« Lorsque dans notre pays on parle de courage et de grandeur, c’est vers les croix de guerre que se tournent les regards » Alphonse JUIN Maréchal de France
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Sujet: Re: L'écho du net Sam Sep 11 2021, 21:48
Michel Onfray : "Il y a eu une gestion calamiteuse de la crise"
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Sujet: Re: L'écho du net Sam Sep 11 2021, 22:04
Le Medef demande la fin du passe sanitaire pour les centres commerciaux
Invité sur BFMTV ce jeudi 2 septembre 2021, Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, a demandé l’arrêt du passe sanitaire dans les centres commerciaux en France.
Bruno Le Maire : "le pass sanitaire n'a ralenti ni la consommation, ni la croissance"
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Sujet: Re: L'écho du net Sam Sep 11 2021, 23:21
Covid-19 : ces lanceurs d’alerte menacés pour avoir dit la vérité sur la pandémie
Devenu un héros national pour une partie de la population chinoise, le docteur Li Wenliang, 34 ans, avait été arrêté par les autorités chinoises pour avoir lancé l'alerte sur le coronavirus, fin décembre. Il est mort de la maladie le 7 février.
Ils sont médecins, journalistes ou militaire. Leur tort est d’avoir, dans le cadre de leur mission, révélé des vérités qui fâchent sur le virus, sa propagation et la gestion qu’en font les autorités.
Des gouvernements qui, parfois, instrumentalisent la pandémie pour renforcer la censure. Le commandant Brett Crozier, démis de ses fonctions après une lettre d'alarme à l'US Navy qui a fuité dans la presse, est, aujourd'hui, le dernier symbole d'une très longue liste d'hommes et de femmes qui se sont mis en danger pour sauver et alerter au sujet du Covid-19. A commencer par Ai Fen, pour qui les nouvelles semblent rassurantes ce lundi 13 avril.
Ai Fen, cheffe du service des urgences de l’hôpital central de Wuhan, Chine Le Docteur Ai Fen est la véritable première lanceuse d’alerte sur la dangerosité du coronavirus. Le 30 décembre 2019, elle découvre le rapport du laboratoire qui a analysé les échantillons en provenance d’une malade hospitalisée le 16 décembre, et dont l’état ne cesse de s’aggraver. Selon ce rapport, il s’agit d’un coronavirus de type « SRAS ». Il se transmet principalement par les gouttelettes émanant des secrétions pulmonaires du patient et la pneumonie atypique qui en résulte est "de manière évidente contagieuse". Il faudra attendre le 20 janvier pour que les autorités chinoises reconnaissent officiellement la possibilité d’une contagion d’homme à homme. Ai Fen prévient alors un groupe de médecins de son hôpital, dont le Docteur Li Wenliang, en leur envoyant via le réseau social WeChat une photo du rapport.
Elle alerte également le département des maladies infectieuses de l’hôpital. Mais le soir du 1er janvier, elle est convoquée par un responsable de la discipline de l’établissement, qui l’accuse de"répandre des rumeurs", de "créer des problèmes" et de manquer à la "discipline d’équipe". Elle reçoit l’ordre de se taire. Le 10 mars, jour de la visite surprise du président Xi Jinping à Wuhan, le magazineRen Wu("Les gens") publieune interview du Docteur Fen.
Ce magazine est une filiale du groupe du Quotidien du peuple, l’organe de presse officiel du Comité central du Parti communiste chinois. Très rapidement les éditions papier du journal sont saisies et le site Internet est expurgé. Mais le long témoignage de l’urgentiste est déjà largement diffusé sur les réseaux sociaux et notamment la messagerie chinoise WeChat.
L'interview donne lieu à des traductions automatiques dans toutes sortes de langages codés difficilement détectables par les outils électroniques de la censure, comme le braille, le morse ou les hiéroglyphes égyptiens. En réaction à la censure et de manière ironique, les versions se multiplient : en chinois écrit de droite à gauche (contrairement à l’usage), en phonétique du Sichuan, en langue "martienne" (mélange de caractères chinois, japonais, latins et d’emojis)… mobilisation sans précédent des internautes chinois contre la censure d’Etat.
Li Wenliang, ophtalmologue à l’hôpital central de Wuhan, Chine
Le 30 décembre 2019, Li Wenliang partage sur un chat d'anciens étudiants en médecine la photo du rapport envoyée par le Docteur Ai Fen. Deux jours plus tard, en pleine nuit, il est interpellé avec sept autres médecins pour avoir "répandu des rumeurs" et "perturbé gravement l'ordre social". Questionné pendant plusieurs heures, il est contraint de signer une lettre de réprimande pour diffusion de rumeurs sur internet. Il doit promettre de ne plus commettre "d'actes contraires à la loi". Ce n'est qu'à cette condition qu'il est autorisé à retourner travailler.
Le 10 janvier, Li Wenliang s'occupe d'une patiente atteinte d'un glaucome, sans savoir qu'elle est infectée par le coronavirus. Il est testé positif le 1er février. Hospitalisé deux jours plus tard, il est transféré dans une unité de soins intensifs et placé sous assistance respiratoire. Le 6 février, la télévision nationale chinoise CCTV et le quotidienGlobal Timesannoncent son décès, avant de retirer cette information des réseaux sociaux suite au démenti de l'hôpital central de Wuhan. Quelques heures plus tard, l’établissement confirme sa mort. Sur les réseaux sociaux, les autorités sont accusées d’avoir retardé l'annonce de son décès. Certains reprochent au gouvernement chinois d'avoir couvert l'ampleur de l'épidémie et demandent plus de liberté d'expression. Le 19 mars, une enquête officielle chinoise désavoue la police de Wuhan, pour avoir réprimandé Li Wenliang et ses sept confrères. Fin janvier, la Cour suprême avait déjà réhabilité le docteur Li et d'autres lanceurs d'alerte dans un article publié dans la presse.
Li Wenliang fait désormais figure de héros national pour une partie de la population chinoise pour avoir alerté des collègues dès l'apparition du virus, alors que les autorités cherchaient à étouffer ses révélations. Il était âgé de 34 ans. Son épouse et lui attendaient leur deuxième enfant.
Sergueï Satsouk, rédacteur en chef du quotidien en ligne Ejednevnik, Bélarus Le 25 mars, Sergueï Satsouk est arrêté et inculpé pour "corruption", un crime passible de dix ans de prison. Trois jours plus tôt, Ejednevnik, célèbre pour ses enquêtes sur le système de santé du pays, a publié un éditorial qui met en doute les statistiques officielles sur l’épidémie de Covid-19. L’article critique également l’ordre donné par le Président Loukachenko de "s’occuper" des médias couvrant l’épidémie. Cette arrestation sonne comme un avertissement aux médias qui remettent en cause la politique sanitaire des autorités biélorusses, dénonce Reporters sans Frontières, qui réclame la "libération immédiate de Sergueï Satsouk et l’abandon de toutes les poursuites contre lui. Cette criminalisation du journalisme au Bélarus créée un climat d’autocensure inacceptable.
La suite ici
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Sujet: Re: L'écho du net Sam Sep 11 2021, 23:30
Qu’est-ce qu’un lanceur d’alerte
Un lanceur d’alerte est une personne qui, dans le contexte de sa relation de travail, révèle ou signale un état de fait mettant en lumière des comportements illicites ou dangereux qui constituent une menace pour l'homme, l'économie, la société, l'État ou l'environnement, c'est-à-dire pour le bien commun, l'intérêt général. Les lanceurs d’alerte ont ainsi contribué à une meilleure information des citoyens et permis de prévenir scandales et tragédies, de préserver biens publics comme vies humaines et contribuent de manière plus générale au bon fonctionnement démocratique. Ils sont le dernier recours lorsque les contrôles sont défaillants, ils jouent un rôle fondamental dans la lutte contre la corruption. Ils sont très souvent la cible d’intimidations, de menaces et de représailles : licenciement, procès en diffamation, harcèlement…
Ils deviennent des personnes à protéger.
Le Conseil de l'Europe définit ainsi l'Alerte (whistleblowing) :
L’alerte concerne la révélation d’informations sur des activités qui constituent une menace ou un préjudice pour l’intérêt général. Les personnes lancent une alerte car elles considèrent qu’il doit être mis fin à ces activités ou que des mesures palliatives doivent être prises. Souvent il s’agit simplement d’informer les employeurs des agissements irréguliers dont ils ignorent l’existence et qu’ils s’empressent de corriger. Dans d’autres cas, les lanceurs d’alertes peuvent estimer nécessaire de contacter les organes réglementaires ou de contrôle, ou les autorités de répression compétentes. Parfois les lanceurs d’alerte voudront rendre publiques ces actes répréhensibles, le plus souvent pas le biais de l’internet et d’autres médias, ou en contactant des groupes de défense de l’intérêt général ou des parlementaires.
Un lanceur d’alerte n’est pas : un espion, car il n’est pas à la solde d’une organisation et agit de façon désintéressée. une taupe, qui chercherait de manière préméditée à nuire à son organisation, car le lanceur d’alerte est désintéressé.
un alarmiste, il ne cherche pas à attirer davantage l’attention sur sa personne que sur sa cause.
un dénonciateur, ni un délateur, ni un traître, ni un cafard ou un mouchard ; termes péjoratifs qui ne prennent pas en compte la notion d’intérêt public qui motivent l'action du lanceur d’alerte.
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Sujet: Re: L'écho du net Sam Sep 11 2021, 23:46
Lanceurs d'alerte français : Thérondel, Kerviel, Falciani, les visages de la nouvelle vague?
JUSTICE - Toute la planète connaît Edward Snowden, l'informaticien qui a révélé le vaste système d'espionnage de l'agence américaine NSA. Une histoire forte, grâce à laquelle le jeune homme de 30 ans a rejoint le panthéon des "lanceurs d'alerte". Mais la France n'est pas en reste. Vendredi 21 mars s'ouvre le procès d'Oliver Thérondel, ex-agent de TracFin, la cellule anti-blanchiment de Bercy. Il est accusé d'avoir dévoilé et critiqué l'attitude de sa hiérarchie dans l'affaire Cahuzac.
Pour ses avocats, l'enjeu est clair: il s'agit de mobiliser l'opinion publique pour lui offrir le statut symbolique de lanceur d'alerte. Sur un blog, Olivier Thérondel avait publié des billets mettant en cause les consignes de ses supérieurs dans le suivi du dossier de Jérôme Cahuzac. L'ancien ministre du Budget a depuis été contraint à la démission, après des mois de mensonge sur sa possession d'un compte à l'étranger.
Selon l'agent, une banque (non identifiée) avait transmis très tôt à Tracfin une déclaration de soupçon. Elle indiquait qu'elle devait recevoir 685.000 euros sur un compte français détenu par Jérôme Cahuzac, en provenance d'un établissement de Singapour. Selon son récit, lorsqu'étaient parvenues les preuves effectives des transferts, son supérieur direct l'aurait enjoint, oralement, à ne plus effectuer d'opérations liées à Jérôme Cahuzac. Un catalyseur pour Olivier Thérondel.
Faute d'obtenir un ordre écrit, il avait fait part publiquement de ses interrogations, par le biais de son blog anonyme sur Mediapart. "Je ne comprenais pas qu'une telle information ne soit pas transmise immédiatement à la justice. Pourquoi ce black-out? Rien ne justifiait une telle lenteur", a affirmé l'ancien agent, identifié plus tard par la justice (Mediapart n'a pas pu le protéger car il n'intervenait pas dans un article).
En septembre, Olivier Thérondel a été suspendu de Tracfin et réaffecté aux douanes, son corps d'origine, en région parisienne. Il fait aussi l'objet d'une procédure disciplinaire. De quoi lui donner l'envie de faire éclater la vérité sur ce que savait le fisc.
Pour son avocat Maître William Bourdon, "Olivier Thérondel est un lanceur d'alerte exemplaire" , alors qu'il est lui-même auteur d'un Petit manuel de désobéissance citoyenne. "Il a courageusement révélé les graves dysfonctionnements d'un autre lanceur d'alerte institutionnel, Tracfin. Le droit moderne est son allié et doit conduire à sa relaxe", estime l'avocat. Il espère ainsi profiter des nouvelles protections de la justice, mises en place après cette affaire retentissante.
"Je pense débuter une grève de la faim : je risque un an de prison ferme" Olivier Thérondel #Tracfin#cahuzacpic.twitter.com/AAcpICC6X6
— La Nouvelle Édition (@LNEcanal) 12 Mars 2014
Un statut désormais protégé par la loi française
Lanceur d'alerte, ou "whistleblower" en anglais (même si la traduction littérale ne correspond pas), est un terme relativement nouveau en France. Dans sa mythologie, on désigne une personne qui estime avoir découvert des éléments qu'il considère menaçants pour la société. De manière désintéressé, il décide alors de les porter à la connaissance du public, parfois contre l'avis même de sa hiérarchie. Un statut dont l'interprétation est capitale.
Mais il faut seulement remonter à 2007 pour que l'Etat en choisisse de le protéger. Pourquoi si tard? Probablement pour des raisons historiques liées au régime de Vichy, estiment les sociologues. La confusion est souvent entretenue entre délation et signalement de faits contraires à la loi. Il a néanmoins fallu attendre la fin 2013 pour que les agents publics profitent du dispositif.
Désormais, 5 pays de l'UE (dont la France) ont mis en œuvre une protection complète des lanceurs d'alerte: le Royaume-Uni, le Luxembourg, la Roumanie et la Slovénie.
L'un des premiers lanceurs d'alerte français fut André Cicolella, ce chimiste spécialisé dans l'évaluation des risques sanitaires, qui fut licencié de l'Institut national de recherche et de sécurité en 1994, pour avoir dénoncé les dangers des éthers de glycol. Il a fallu attendre l'an 2000 pour que la Cour de cassation rétablisse ses droits en reconnaissant le caractère abusif de son licenciement. André Cicolella a alors entrepris de faire connaître la situation du lanceur d'alerte en proposant de lui accorder une protection juridique.
Plus proche de nous, Irène Frachon rentre également dans ce cadre. En 2010, cette pneumologue avait révélé le scandale du Mediator, ce médicament souvent prescrit comme coupe-faim, retiré du marché en 2009 pour de sa toxicité sur le cœur. Elle avait choisi d'écrire un livre, Mediator 150 mg, Combien de morts? pour relater son combat. Jérôme Kerviel est-il un lanceur d'alerte ?
Son statut est assez spécial. L'ex-trader n'a pas cherché à révéler certains comportements contraires à l'éthique quand il était en poste. Pourtant, il veut aujourd'hui faire la lumière sur les dérives de la finance et cherche à retourner le procès à son avantage. Il a obtenu de la Cour de cassation qu'une nouvelle audience se tienne à la Cour d'appel de Versailles pour évaluer les responsabilité de la Société Générale.
Dans son arrêt, la Cour de cassation a estimé que le précédent jugement "n'a pas tenu compte des fautes" (ndlr: commises par la banque, ayant concouru au développement de la fraude et à ses conséquences financières). Jamais inquiétée jusqu'à aujourd'hui, la banque se pose en victime dans cette affaire et réclame 5 milliards d'euros à son ancien trader. Trop négligente? "Une victime négligente n'est pas pour autant une victime consentante", avait répondu l'avocat général de la Cour d'appel de Paris, Yves Le Baut.
Mais Jérôme Kerviel n'est pas ce "chevalier blanc" que sa défense tente de dépeindre. Pourtant soutien politique de l'ex-trader, Jean-Luc Mélenchon a mis le doigt sur ce qui le différencie d'un lanceur d'alerte. "Les banques sont nos ennemis aujourd’hui. Kerviel en était un rouage actif, content de lui et du système. Mais Kerviel est innocent", a écrit le coprésident du Parti de gauche sur son blog en juin dernier. En effet, l'ancien trader est tombé pour avoir pris 50 milliards d'euros de positions. Pas pour avoir dénoncé un système trop laxiste quand il y travaillait.
Le cas Hervé Falciani et sa liste d'évadés fiscaux Le Supplément du 16/03 - Falciani est-il le Snowden français ?
Si on lui pose la question, l'ancien informaticien de HSBC se présente volontiers comme un lanceur d'alerte. Il est connu pour avoir dérobé les données bancaires de milliers d'évadés fiscaux dans les fichiers de la succursale suisse de la banque. En 2008, il s'était emparé des fichiers contenant les noms de quelque 127.000 clients. Transmis à la justice française un an plus tard, ces fichiers avaient permis d'identifier 8993 évadés fiscaux et de rapatrier 1,2 milliard d'euros.
Aujourd'hui sa vie est devenue un enfer. Traqué par les autorités suisses (il risque jusqu'à sept ans et demi de prison), il fuit de pays en pays. Jusqu'à atterrir en Espagne, où il bénéficie du statut de témoin protégé. La Suisse l'accuse d'espionnage économique, de soustraction d'information et de violation de secret commercial et bancaire. Mais la justice helvétique se heurte au refus de Madrid d'extrader le Franco-Italien. Depuis ses révélations, Hervé Falciani serait menacé de mort et placé sous la protection de la police. Certains détracteurs mettent toutefois en doute son attitude désintéressée. Selon Le Point, il apparaît que l'informaticien se serait emparé des données pour pouvoir les monnayer. Le journal s'appuie sur des rapports de l'Office fédéral de la police suisse. Dans ces derniers, le témoignage d'une ancienne amie à qui il aurait confié qu'il voulait monnayer ses données auprès de banques étrangères.
Le quotidien suisse des affaires L'Agefiaffirme de son côté qu'Hervé Falciani aurait négocié la somme de 1000 dollars par fraudeur. Plus gros encore, il aurait reçu 4 millions de dollars des services de renseignements allemands. Officiellement, il dément formellement ces transactions secrètes et réaffirme son statut de "whistleblower". À 42 ans, il a annoncé son objectif de créer une "cellule de défense économique" grâce à son "réseau qui regroupe la crème des experts mondiaux" et "d'"autres lanceurs d'alertes".
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Sujet: Crise sanitaire: Ce témoignage d'une médecin qui donne froid dans le dos Mer Sep 15 2021, 21:25
Crise sanitaire: Ce témoignage d'une médecin qui donne froid dans le dos
Une médecin en Ehpad dévoile la face cachée de la crise sanitaire.
Extrait du magazine «Pièces à conviction» diffusé le mercredi 18 novembre 2020 sur France 3.
«Le gouvernement autorise l'usage de médicaments de soins palliatifs»
Une médecin en Ehpad: «Je suis encore choquée. Je suis choquée par ça.» Une journaliste: «Qu'est-ce qui vous choque ?» Une médecin en Ehpad: «Qu'on ait osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite. C'est insupportable. C'est un sentiment d'horreur.» Le 29 mars, par décret, le gouvernement autorise l'usage de médicaments de soins palliatifs. Parmi eux, le Rivotril et le Midazolam, habituellement interdits en médecine de ville et dans les EHPAD. À Buzançais, cette décision a été mal vécue par le personnel soignant.
«Quand on a reçu ces directives, ça nous a choqués»
Sandra Rotureau (Cadre de santé): «C'est un sédatif qui les aide à être apaisés et du coup, à décrocher. C'est pour les aider à partir plus vite sans souffrances. Quand on a reçu ces directives, ça nous a choqués, de se dire que là, on ne donnait aucune chance aux personnes âgées de s'en sortir. Voilà, ça, c'était notre colère. Quand une personne âgée n'est pas hospitalisée et qu'ensuite, ce qu'on lui propose c'est une sédation dès l'instant qu'elle va présenter une détresse respiratoire, ma première réaction ça a été, on nous demande de faire une euthanasie passive auprès de nos résidents.»
«On a abrégé les souffrances des gens donc j'appelle ça, l'euthanasie»
Ici, deux résidents en fin de vie ont reçu des injections de Midazolam. Leurs familles en ont été averties.
Mais plutôt que d'abréger leurs souffrances, les soignants auraient préféré pouvoir mieux prendre soin des personnes âgées malades.
Ailleurs qu'à Buzançais, certains ont très mal vécu cette situation. Comme cette médecin d'EHPAD public. Une médecin en EHPAD: «Le souci, c'était l'asphyxie.
On imagine la grande souffrance. On a abrégé les souffrances des gens donc j'appelle ça, l'euthanasie.»
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: L'écho du net Jeu Sep 16 2021, 10:33
Oui… Plus de retraite à payer pour la personne âgée qui s’en va et distribution de ses biens, qui sont réinjectés dans le circuit…. Et pour certains, les taxes et prélèvements qui vont bien … les notaires se sont frotté les mains et bien d’autres ….
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Alexderome Admin
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Sujet: Re: L'écho du net Jeu Sep 16 2021, 12:33
Une ’’divine surprise ’’ cette pandémie’’. C’est un scandale au niveau national. Les retraités qui veulent toujours voter Macron devront s’en rappeler tout comme la hausse de la CSG sur les pensions.
« Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient ». N°6 Le Prisonnier
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Eva Admin
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Sujet: Re: L'écho du net Jeu Sep 16 2021, 22:10
Que vont-ils faire de l'argent des retraités décédés. et ce n'est pas fini! Et dire qu'il y en a qui vivent dans leurs véhicules des gens au départ comme vous et moi et qui travaillent.
Une aubaine ! cette pandémie Aubaine, si aubaine il y aurait ! Pour qui!
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Eva Admin
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Sujet: Re: L'écho du net Ven Sep 17 2021, 19:20
https://www.dailymotion.com/video/x8489l8
L'énorme coup de colère de Christiane Taubira qui s'en prend à Eric Zemmour : "On humilie les gens tranquillement dans ce pays et le public reste calme !"
Christiane Taubira était aujourd'hui l'invitée de France Inter. L'ancienne garde des Sceaux est venue évoquer l'élection présidentielle de 2022 et elle a poussé un véritable cris de colère contre la situation politique et sociale en France: "On humilie les gens dans ce pays. Il y a quelques jours on a humilié un gamin en l'empêchant de manger parce que sa maman n'avait pas payé la cantine. L'enfant n'a pas à payer ça, heureusement la défenseure des droits s'est auto-saisie.
Rien qu'à elle seule, avant la femme, cette voix, donne le frisson et rend mal à l'aise.
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Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: L'écho du net Ven Sep 17 2021, 20:51
Merci mon Eva ,
Mais je n'ouvre pas la vidéo , cette Négresse Raciste , me donne envie de vomir .
Pour info , la Maman de l'enfant devait environ 800€ , ceci représente pas mal de repas .
Mais cette brave dame , doit posséder un beau Tel Portable .
Tiens , que deviens le rejeton de la Négresse ??? est il encore en prison ?????
Et son Indépendantiste de conjoint ??????
La mangeuse de bananes , ferait mieux de faire profil bas .
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Eva Admin
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Sujet: Re: L'écho du net Ven Sep 17 2021, 21:19
Sa voix, le ton donné, ses propos, elle ne changera jamais. Et personne pour la contredire, çà signifie beaucoup !
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Eva Admin
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Sujet: Re: L'écho du net Mar Sep 28 2021, 20:33
Vendée : un député LREM propage une fake news sur une prière de rue à Challans
Le 11 septembre, il n'y a pas eu d'appel à la prière dans les rues de Challans ! Le député dénonce une provocation musulmane, le Parquet et le maire démentent fermement.
L’alerte avait été donnée samedi, via un communiqué de presse, par le député Philippe Latombe. « En plein centre-ville de Challans, devant le laboratoire d’analyses Chevillon, rue du Maréchal de Lattre de Tassigny, entre 7 h et 7 h 30 ce samedi matin, trois individus équipés d’une sono puissante ont déroulé leur tapis de prière et commencé la prière musulmane du Chourouk, » écrivait-il aux médias.
Le député Latombe parle de terrorisme
Le député LREM de la première circonscription de la Vendée y voyait ainsi une sévère provocation « vingt ans jour pour jour après les quatre attentats suicides islamistes qui ont fait près de 3000 morts, et 6000 blessés aux États-Unis, pendant que, convergence symbolique du calendrier, se déroule le procès des attentats du 13 novembre 2015 qui ont endeuillé notre pays.
Cette manifestation de piété militante, parfaitement orchestrée en pleine Foire des Minées, a provoqué (tel en était bien évidemment l’objectif) un émoi justifié des Challandais qui en ont été témoins, » avançait le député Philippe Latombe, tandis que sa collaboratrice parlementaire ajoutait que les employés du laboratoire Chevillon étaient « tétanisés ».
Philippe Latombe ajoutait avoir averti rapidement la préfecture de la Vendée face à l’agissement de ces individus, avant d’avancer que « les trois individus, dont l’un au moins est connu des services de police (j’ai d’ailleurs déjà eu l’occasion de m’entretenir avec la préfecture à son sujet), ont été interpellés par les gendarmes et seront soumis à des mesures individuelles de contrôle administratif et de surveillance, telles que prévues par l’article 3 de la loi de 2017 renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme, dite loi SILT. »
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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L'écho du net
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