont été menées sur ces molécules, la pharmacopée militaire relève d’une science empirique – dans les premiers usages, en tout cas.
En Afghanistan, après l’embuscade d’Uzbin qui a coûté en 2008 la vie à dix militaires français, les soldats sont restés traumatisés et en état de stress aigu.
« Nous avons dû les prendre en charge pour éviter les syndromes post-traumatiques, raconte Marion Trousselard. Mais il n’y a pas de traitement pour cela, et encore moins en pleine brousse ! Ils ont reçu quelques gouttes de Lopaxine et cela a très bien fonctionné. Ce sont des observations de fortune qui nous permettent d’affiner la pharmacopée militaire ».
Un essai est en cours pour un usage militaire de cet antipsychotique, utilisé dans le traitement de la schizophrénie.
L’autre problématique soulevée concerne le consentement éclairé des militaires.
Les unités médicales sont tenues de le recueillir et un soldat peut refuser la prise d’une molécule.
Mais dans les faits, peu s’y risquent.
« Dans un groupe de dix personnes que l’on projette d’envoyer loin, peut-on prendre la responsabilité que l’un des membres s’endorme et soit une charge pour les neuf autres ? », s’interroge Xavier Bigard.
Des astuces leur permettent toutefois d’éviter la prise s’ils le souhaitent.
« On leur dit que s’ils ne sont pas en mesure de refuser, ils peuvent toujours le jeter discrètement, explique Marion Trousselard. Ils ne doivent pas être forcés si cela ne correspond pas à leurs valeurs, au risque de développer des états de stress. »
D’ailleurs, à l’image du reste de la société, les armées tentent de recourir davantage aux méthodes non médicamenteuses.
A terme, une séance de méditation pourrait bien remplacer les hypnotiques ; l’auriculothérapie viendrait compléter la morphine des blessés. « Mais cela demande un entraînement régulier et de l’investissement personnel », souligne Marion Trousselard. Et probablement quelques années avant que ces méthodes ne remplacent les molécules.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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glaive
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Sujet: Re: La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu) Ven Sep 16 2022, 19:18
Un soldat un vrai pour combattre, ne doit avoir aucune empathie , il doit avoir un endoctrinement de convictions ,avoir du sang froid ,surtout pas de drogue, cela détruit les plus faibles ,ils deviennent accro,c'est pas le but, il ne faut pas oublié un soldat dans un combat de guerre ,doit être un tueur.........La doctrine TUE avant que l'on ne te TUE.
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Commandoair40 Admin
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Sujet: Re: La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu) Ven Sep 16 2022, 19:38
Tu as raison ma Glaive et pourtant ........
Mon pauvre Juteux-Chef de Papa , en 1954 , dans son Dakota , pour larguer les bombes éclairantes la nuit et le matos de jour sur DBP était avec tout l'équipage sous "Maxiton" .
Quand a nous au Tchad ..........il nous en était distribué en cas de besoins .
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glaive
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Sujet: Re: La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu) Dim Sep 18 2022, 14:37
Je crois que beaucoup de choses vont changer dans quelques temps...................Le FRANCAIS DE SANG n'en peut plus..............J'en connais beaucoup qui sont prêts ,ils n'ont pas besoin de drogue,ils ont la haine de subir ,trop de choses,qui ne vont pas dans ce Pays, ils en deviennent trop frustrés ....Le jour ou cela, partira, ils se SENTIRONS D'ATTAQUE ..............................Cela sera une très bonne jouissance pour eux.................Mais pour plus de poids il ,faudrait une Organisation de l'Armée secrète...
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Sujet: Re: La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu)
La pervitine, cette drogue qui a aidé les nazis dans leur guerre éclair (mais les a détruits à petit feu)