"Les SS-Jagdverband" .

SS et ses actions horribles.
Armée de salissure, au plus haut point,
qui a du sang sur les mains.

À voir les photos de l'un de ces (ses) actionnaires
du pire, çà fait mal.

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Otto Skrozeny grand malade mental de son " état"
aux ordres de Hitler ,
s'est enfuie en Espagne franciste  après la guerre.

Skorzeny a eu une attitude d’imposteur lors de la libération de Mussolini le 12 septembre 1943. C’est le major Mors qui a fourni les hommes et a dirigé l’opération Eiche. Skorzeny ne devait pas monter à bord du Storch trop étroit et qui ne pouvait transporter que 2 hommes. Il a fallu l’habileté du pilote,  Gerlach pour faire décoller le petit avion sur un terrain rocailleux et en pente. Mais Skorzeny a reçu les lauriers de l’opération. 
Il a terminé sa vie à Madrid et a bénéficié de la complaisance des Américains.

Une chose est sûre c'est grâce à Skorzeny que Mussolini a été retrouvé par une indiscrétion des carabinieiri italiens. En août, alors qu'il était à bord d'un Storch à la recherche de Mussolini près de la Sardaigne, (il n'était pas loin de l'archipel de la Maddalena où était emprisonné le Duce) l'avion s'est crashé en mer, secouru par une vedette italienne. Les Italiens ont décidé de transporté Mussolini au Gran Sasso, à l'hôtel Imperatore, à 2000 m d'altitude.
Mais quel exploit des Fallschimjager et surtout des pilotes de planneurs qui se sont posés à cet endroit extrêmement dangereux. Et aussi de Gerlach, le pilote du Storch qui a réussi à faire partir son avion surchargé.

Attention à ne pas confondre les SS Jagdverband qui étaient le pendant des unités spéciales Brandebourg pour l’Abweehr et kes Einsatzgruppen chargés d’exterminer les juifs en URSS. 
La plus célèbre unité était celle de Skorzeny, la SS-Sonderverband z.b.V. Friedenthal qui tirait don nom du château qui servait de pc et de camp d’entraînement.  Je crois que c’est la même unité qui était à deux doigts de s’emparer de Tito.

Tiré de mon livre Complot à l’italienne,  la présentation de Skorzeny à Hitler  : 


« SS-Hauptsturmfürer Otto Skorzeny », annonce l’officier, avant de préciser qui il est en quelques phrases. La grande offensive à l’Ouest en 1940, la campagne des Balkans en 1941 et le terrible Premier hiver devant Moscou, à chaque fois dans les rangs de la division SS Das Reich, jusqu’à son évacuation vers l’arrière pour des problèmes de santé et sa nomination, en avril 1943, à la tête du tout nouveau groupe S, pour Schulen (écoles), de l’Amt VI du Reichssicherheisthauptamt (RSHA), les services de renseignement extérieur de la SS. Mais l’appellation est trompeuse car, outre superviser les centres où sont formés les futurs agents aux transmissions, au tir, à la conduite automobile ou au maniement des explosifs, Skorzeny a reçu pour mission de mettre sur pied un véritable « service action », capable de mener les opérations de commandos les plus audacieuses. Cette unité a reçu un nom : Sonderverband z.b.V. Friedenthal[url=#_ftn1][1][/url].
« Qui d’entre vous, demande Hitler, connaît l’Italie ? » Quelques secondes de silence. Skorzeny est le seul à répondre ; il s’y est rendu à deux reprises.
Et une ultime question : « Que pensez-vous de l’Italie ? » Réponses fort diplomatiques des officiers qui évoquent l’axe Rome-Berlin et la nécessité du combat commun contre le bolchevisme.
La réplique de Skorzeny n’a, elle, rien de diplomatique : « Mein Führer, je suis autrichien… » Allusion transparente aux relations difficiles entre deux peuples qui se déchirent à propos d’une région que les uns appellent le Sud-Tyrol et les autres le Haut-Adige. Autrichienne jusqu’en 1919, peuplée dans son immense majorité de germanophones, la province a été rattachée à l’Italie à l’issue de la Première Guerre mondiale.
Cette franchise semble séduire Hitler qui, bientôt, donne congé aux autres officiers. « Hier, annonce le Führer à Skorzeny, Mussolini a été trahi. Son roi l’a fait arrêter. Le Duce n’est pas seulement mon allié, c’est aussi mon ami. » Hitler poursuit en se disant certain que nouveau gouvernement va les trahir et que le Duce va être vendu aux Alliés. Il faut l’empêcher à tout prix. Otto Skorzeny vient de recevoir la mission dont la réussite le rendra célèbre dans le monde entier : rendre sa liberté à Benito Mussolini.
 
Cantonnements du Sonderverband z.b.V. Friedenthal, Oranienburg (Brandebourg), château de Friedenthal, 26 juillet, environs de 23 h 30.
 
L’unité à destination spéciale commandée par Otto Skorzeny vient d’être mise en alerte. Dans les bureaux du château de Friedenthal, un ancien relais de chasse des Hohenzollern situé à une trentaine de kilomètres au nord de Berlin et dans les baraquements disséminés dans le parc qui l’entoure, on s’active pour un départ précipité. Depuis le QG du Führer, Skorzeny a donné les premières directives à son adjoint, le SS‑Obersturmführer Karl Radl. Elles tiennent en peu de mots : constituer un détachement d’une cinquantaine d’hommes, les meilleurs officiers et sous-officiers, tous volontaires, en vue d’une mission de la plus haute importance. Les hommes sélectionnés devront revêtir des tenues de parachutistes et se présenter à 6 heures à l’aérodrome de Staacken, situé à la périphérie de la capitale allemande. Destination secrète. Celle-ci ne sera communiquée aux pilotes qu’une fois les appareils en l’air.

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[url=#_ftnref1][1][/url]Sonderverband signifie formation spéciale. L’abréviation z.b.V. (zur besondere Verwendung, d’emploi particulier) s’applique à des formations ou à des échelons de commandement autonomes de toutes armes sans rapport avec l’action secrète ou subversive. Friedenthal est le nom du château où l’unité a ses cantonnements.

Commandoair,
Concernant la guerre, je sais que ce n'est
pas une partie de plaisir,
Dans ma famille proche certains ont fait la guerre.

Je parlais moi des SS, je les déteste.