Élection présidentielle 2022

Commandoair40 a écrit:

Merci Eva ,

Eric , réagit comme un Bon Père de Famille .

Une petite Info :

Nous pensons que le moment cruciale du :

Oui , j'y vais , ou du Non , je n'y vais pas est proche .    

J'aurai plus de nouvelles demain .

   

Je pense à une date symbolique comme le 11 novembre.

Eva a écrit:

Présidentielle 2022. Anne Hidalgo se dit « dégoûtée jusqu’à la nausée » par Éric Zemmour

La candidate PS à la présidentielle Anne Hidalgo a déclaré, ce mercredi 6 octobre, être « dégoûtée jusqu’à la nausée » par la montée du polémiste Eric Zemmour. Sur France 2, elle a dénoncé « la course » derrière lui d’une partie de la droite et de l’extrême droite.

Éric Zemmour n’est pas encore candidat à la présidentielle mais il cristallise déjà les piques de ses adversaires. Après avoir estimé qu’il était « tout simplement raciste », Anne Hidalgo a exprimé, ce mercredi 6 octobre, son sentiment sur le polémiste.

« Je suis absolument dégoûtée jusqu’à la nausée de la montée d’un personnage dans la vie politique française, tout le monde fait comme si c’était naturel, normal que quelqu’un vienne sur toutes les chaînes expliquer que le maréchal Pétain était l’ami des juifs pendant la guerre, faire du révisionnisme », a déploré sur France 2 la maire de Paris.


« Il n’y a aucune solution, il fait le show, l’outrance », a-t-elle critiqué, en estimant que la percée d’Éric Zemmour dans les sondages « raconte qu’on ne va pas très bien, qu’on n’a pas compris les enjeux de l’élection présidentielle » à l’heure où les Français vivent « une situation très dure sur la question notamment du pouvoir d’achat ».


https://www.ouest-france.fr/elections/presidentielle/presidentielle-2022-anne-hidalgo-se-dit-degoutee-jusqu-a-la-nausee-par-eric-zemmour-4f7fd2b8-2678-11ec-b8e1-a5d0cfbb7050

Il n’a jamais dit ça, c'est un travestissement comme a l’habitude Ana Hidalgo, qui a francisé son prénom. Zemmour a dit que Vichy a empêché la déportation de 75% des juifs français.

Voici son pedigree trouvé sur Wikipedia :

Ana María Hidalgo Aleu naît en Espagne, à San Fernando, le 19 juin 1959[2]. Son père, Antonio Hidalgo, ouvrier électricien syndicaliste, et sa mère, María, couturière[3], émigrent en France au printemps 1962 avec leurs deux filles, Ana, 2 ans, et Marie, 4 ans[4]. Anne Hidalgo grandit à Vaise, un quartier de Lyon.

Elle est naturalisée française avec ses parents le 25 juillet 1973, à l'âge de 14 ans. Elle reprend en 2003 la nationalité espagnole et a depuis la double nationalité franco-espagnole

Excellent !

Coucou, il est débordant de vérité, ils devraient en faire leur livre de chevet ! Les gauchistes bien sûr.

Bonjour jojo,super ton post 

Excellent

LA FRANCE AUX FRANCAIS DE CE QUI RESTE COMME FRANCAIS DE SANG

Et c'est Coluche qui avait écrit çà!
Pas mal du tout!

glaive a écrit:

LA FRANCE AUX FRANCAIS DE CE QUI RESTE COMME FRANCAIS DE SANG

Mon sang est plutôt dolce !

Comptes de campagne d’Emmanuel Macron : le point sur la polémique en 5 questions





Les réductions accordées à Emmanuel Macron pendant sa campagne présidentielle mettent l’exécutif dans une position délicate, ce vendredi.
Des réductions accordées sur des salles et du matériel qui, sans être clairement illégales, posent la question du respect du Code électoral. La commission des comptes de campagne, mal à l’aise sur ce sujet, tente de se justifier. Voici ce que l’on sait de l’affaire des comptes de campagne d’Emmanuel Macron.

Ces dernières semaines, les médias se sont intéressés aux comptes de campagne d’Emmanuel Macron et aux documents rendus publics par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). Mediapart, Le Monde et ce vendredi franceinfo ont refait remonter des réductions et des remises d’un montant très important, consentie au seul candidat Emmanuel Macron. Après les nouvelles révélations de franceinfo ce vendredi, la commission des comptes a bien du mal à se justifier. Voici ce qu’il faut en retenir.

1- Qu’est-ce qui est reproché à la campagne d’Emmanuel Macron ?

Officiellement, rien. Selon la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, les comptes de campagne d’Emmanuel Macron ne sont pas irréguliers puisqu’ils ont été visés et validés. Une précision s’impose cependant : dans son rapport, la Commission explique s’être interrogée sur le « pourcentage anormalement élevé » de promotions très importantes. En effet, comme le révèlent Mediapart, Le Monde et franceinfo, un certain nombre de remises très importantes ont été accordées au candidat Macron.

Selon franceinfo, l’équipe Macron a « obtenu un tarif au minimum 75 % moins cher » que les prix habituellement réclamés pour tenir meeting le 6 février 2017 dans la salle Bobino puis le 8 mars au Théâtre Antoine.

Ces deux salles appartiennent à Jean-Marc Dumontet, présenté par la radio comme « un personnage incontournable du théâtre français » et un « proche du couple Macron ». Franceinfo indique par ailleurs que l’équipe d’En Marche ! a loué une autre salle parisienne, la Bellevilloise, pour une réunion publique à laquelle Emmanuel Macron n’a pas participé, pour 1 200 €.

Selon Le Monde, un certain nombre d’autres entreprises ont également accordé des réductions à l’équipe Macron. L’Usine, en Seine-Saint-Denis, leur a accordé un rabais de 40 %, en mars 2017. La société Jaulin lui a fait bénéficier d’une réduction de 50 % sur la location de barrières. Selfcontact, spécialiste des appels téléphoniques ciblés, a, lui, déduit 76 800 € de sa facture globale, « soit une remise de 24,24 % ».
Toutes ces entreprises ont insisté sur le caractère « normal », « courant » de ces pratiques. Un loueur d’écran géant a même justifié ses prix attractifs « par un souci de fidélisation en vue de collaborations futures ».

Plus tôt, c’est Mediapart qui révélait les réductions accordées par une entreprise d’événementiel, la société GL Events, leader français de l’événementiel. GL Events apparaît régulièrement dans les comptes de campagnes du candidat Macron, suivi de la mention « remise » et d’un pourcentage de 30, 40 voire 100 %. Ont été louées à cette société, pendant la campagne présidentielle, plusieurs des salles dont elle détient les concessions à Paris, Lyon ou Clermont-Ferrand. Le prestataire a également mis à la disposition des équipes du candidat du matériel de meeting.

2 - Est-ce illégal ?

Accorder des remises à un candidat n’est pas explicitement interdit par le code électoral. Ce qui l’est, en revanche, c’est le financement des campagnes électorales des candidats par des entreprises, dites « personnes morales ». L’article L52-8 du code électoral dispose que « les personnes morales, à l’exception des partis ou groupements politiques, ne peuvent participer au financement de la campagne électorale d’un candidat ».

Plus intéressant, le Code précise que ce financement est interdit sous forme de don, ou sous « quelque forme que ce soit, ni en lui fournissant des biens, services ou autres avantages directs ou indirects à des prix inférieurs à ceux qui sont habituellement pratiqués. »

Un document révélé par franceinfo ce vendredi pose néanmoins question. Selon ce document, un guide à destination des rapporteurs de la commission, les réductions supérieures à 20 %, considérées comme trop importantes, ne doivent pas être validées. La CNCCFP n’a donc pas respecté ses propres préconisations en la matière, puisque les réductions accordées au candidat Macron excèdent parfois les 75 %.

3 - Les autres candidats ont-ils bénéficié des mêmes réductions ?

Si le patron de GL Events, Olivier Ginon, a assuré à la commission que « les remises correspond [aient] à une négociation commerciale habituelle avec un organisateur d’événement », Mediapart note néanmoins que François Fillon, qui est également passé par GL Events pour louer des événements à Nice (à l’Acropolis) ou à Lyon (Eurexpo) n’a pas du tout bénéficié des mêmes réductions.

Même constat du côté de la Bellevilloise. Franceinfo rapporte que, là où Emmanuel Macron débourse 1 200 €, Benoît Hamon en débourse 4 838 « pour une soirée assez similaire ». Non seulement Benoît Hamon n’a pas reçu gracieusement le « pack son et vidéo » comme Emmanuel Macron, mais il a tout payé plus cher : le service d’ordre, le personnel et surtout la location « brute » de la salle.
« Quand on a plusieurs candidats qui demandent la même prestation, je pense qu’on doit les traiter de la même façon », a réagi Régis Juanico, trésorier de la campagne de Benoît Hamon, sur BFMTV, en réclamant « une enquête approfondie ».

4 - La CNCCFP s’est-elle expliquée ?

La commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a tenté, tant bien que mal, de justifier sa validation des comptes d’Emmanuel Macron.

Ce vendredi matin, son président, François Logerot, a défendu ses pairs. « Ce travail a été fait avec le plus grand sérieux et la commission délibère sur les propositions des rapporteurs », a-t-il déclaré avant de relativiser les informations divulguées. « Sur une vingtaine de cas, une dizaine concerne des remises supérieures à 20 % sur lesquelles les fournisseurs ont fourni des réponses circonstanciées.

Quant aux 10 cas restants, c’est 150 000 € dont une seule remise - celle d’un opérateur téléphonique qui envoie des messages ciblés - fait 64 000 € à elle seule. Cela représente moins de 1 % des dépenses du compte. »
Beaucoup de chiffres donc, mais peu de réponses sur le fond.

Interrogé sur le fait que les autres candidats n’ont pas eu les mêmes remises, François Logerot a estimé qu’il était « très difficile » de comparer des candidats, car les « prestations peuvent être très différentes ». Ce serait notamment, selon lui, le cas dans la comparaison entre le prix de la location de la Bellevilloise par Emmanuel Macron et par Benoît Hamon. « Pour Emmanuel Macron, c’est une seule salle louée, pour Benoît Hamon, c’est deux salles », explique le fonctionnaire.

Enfin, concernant le document révélé par franceinfo sommant les rapporteurs de la commission à ne pas valider ces dépenses, le président de la commission a indiqué qu’il s’agissait d’un document qui n’avait pas de valeur réglementaire mais servait de lignes directrices à la commission.

5 - Comment l’Élysée justifie-t-il aujourd’hui ces remises ?

Emmanuel Macron se trouve actuellement au Canada pour la réunion du G7, dans un contexte géopolitique très tendu. Pourtant, son équipe gouvernementale est sur le front, en France, pour éteindre l’incendie avant qu’il ne se propage.
Le Premier ministre a indiqué sur LCI qu’une « instance compétente, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), a fait son travail, a sans doute posé beaucoup de questions […], a validé la totalité de ces comptes ».
Édouard Philippe a conclu : [b]« Je ne vais pas faire le travail à la place d’une commission indépendante », en ajoutant que « la campagne d’Emmanuel Macron a été bien organisée, a été victorieuse. La commission a fait son travail, je suis très confiant dans la façon dont ont été organisées les choses »[/b]

Emmanuel Macron avait réagi jeudi soir sur le même ton, estimant qu' « il y a en France des commissions compétentes et un juge qui ont déjà jugé les comptes de campagne ». Le président de la République a finalement balayé ces questions d’un revers de la main, protégé par l’actualité internationale : « Je ne traite pas en conférence de presse à l’étranger les sujets nationaux ».

https://www.ouest-france.fr/politique/emmanuel-macron/ce-qu-il-faut-retenir-des-revelations-sur-les-comptes-de-campagne-de-macron-5811465

Mélenchon accusé d'antisémitisme après des propos sur Zemmour

Le candidat de la France insoumise à la présidentielle a semblé faire un lien entre les positions politiques du polémiste et les "traditions liées au judaïsme". Il s'en défend.

“Je suis même prêt à admettre que je me suis mal exprimé.” Mais, alors, que voulait dire Jean-Luc Mélenchon?

Le chef de file de la France insoumise à la prochaine élection présidentielle est pointé du doigt ce vendredi 29 octobre pour avoir fait le lien entre les positions politiques d’Éric Zemmour et les “traditions” liées au judaïsme.

Invité de BFMTV, jeudi 28 octobre, au retour d’un déplacement en Guyane, le député des Bouches-du-Rhône, crédité de 7 à 10% dans les intentions de vote, était questionné sur les propos du rabbin Haïm Korsia, lequel estime que le polémiste d’extrême droite est antisémite.

“Il se trompe”, a ainsi répondu Jean-Luc Mélenchon, après avoir qualifié le religieux de “rabbin-politicien” et avant de développer: “qu’un juif soit antisémite est une nouvelle. J’ai essayé sur le moment, ça m’a fait sourire parce que j’aime bien ce type de paradoxe, je me suis dit, ‘mais comment c’est possible un truc pareil.’ (...) il me semble qu’il se trompe.

Monsieur Zemmour ne doit pas être antisémite parce qu’il reproduit beaucoup de scénarios culturels ‘on ne change rien à la tradition, on ne bouge pas, la créolisation mon dieu quelle horreur’, tout ça, ce sont des traditions qui sont beaucoup liées au judaïsme. Ça a ses mérites, ça lui a permis de survivre dans l’histoire.”

Et finalement d’ajouter: “donc, moi je ne crois pas qu’il soit antisémite. Enfin, je ne sais pas, ce n’est pas véritablement mon problème. Il est raciste, ça, c’est sûr puisqu’il a été condamné pour ça.”
Faute politique et morale?

Une réponse donnée, en toute fin d’interview, résumée dans un tweet, ce vendredi en fin de matinée, qui trouve, depuis, un large écho sur les réseaux sociaux, sur fond d’accusation en antisémitisme. Après des comptes influents, comme le patron de Mediapart Edwy Plenel, lequel qualifie la sortie de “faute politique et morale”, plusieurs responsables politiques se sont emparés de la séquence.

   Très choqué par les propos antisémites de Mélenchon hier sur BFM : "Zemmour n'est pas antisémite" et "reproduit les traditions liées au judaïsme". On peut lui laisser le bénéfice du doute 1 fois, 2 fois, 3 fois mais à un moment donné stop. pic.twitter.com/AZ1J8Ec9Eo
   — Nathan Guedj (@NathanGuedj_) October 29, 2021

“Le pire du pire vient d’être dit”, pour l’eurodéputé d’extrême droite Gilbert Collard, quand, Christophe Castaner, estime, de son côté, que l’Insoumis “a franchi les dernières limites” avec des “propos aux références les plus abjectes.” “Rien, jamais, ne justifie de sombrer dans l’antisémitisme”, écrit encore le chef de file des marcheurs à l’Assemblée nationale dans un tweet.  “La nausée”, ajoute sa collègue Aurore Bergé, toujours sur les réseaux sociaux, “combattre un adversaire de la République en usant des pires clichés antisémites.”

J’ai longtemps vu en @JLMelenchon celui qu’il a été : Républicain, défenseur de nos valeurs communes.
 Mais avec ces propos aux références les plus abjectes, il a franchi les dernières limites.
Rien, jamais, ne justifie de sombrer dans l’antisémitisme.pic.twitter.com/UoT5rLlCmt
   — Christophe Castaner (@CCastaner) October 29, 2021

Ce n’est pas la première fois que Jean-Luc Mélenchon est accusé en de tels termes. “Encore et encore. À chaque occasion l’accusation d’antisémitisme revient comme un refrain contre moi par les mêmes haineux”, écrit-il, de lui-même, sur sa page Facebook, ce vendredi, ajoutant: “Naguère Libération montra comment l’accusation avait été lancée et alimentée par l’extrême droite avec l’appui du ‘printemps républicain’. Mais ça recommence. Sans fondement, sans argument, à tous propos et surtout hors de propos.”

En 2019, par exemple, le patron des Insoumis avait commenté sur son blog la défaite historique du travailliste Jeremy Corbyn aux élections britanniques en s’en prenant aux “oukases arrogants des communautaristes du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France)”. De quoi déclencher, déjà, les premières réactions indignées d’une partie de la classe politique.

Ce vendredi, Jean-Luc Mélenchon reconnaît toutefois une maladresse. Il dit être “prêt à admettre” qu’il s’est “mal exprimé”. “J’ai donné prise à des interprétations qui sont au contraire de ce que je pense”, écrit-il, avant d’ajouter: “L’un après l’autre TOUS les porte-paroles de notre mouvance politique dans le monde en ont été accusés chacun à leur tour dans un même but de flétrissement personnel.”

Sur Twitter, c’est sa garde rapprochée qui organise la réplique. Rares sont les dirigeants insoumis à ne pas avoir réagi sur Twitter, discours, meeting ou débat politique à l’appui. “Jean-Luc Mélenchon a toujours fermement combattu l’antisémitisme”, écrit la présidente du groupe LFI à l’Assemblée, Mathilde Panot, quand, le numéro 2 du mouvement, Adrien Quatennens, multiplie les tweets ou retweets sur le sujet.

https://www.huffingtonpost.fr/entry/melenchon-accuse-dantisemitisme-apres-des-propos-sur-zemmour_fr_617bf0fde4b03072d70392bf?ncid=NEWSSTAND0007

Les propos de Jean-Luc Melenchon
sont en lien avec l’interview du 27 octobre 2021
sur France2

Le Grand Rabbin de France, Haïm Korsia sur Eric Zemmour : "Il est juif ? (...) Il est antisémite certainement, raciste évidemment
le Grand Rabbin de France, Haïm Korsia, était l’invité de Thomas Sotto  dans l’émission Télématin sur France 2.

Il s'est tout d'abord interrogé sur le fait de savoir si Eric Zemmour était juif. A la question de Thomas Sotto de savoir si "Eric Zemmour faisait honte aux juifs", le Grand Rabbin a affirmé de pas savoir si le chroniqueur l'était.

A la question suivante du journaliste « est-ce qu’Eric Zemmour est raciste ? », le Grand Rabbin a répondu: « Antisémite certainement, raciste évidemment. 

Quand vous dites simplement qu’il y a trop de tels ou tels, moi qui porte un texte qui s’appelle la Constitution qui est fondée sur l’idée des droits de l’homme et qui porte aussi un texte qui s’appelle la Bible et qui dit ‘tu aimeras l’étranger car tu as été étranger en terre d’Egypte’, je ne peux pas être en phase avec ce discours« , a ajouté le Grand Rabbin de France, Haïm Korsia.

https://www.jeanmarcmorandini.com/article-478516-le-grand-rabbin-de-france-haim-korsia-sur-eric-zemmour-il-est-juif-il-est-antisemite-certainement-raciste-evidemment-regardez.html



J'avais écouté l'émission, le Grand Rabbin de France, avait eu des propos
très durs, sur Eric Zemmour.

J'avais entendu l'émission
et j'ai été fort surprise des propos du Grand Rabbin.
Tous se liguent contre Eric Zemmour!
Faut-il beaucoup de courage
pour agir ainsi !
En plus de tout, ainsi que des propos cités plus haut,
j'en reviens à Nantes de par ce lien

https://www.francebleu.fr/infos/politique/pas-de-quartier-pour-les-fachos-des-manifestants-ont-accueilli-eric-zemmour-pour-sa-venue-en-1635516098

Zemmour au Zénith de Nantes : des affrontements entre forces de l’ordre et manifestants



Environ 200 personnes se sont rassemblées au parking d’Atlantis, à Saint-Herblain, près de Nantes, ce samedi 30 octobre, pour dénoncer la venue du polémiste et possible candidat à la présidentielle Éric Zemmour, présent au Zénith pour donner une conférence. Un cordon de gendarmes mobile a été mis en place. Des heurts ont éclaté entre forces de l’ordre et manifestants.

Un peu moins de 200 personnes se sont rassemblées, ce samedi 30 octobre 2021, à 15 h, sur le parking d’Atlantis, à Saint-Herblain, près de Nantes, pour dénoncer la venue du polémiste et possible candidat à la présidentielle Éric Zemmour. L’auteur de La France n’a pas dit son dernier mot donne actuellement une « conférence culturelle » au Zénith. Une séance de dédicace est également prévue. Parmi les manifestants, ont retrouve quelques membres de la CNT (confédération nationale du travail), des militants du PCF et des Gilets jaunes.





Jet de lacrymogènes

Par arrêté préfectoral, la passerelle rejoignant le Zénith à la zone d’Atlantis est fermée au public. Un gros dispositif de sécurité a été mis en place afin d’éviter les débordements.

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/nantes-un-peu-moins-de-200-personnes-protestent-contre-la-presence-d-eric-zemmour-au-zenith-fdd74ee8-397b-11ec-a917-edb583037610

On peut voir sur cette vidéo,
que tout est caché.
Ils se gardent bien de nous montrer
les faits réels.

" Mais encore"



À croire, " qu'ils veulent" garder la France telle qu'elle est!

Bonsoir Eva, merci pour les posts 

Michel merci pour ta venue sur ce poste

81/06 Une brochette déjà vu et revue
À mon avis il y en aura d'autres!