FAISONS LE POINT SUR L"IMMIGRAION EN. FRANCE - VIDEO

Merci Athos pour la vidéo .

On nous dit, ’’il y en a qui arrivent d’autres partent’’, en effet, les étudiants qui préfèrent faire des études à l’étranger, des retraités qui veulent une vie paisible. Mes deux filles qui ont fait les études en France bac +5 et qui ne supportaient plus l’environnement, notamment quand il fallait préparer les examens et que toute la nuit il y a des bruits de motos, du rap à fond...Effectivement, le solde migratoire rétrécit car de plus en plus de gens ne veulent plus vivre dans un pays qui leur est étranger, la France socialiste.

C'est ce qu'on doit nommer le vivre ensemble
ou autre phrase, dont je ne me souviens plus dans l'immédiat.

Je mets en-dessous le message que j’ai envoyé aux représentants de Reconquête :

Bonsoir Messieurs,

Je prends un peu de temps pour répondre à la prise de contact envoyée
dernièrement et d'avance je vous remercie de lire mon témoignage qui vous
prend un peu de votre temps.

Depuis novembre 2020,je n'habite plus à Pontault-Combault et je me suis
exilé avec ma famille en Hongrie. J'y ai vécu de 2007 à 2020, treize années.
Le quartier où j'habitais (les Berchères) était relativement calme mais au
fil des années la municipalité a relogé des familles du 9-3 c'est-à-dire des
cas sociaux. J'ai connu les joies du vivre-ensemble, musique rap à fond,
dégradations, gymkhana de motocyclettes -bruyantes, c'est un euphémisme-
enfants dans le hall, puis sur mon balcon.

Puis cela a dégénéré. Mes filles (Bac + 5) étaient insultées dans la rue
car elles n'ont jamais adressé la parole à ce voisinage, elles travaillaient
comme hôtesse d'accueil dans des salons pour payer leurs études et leurs
vêtements, tailleur chic, à l'inverse des accoutrements de leurs mères,
était un signe de "bourgeoisie". Puis il y a eu des menaces avec je cite "je
vais te niquer salope", pardon pour la trivialité. Ma femme et une des
filles ont porté plainte pour injure à caractère sexiste, plainte rejetée
par le commissariat de police car les agresseurs étaient mineurs. Je dis
bien agresseurs, car c'est une agression verbale doublée de menaces.

Mon chien, un berger des Shetland encore chiot et était la cible des
ballons de football en cuir et j'étais obligé de le porter pour sorti de mon
domicile.

En juillet 2020, une de mes fille s'est inscrite à une fac de Budapest pour
préparer un Master et c'est ainsi que nous sommes partis nous installer dans
la Hongrie d'Orban tant abhorrée des média. Ici mes filles peuvent rentrer
tard le soir sans risquer de se faire agresser et jamais elles n'ont été
insultées. Elles ont trouvé du travail et c'est ainsi que la France qui
forme de jeunes étudiantes prometteuses assiste à un exil parce que le pays
est devenu invivable à cause de l'immigration sauvage et inassimilable
(étant né en Italie moi-même)

L'annonce de la candidature d'Eric Zemmour a soulevé un immense espoir même
si je ne partage pas toutes ses idées notamment pour les prénoms.

Je voulais vous faire part de mon témoignage car j'ai rencontré d'autres
Français qui se sont installés à Budapest pour les mêmes raisons. Lorsque je
raconte ce qu'il se passe en France, les gens ici ne me croient pas car pour
eux il est inconcevable de caillasser des pompiers, agresser des médecins,
s'attaquer à des personnes âgées... Pour les Hongrois, la France demeure le
flambeau de la civilisation, un flambeau qui s'est malheureusement consumé
au bout de quarante ans.

Je vous remercie d'avoir lu ce témoignage, certes un peu long mais il
s'ajoute à tant d'autres.

Voilà, vous avez suivi mes péripéties en direct du forum depuis plus d'un an. Cela n’est pas une solution de quitter son pays, pour moi c’est la deuxième fois après l’Italie et la France mais ici, je retrouve la France des années 70 et en France, en région parisienne notamment, on se sent à l’étranger. Je continue à payer mes impôts en France tout de même.
Mais quand même ! Quand on voit comment l’État s’approprie le fruit de votre labeur. Et l’usage qu'il en fait surtout. On est dégoûté.

Oui, couleurs inversées.
Pour le pognon versé à l’État je te donne mon exemple. L’article sur El Alamein que je t’ai envoyé fait quatre pages mais j'ai pris 3 semaines pour l’écrire le soir. Plus la documentation que je possédais heureusement. L’éditeur me verse 200 euros mais il doit payer entre 20 et 30 euros de taxes et Csg. Donc je touche environ 170 euros. Mais c’est un travail immense et refiler cet argent après ces efforts c’est un hold-up. Bien sûr je ne suis pas descendu à la mine ou déplacé des cartons dans un hangar, mais ce travail intellectuel est prenant. Je ne fais pas ça pour l argent et la gloire ne m’intéresse pas,.

Merci beaucoup Alex pour le partage.