Dans son nouveau morceau intitulé BREF, j’ai besoin d’une pause, le chanteur Slimane multiplie les sujets d’actualité anxiogènes du moment.
L’artiste de 32 ans, vainqueur de The Voice en 2016, y évoque aussi Éric Zemmour, sous les feux des projecteurs depuis qu’il s’est lancé dans la course à l’élection présidentielle.
Sans le nommer, Slimane revient sur la dispute qui avait opposé le polémiste d’extrême droite à l’animatrice télé Hapsatou Sy sur le plateau des Terriens du dimanche sur C8, bien avant qu’Éric Zemmour ne devienne candidat.
“Y a un mec à la télé avec un nom de famille du bled qui préférerait qu’Hapsatou s’appelle Corinne, bref”, chante Slimane -presque en rappant- dans son morceau.
Accrochage sur les prénoms français
Invité sur le plateau de l’émission de Thierry Ardisson le 16 septembre 2018, Éric Zemmour, qui faisait alors la promotion de son nouvel ouvrage Destin français, avait été interrogé sur sa réaction lorsqu’il avait appris que Rachida Dati avait appelé sa fille Zorha.
Il s’était à l’époque fortement opposé à ce choix de prénom .
“Normalement, chez moi, en tout cas depuis une loi de Bonaparte qui a malheureusement été abolie en 1993 par les socialistes, on doit donner des prénoms dans ce que l’on appelle le calendrier, c’est à dire les saints chrétiens”, expliquait-il.
Hapsatou Sy arguait alors avec un sourire:
“Je m’appelle Hapsatou et je suis Française”. Ce à quoi Éric Zemmour avait répondu du tac au tac:
“Eh bien votre mère a eu tort”.
Ébahie, la chroniqueuse lui avait alors demandé:
“Vous voudriez qu’elle m’appelle Marie ou des prénoms qui ne lui inspirent absolument rien?”.
“Corinne, ça vous irait très bien”, avait très sérieusement répondu le polémiste.
Dans son nouveau titre, Slimane fait par ailleurs une référence à La Manif pour tous, ce mouvement en 2013 qui s’opposait au mariage homosexuel:
“Y a des gens qui font des manifs avec leurs gosses pour leur apprendre à détester d’autres gens qui veulent des gosses. En parlant de manif, y a ces mêmes gens qui sont là pour crier haut et fort qu’ils n’aiment pas que d’autres s’aiment”.
Retournes vite dans ton Bled prendre une bien longue "Pose" Boukak .
2022 arrive bien vite , tu sent le vent venir puisque tu as coupé tous liens avec la France .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Alexderome Admin
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Sujet: Re: "BREF, j'ai besoin d'une pause". Sam Déc 18 2021, 22:20
Et pendant ce temps, bravant l’interdiction de manifestation sur les Champs Élysées, les Algériens se sont affrontés avec les forces de police. Apparemment, ils ne sont pas concernés par les décrets de la PP et s’en affranchissent.Mais depuis quand cette avenue, symbole du prestige de la est devenue le defouloir de la racaille où tout est permis ?
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Eva Admin
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Sujet: Re: "BREF, j'ai besoin d'une pause". Dim Déc 19 2021, 13:43
Du déjà vu - liens Riviere
Violence habituelle, devenue " normalité " en ce pays. Occupation de la place " oblige"
« Lorsque dans notre pays on parle de courage et de grandeur, c’est vers les croix de guerre que se tournent les regards » Alphonse JUIN Maréchal de France
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Marin membre confirmé
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Raz le bol de ces individus qui se disent français et qui n'en n'ont pas la carrure, ni l'intelligence. Il n'est pas question qu'ils changent de prénom car on les reconnait mieux avec leur noms arabes. Je ne leur reconnait pas le droit de dire qu'ils sont Français. Marin
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Eva Admin
Nombre de messages : 4660 Age : 72 Emploi : Retraite Date d'inscription : 01/02/2021
Il y a tant de censures, & surveillance des mots, qu'ils peuvent devenir maux, Pas facile de savoir raison garder dans de tels cas, Oui mais voir l'actu , où nous en sommes, nos raisonnements, notre logique, sont condamnés d'office. Il y a bien une raison! Méfiance dirais-je !
Peut-être aussi, tout dépend où nous sommes pour se permettre ou pas de revendiquer et foncer à 100%
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Marin membre confirmé
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Difficile en effet de s'y retrouver et de savoir qui pense quoi. On est encore visés par une prise d'otage à Paris. On va pas nous foutre la Paix. Marin
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Michel Admin
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[size=30]Invité par Emmanuel Macron à l'Elysée le maire de Poissy Karl Olive provoque un accident dans une voiture banalisée de la Ploice.[/size]
Le 17 décembre dernier, le maire de Poissy et l’un de ses conseillers municipaux ont été brièvement arrêtés par la police parisienne au volant d’une voiture équipée de gyrophares et de sirènes de police. Après avoir roulé en contre-sens et grillé un feu rouge, la voiture banalisée a percuté une jeune femme en scooter. Assurant avoir rendez-vous avec Emmanuel Macron, l’édile est reparti libre.
Il est 17 heures 15 à Paris ce 17 décembre quand des policiers assistent à un accident entre une voiture et un scooter au croisement des avenues Eisenhower et Churchill, dans le 8e arrondissement. Le véhicule est une Citroën DS 7 noire aux vitres teintées sur lequel on peut apercevoir la cocarde réservée aux députés. Après avoir remonté l’avenue à contre-sens et grillé un feu rouge à grand coup de gyrophares et de sirènes, la voiture a percuté une jeune femme apeurée. Un véhicule officiel ? Des collègues policiers ? Que nenni : le conducteur est un simple employé municipal de la ville de Poissy, sans aucune habilitation policière. À l’arrière, voilà Karl Olive, l’édile de la commune des Yvelines. Embarrassé, il affirme aux policiers qu’il a rendez-vous avec le président, à l’Élysée. Après avoir passé l’après-midi dans un colloque organisé autour de l’insertion des jeunes par le sport, Karl Olive est pressé. Suffisant pour justifier l’usage d’équipements de police sans en avoir l’autorisation ? Une pratique interdite, passible d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende. Conscient d’être en face d’une situation pour le moins inhabituelle, les forces de l’ordre appellent des renforts sur place. Ils ne s’attendaient sans doute pas à voir débarquer pas moins de quatre véhicules banalisés et plusieurs “gradés” sur les lieux de l’accident. À la tête de ce convoi exceptionnel, le commissaire de l’arrondissement, Robert Hatsch en personne, qui se charge des négociations express auprès du chauffeur et de son passager privilégié. Pendant ce temps-là, les premiers secours s’occupent de la victime, qui s’en sortira avec des blessures au niveau des hanches et des genoux. Après seulement quelques minutes, le commissaire revient vers ses hommes : la voiture peut repartir libre, toujours équipée d’un gyrophare et de deux sirènes de police. On ne fait pas attendre Emmanuel Macron, pas plus qu’on inquiète Karl Olive, un ami du président. Ce dernier était notamment à l’initiative, le 14 octobre dernier, de la participation du chef de l’État au match de football caritatif opposant le Variétés Club de France et des soignants du centre hospitalier intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye.
Le spectre de l’affaire Benalla
La scène compromettante se devait de passer inaperçue. Elle le serait vraisemblablement restée sans l’intervention d’un des policiers présents sur place. Ce dernier publie dans les jours qui suivent plusieurs messages sur ses réseaux sociaux. Attestant de sa présence sur place par la publication de photos de l’accident, le policier s’étonne de l’intervention rapide du commissaire Robert Hatsch et de la mise à disposition de moyens considérables pour un “simple” maire. Au départ passés inaperçus, ces messages parviennent finalement aux oreilles des proches d’Emmanuel Macron. Le spectre de l’affaire Benalla plane toujours dans les couloirs de l’Élysée.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Marin membre confirmé
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[size=30]Invité par Emmanuel Macron à l'Elysée le maire de Poissy Karl Olive provoque un accident dans une voiture banalisée de la Ploice.[/size]
Le 17 décembre dernier, le maire de Poissy et l’un de ses conseillers municipaux ont été brièvement arrêtés par la police parisienne au volant d’une voiture équipée de gyrophares et de sirènes de police. Après avoir roulé en contre-sens et grillé un feu rouge, la voiture banalisée a percuté une jeune femme en scooter. Assurant avoir rendez-vous avec Emmanuel Macron, l’édile est reparti libre.
Il est 17 heures 15 à Paris ce 17 décembre quand des policiers assistent à un accident entre une voiture et un scooter au croisement des avenues Eisenhower et Churchill, dans le 8e arrondissement. Le véhicule est une Citroën DS 7 noire aux vitres teintées sur lequel on peut apercevoir la cocarde réservée aux députés. Après avoir remonté l’avenue à contre-sens et grillé un feu rouge à grand coup de gyrophares et de sirènes, la voiture a percuté une jeune femme apeurée. Un véhicule officiel ? Des collègues policiers ? Que nenni : le conducteur est un simple employé municipal de la ville de Poissy, sans aucune habilitation policière. À l’arrière, voilà Karl Olive, l’édile de la commune des Yvelines. Embarrassé, il affirme aux policiers qu’il a rendez-vous avec le président, à l’Élysée. Après avoir passé l’après-midi dans un colloque organisé autour de l’insertion des jeunes par le sport, Karl Olive est pressé. Suffisant pour justifier l’usage d’équipements de police sans en avoir l’autorisation ? Une pratique interdite, passible d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende. Conscient d’être en face d’une situation pour le moins inhabituelle, les forces de l’ordre appellent des renforts sur place. Ils ne s’attendaient sans doute pas à voir débarquer pas moins de quatre véhicules banalisés et plusieurs “gradés” sur les lieux de l’accident. À la tête de ce convoi exceptionnel, le commissaire de l’arrondissement, Robert Hatsch en personne, qui se charge des négociations express auprès du chauffeur et de son passager privilégié. Pendant ce temps-là, les premiers secours s’occupent de la victime, qui s’en sortira avec des blessures au niveau des hanches et des genoux. Après seulement quelques minutes, le commissaire revient vers ses hommes : la voiture peut repartir libre, toujours équipée d’un gyrophare et de deux sirènes de police. On ne fait pas attendre Emmanuel Macron, pas plus qu’on inquiète Karl Olive, un ami du président. Ce dernier était notamment à l’initiative, le 14 octobre dernier, de la participation du chef de l’État au match de football caritatif opposant le Variétés Club de France et des soignants du centre hospitalier intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye. Le spectre de l’affaire Benalla La scène compromettante se devait de passer inaperçue. Elle le serait vraisemblablement restée sans l’intervention d’un des policiers présents sur place. Ce dernier publie dans les jours qui suivent plusieurs messages sur ses réseaux sociaux. Attestant de sa présence sur place par la publication de photos de l’accident, le policier s’étonne de l’intervention rapide du commissaire Robert Hatsch et de la mise à disposition de moyens considérables pour un “simple” maire. Au départ passés inaperçus, ces messages parviennent finalement aux oreilles des proches d’Emmanuel Macron. Le spectre de l’affaire Benalla plane toujours dans les couloirs de l’Élysée.
Ignoble. Et dire que cette jeune fille aurait pu décéder, ou être handicapée à vie. Tout simplement ignoble! Elle s'en est sortie, quasi indemne " par miracle"!
« Lorsque dans notre pays on parle de courage et de grandeur, c’est vers les croix de guerre que se tournent les regards » Alphonse JUIN Maréchal de France
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Marin membre confirmé
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Sujet: Re: "BREF, j'ai besoin d'une pause". Mar Déc 21 2021, 09:26
Rien à dire à ce Marcon si ce n'est "casse-toi pauvre con". Marin
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Eva Admin
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Sujet: Re: "BREF, j'ai besoin d'une pause". Jeu Déc 23 2021, 01:44
Comme beaucoup d'entre nous les évènements me dépassent, cela ne date surtout pas d'hier. C'est d'une gravité que tout cela, sans précédent.
Autre : Regardons en arrière nos gouvernants où étaient-ils nés etc ... et aïeux Cela est inquiétant pour l'avenir 2022 (je parle là du constat que j'en ai fait)
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