Election présidentielle 2022 : Laurent Wauquiez renonce à se présenter à la primaire de la droite

Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a annoncé, jeudi, qu’il ne souhaitait pas « ajouter de la division à la division » au sein des Républicains.


Laurent Wauquiez (Les Républicains, LR), président du conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes, a annoncé sur Twitter, jeudi 26 août, qu’il ne serait pas candidat à l’élection présidentielle de 2022. « Etre candidat à l’élection présidentielle, c’est une décision que l’on prend non parce que l’on en a simplement envie, mais parce que c’est un moment où on se sent en situation de rassembler son camp et de réunir les Français. Je considère que pour moi ce moment n’est pas venu », a-t-il écrit, confirmant une information de BFM-TV.

« Les candidatures à la présidentielle à droite se multiplient de façon inquiétante », a souligné M. Wauquiez. Quelques heures plus tôt, le député (LR) des Alpes-Maritimes Eric Ciotti, 55 ans, avait créé la surprise en se mettant sur les rangs d’une primaire, « pour que la France reste la France » et afin de « redonner un espoir à cette France qui décline », avec « un projet pour plus d’autorité, plus de liberté, plus d’identité ».

M. Wauquiez explique ne pas vouloir « ajouter de la division à la division ». « Certains candidats expliquent même qu’ils se présenteront sans accepter de règle commune », a-t-il regretté, dans une allusion à Xavier Bertrand.

Au début du mois de juillet, le président de la région des Hauts-de-France a en effet adressé une fin de non-recevoir aux principales figures de LR qui souhaitent l’organisation d’une « primaire ouverte » pour désigner le candidat de la droite.

M. Wauquiez, 46 ans, qui s’était astreint à une cure de silence médiatique depuis son départ de la présidence de LR, en juin 2019, à la suite de mauvais résultats aux élections européennes, assure qu’il entend « œuvrer pour l’unité d’une candidature à droite » et « veiller à ce que la droite assume clairement et fortement ses convictions ».

Major de l’Ecole nationale d’administration, normalien et agrégé d’histoire, M. Wauquiez a connu une ascension politique linéaire : devenu député à 29 ans, il a ensuite été membre des gouvernements de François Fillon de 2007 à 2012, a été confortablement élu à la tête de LR à la fin 2017 et est président d’Auvergne-Rhône-Alpes depuis décembre 2015.

Pour le moment, quatre candidats sont déclarés à une primaire de la droite : Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France et ex-membre des Républicains (LR) ; Philippe Juvin, maire LR de La Garenne-Colombes ; Eric Ciotti ; et Michel Barnier, ancien commissaire européen et ex-négociateur de l’Union européenne chargé du Brexit.

A ces candidats pourrait s’ajouter le sénateur de Vendée Bruno Retailleau, qui devrait dévoiler ses intentions prochainement.

https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/08/26/presidentielle-2022-laurent-wauquiez-renonce-a-se-presenter-a-la-primaire-de-la-droite_6092447_823448.html

Aucune surprise, à ce que Laurent Wauquiez ne soit pas candidat.
À quoi servent tous ces hommes politiques, dans ce cas.

Chers Amis,  Je ne suis pas candidat à la prochaine élection présidentielle. Cette décision, j’ai souhaité me donner le temps de la mûrir, me poser avec ma famille et prendre un moment de recul. Ce n’est pas une décision facile et je suis conscient de mes responsabilités. Je veux d’abord remercier tous ceux qui m’ont manifesté leur soutien et leurs encouragements, amis, élus, militants et Français de tous horizons. Cela m’a profondément touché, ce sont ces liens sur la durée, ces amitiés, cet enracinement qui m’ont toujours guidé sur mon chemin politique et qui continueront à le faire. Ce choix, je le fais d’abord par conviction personnelle. Ces dernières années, j’ai traversé des épreuves et nous avons connu aussi de belles victoires, encore récemment avec l’élection régionale en Auvergne-Rhône-Alpes. J’ai appris des erreurs comme des succès. Être candidat à l’élection présidentielle, c’est assumer une grande responsabilité devant les Français. Il faut avoir la lucidité de reconnaître qu’aujourd'hui aucun candidat ne s’impose à droite : personne n’est aujourd’hui dans la situation de De Gaulle, de Georges Pompidou ou de Nicolas Sarkozy. Être candidat à l’élection présidentielle, c’est une décision que l’on doit prendre non parce que l’on en a simplement envie, mais parce que c’est un moment où, au plus profond de soi, on se sent en situation, à la fois, de rassembler son camp et de réunir les Français. Je considère que pour moi ce moment n’est pas venu. Ce choix, je le fais aussi parce que je ne veux pas ajouter de la division à la division. Les candidatures à la présidentielle à droite sont en train de se multiplier de façon inquiétante, et certains candidats expliquent même qu’ils se présenteront quoi qu’il arrive, sans accepter de règle commune. Nous risquons des guerres fratricides qui mèneront inévitablement à la défaite. Je considère qu’il faut que nous retrouvions le sens du collectif et mon devoir est de contribuer à ramener cet état d’esprit au lieu d’ajouter une candidature de plus. Les attentes des Français sont immenses à notre égard, ils souhaitent que la droite leur propose un autre destin que d’être enfermés entre le président actuel et Marine Le Pen. Mais surtout, au-delà des affrontements politiciens, je crois qu’ils sentent profondément que notre pays se déconstruit et qu’il ressemble de moins en moins à la France que nous aimons. Ils sentent bien que les choses se dégradent, ils voient parfaitement ce qu’il faudrait faire et ne comprennent pas pourquoi depuis des années les politiques ne réagissent pas. Je suis convaincu que ce n’est pas une fatalité mais il faut la volonté de dire et le courage de faire : il faut revaloriser le travail en rompant avec l’assistanat, c’est un des sujets majeurs pour notre pays ; retrouver le sens de l’autorité et de la fermeté ; prendre les décisions qui s’imposent pour arrêter l’immigration afin de relancer l’assimilation républicaine. Cela suppose aussi que la droite, au lieu de céder à une certaine facilité, ait le courage de rester solide sur ses repères : non, nous ne construirons pas l’avenir de nos enfants à coup de quoi qu’il en coûte, de gaspillage de l’argent public et de dettes. Et, plus que tout, il faut sortir le pays de son blocage ; nous sommes dans une situation d’immobilisme comparable à celle de la IVe République, les politiques ne décident plus, présidentielle après présidentielle rien ne change, l’administration et les juges ont pris la main et les décisions importantes pour le pays ne sont jamais adoptées. Vous l’avez compris, ne pas être aujourd'hui candidat ne signifie pas que je me tiendrai éloigné de ces débats pour notre pays. Je suis resté constant dans mes convictions et toujours fidèle à la famille politique qui est la mienne, avec un cap qui est resté le même. La liberté que je prends aujourd’hui, je la mettrai au service de ce que je crois utile pour mon pays : d’abord, œuvrer pour l’unité d’une candidature à droite ; ensuite, veiller à ce que la droite assume clairement et fortement ses convictions. Ma seule ligne directrice est cette ambition : reconstruire notre pays pour lui redonner les valeurs que nous aimons.

Avec toute mon amitié,

Laurent Wauquiez

J'ai reçu ce courrier comme d'autres , bien que je n'adhère plus

Bien dit, je suis entré en fonction en 1963 et j'ai observé de près toutes leurs gesticulations, le temps passe et c'est toujours la langue de bois. J'en ai vu des ministres de l'Intérieur, je compte plus. Certains on fait du bon boulot, mais vite contrés par le politiquement correct d'autres comme le petit dernier sans aucune expérience de cette fonction. Il se permet de donner des leçons de morale aux gens de terrain. Je me rappelle Pasqua, venant avec nous dans une voiture pour sentir le terrain et voir nos besoins ! Quel changement de mentalité.

Il fut un temps, où la mobilisation au sens 2
était active, concernant les partis, l'U M P et autres partis,
Lorsque François Mitterrand est arrivé en 1981 au pouvoir
mon attirance allait depuis longtemps vers la droite.
En 1986 Jacques Chirac fut nommé 1er Ministre,
C'est à compté de là, que j'ai adhéré.
Plus tard, à force de prendre du temps pour écouter les débats
et l'actu, ainsi que lors des pré- élections présidentielles,
Déçue et méfiante, j'ai cessé d'adhéré.
Déjà, j'avais été surprise, que le référendum pour ou contre l'Europe (2005)
Soit ratifier voir transformer en 2007 par Nicolas Sarkozy

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9f%C3%A9rendum_fran%C3%A7ais_sur_le_trait%C3%A9_%C3%A9tablissant_une_constitution_pour_l%27Europe

https://www.20minutes.fr/politique/1618475-20150528-non-referendum-europeen-dix-ans-apres-enseignements-tirer
Assez rapidement , je n'ai plus accorder ma confiance ,

Pour avoir côtoyé pas mal de personnalités, je me suis rendu compte en fait que la place est bonne, on promet, on oublie et on se moque du monde. Lorsque je vois cette ribambelle d'écolos et la Rousseau, c'est du délire, j'ai l'impression de voir ma marchande de poisson. "il est bon mon programme, il est frais" D'un autre côté cette abstention est aussi un fléau, Ils ne votent pas ou plus, mais ils rouspètent !

Ils veulent la place, être élus. Arrive alors de grandes promesses,
jamais tenues.
C'est comme un mirage, on ne s'y laisse pas toujours prendre.

Oui, mais ça commence à faire long, quand je fais le retour mémoriel  de ce que j'ai vu, cela ne change guère. Aucun politique n'a les Couilles de prendre le sujet à bras-le-corps. On cause, on laisse des subventions, on achète la paix sociale ; bref qui trinque le petit blanc ! La campagne présidentielle va nous en donner l'exemple, des promesses, des promesses en fait du bla bla. Et, ces veaux de Français vont y croire et repartir pour un tour et rouspéteront comme à l'habitude. À quand une Jeanne D'ARC pour sauver cette France ?

Programmées de longues date, ces élections ne sont plus crédibles depuis longtemps,

Quand à ZEMMOUR
Robert Ménard, rejette sa demande de parrainage.

Présidentielle 2022 : Robert Ménard sollicité pour parrainer Éric Zemmour
Le maire de Béziers refuse de donner sa signature au polémiste, qui lui a adressé une demande de parrainage pour la présidentielle, assure-t-il sur RTL.


https://www.rtl.fr/actu/politique/presidentielle-2022-robert-menard-a-recu-une-demande-de-parrainage-pour-eric-zemmour-7900064832

Bon Ménard commence à essayer de tirer son épingle du jeu, il devient pro macron. Encore une girouette. Il espère peut-être un poste de ministre ?

Coucou, Tu as raison, mais je lui ai dit que s'il y allait, qu'il se remémore Fillon, ils vont le descendre, tous les coups sont permis les plus belles crasses ; et beaucoup de ses supporters vont quitter le navire. J’ai bien suivi l'affaire Fillon et ma députée en a été l'exemple type, on va gagner et puis dès que les attaques ont commencés, retraits et disparition pour aller  à la gamelle avec les autres ; Lors d'une de ses réunions je l'ai incendié, mais elle s’est retranché derrière ses électeurs soi-disant qu'il n'en voulait plus ! Une fois de plus on verra tout ce petit monde aller à la gamelle.

L'affaire Fillion démontre un immense malaise politique.

Si Lauren Wauquiez recule, c'est qu'il craint peut-être d'avoir droit ensuite
au même sort.
Qui protège qui, pour que nous en soyons arrivés là!

N'oublions pas les FRÈRES . . . Qui se sont immiscés partout ou il faut prendre de l'influence ; Il suffit de les compter à l'assemblée, Quel que soit le parti, ils sont tous frères avant tout. J'ai pu voir il y fore longtemps cette confrérie à l'œuvre à l'Assemblée nationale. Toutes les alliances sont permises même avec le diable

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/les-freres-musulmans-quel-regard-porter-sur-ce-mouvement-855283.html

Ce n'est pas le meilleur des liens

En 2017, l’arrivée d’Ahmet Ogras à la présidence du Conseil français du culte musulman (CFCM) le 1^er juillet 2017, permet aux Frères musulmans de renforcer leur influence dans cette institution.

Pauvre de nous, sera notre descendance!