Le sacrifice des hommes du génie a été occulté mais il suffit d’imaginer des hommes courageux avec des bobines de fils téléphonique en train de les dérouler sous la mitraille. Les transmissions ce n’est pas que les trois loustics de la 7e compagnie, Chaudard, Tassin et Pithiviers.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Tregor22/85
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81/06 membre confirmé
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Cultivant les traditions de la cavalerie légère et des troupes aéroportées, le 1er régiment de hussards parachutistes est la seule force polyvalente et modulaire apte à fournir par la 3e dimension l'échelon blindé d'urgence de toutes les interventions de la 11e brigade parachutiste (11e BP).
HISTOIRE
En 1720, le comte de Bercheny, patriote hongrois réfugié, lève à Constantinople un régiment de hussards qu'il met au service de la France.
Le régiment des « hussards de Bercheny » devient « 1er régiment de hussards » en 1791 et « 1er régiment de hussards parachutistes » en 1946.
« Bercheny » est un régiment blindé à forte identité parachutiste.
C'est d'abord un régiment de mêlée, de contact, réactif et tourné vers l'avenir.
Il a pour vocation première l'intervention en premier échelon dans un cadre interarmes au cœur des engagements armés.
Si son action est collective, elle laisse place à une large part d’initiative et d’autonomie pour remplir les missions traditionnelles de la cavalerie, Renseigner, Couvrir et Combattre, après une mise à terre par la 3ème dimension.
La double spécialisation du régiment, cavalier et parachutiste, lui confère une polyvalence et une réactivité mise à contribution sur tous les théâtres d’opérations de la France depuis plus de trente ans.
IMPLANTATION
Le 1er RHP est installé à Tarbes, dans les Hautes-Pyrénées (65).
Situé à 40 km de Pau, 150 km de Toulouse et 200 km de Bordeaux, le régiment est au cœur de la Bigorre et au pied des Pyrénées.
Seul régiment blindé de la 11e BP, le 1er RHP remplit toutes les missions d'un régiment de cavalerie légère :
Reconnaissance au contact ou dans la profondeur, intervention antichar, sûreté des arrières ou des flancs.
Son matériel peut être aérolargué, aéroporté ou transporté par toutes autres voies d’acheminement.
COMPOSITION
Le 1er RHP est composé de :
1 escadron de commandement et de logistique ;
3 escadrons blindés sur AMX 10 RCR et ERC 90 SAGAIE ;
2 escadron d'éclairage et d'intervention sur VBL, équipé de missile MILAN ;
1 escadron de réservistes ;
1 peloton de commandos parachutistes.
MATÉRIEL
Engins blindés légers SAGAIE sur roues avec canon de 90 mm et conduite de tir laser (ERC90), véhicules blindés légers (VBL), AMX 10 RCR avec canon de 105mm et conduite de tir automatique, véhicules de l'avant blindé (VAB), missiles MILAN.
- L'engin roues canon de 90 mm SAGAIE (ERC 90) est un véhicule blindé léger à 6 roues, armé d'un canon de 90mm, destiné aux missions de reconnaissance, de sûreté ou d'intervention blindée.
Par sa mobilité, sa capacité dissuasive et sa puissance de feu, il est l'outil idéal des missions de gestion de crises, notamment en Afrique.
Il est servi par un pilote, un tireur et un chef d'engin blindé.
L'ERC 90 est aérotransportable par Transall C160 et Hercule C130.
- Le véhicule blindé léger (VBL) est un engin conçu pour la reconnaissance et le combat antichar.
Il peut effectuer de façon autonome des missions de renseignement dans la profondeur ou au contact.
Il peut également assurer des missions d'escorte ou de liaison d'autorité ainsi qu'être employé comme poste de commandement mobile.
Véhicule tactique, discret et polyvalent, le VBL est un matériel aérolargable :
Trois VBL peuvent être transportés dans un C130 pour être parachutés d'urgence sur une zone de conflits.
Son équipage est composé d’un pilote, d’un chef de bord et d’un cavalier porté qui sert comme tireur MILAN ou comme tireur 12,7mm.
- L'engin de reconnaissance AMX 10 RCR a été adopté fin 2009 par le 1er RHP pour répondre à un besoin accru de puissance de feu et de protection, nécessaire aux projections sur les théâtres les plus durs.
Engin puissamment armé, capable d'une très bonne mobilité sur route et en tout chemin, protégé contre les armes légères d'infanterie.
Il est servi par un chef d'engin, un tireur, un chargeur et un pilote.
Il est aérotransportable sur Hercule C130 après préparation.
FORMATION
Formation générale initiale (FGI) de 3 mois à Caylus ;
Formation spécialisée individuelle (FSI) de 1 ou 2 mois dans l'escadron.
EMPLOIS
Pilote engin blindé, tireur canon engin blindé, tireur missile antichar, radiographiste, conducteur, mécanicien, secrétaire, comptable, musicien, maître-chien, informaticien.
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Le 12e régiment de cuirassiers (12e RC) appartient à la 2e brigade blindée (2e BB), héritière des traditions de la célèbre division Leclerc.
Tourné vers l’engagement opérationnel, il intervient sur tout type de matériel blindé (char Leclerc, VBL…) sur le territoire national comme à l’étranger.
Ses véhicules blindés lui procurent vitesse, protection et puissance de feu. Régiment emportant la décision, sa place est au cœur de la mêlée.
MISSION
Le 12e régiment de cuirassiers est un régiment blindé dont la vocation est le combat de haute intensité visant le choc, le renseignement de contact et le combat anti-char.
Depuis les années 1990, le régiment est engagé sur tous les théâtres d’opérations extérieures (Bosnie, Kosovo, Liban, Tchad, Côte d’Ivoire, Afghanistan, République Centrafricaine, Mali…).
Ses cuirassiers sont fortement déployés en opération sur le territoire national comme en opération extérieure.
HISTOIRE
Le régiment est créé le 24 mars 1668 par le roi Louis XIV pour assurer la protection de son fils, le Dauphin de France.
Cette responsabilité particulière explique son appellation de Dauphin cavalerie.
Sous l’Ancien Régime, le Dauphin Cavalerie est engagé dans de nombreuses campagnes (Hollande, Espagne, Autriche).
Sous le Premier Empire, il se couvre de gloire dans des charges terribles au cri de « Vive l’empereur » et s’illustre notamment à Austerlitz, Iéna, La Moskowa et Waterloo.
Pendant la Première Guerre mondiale, les cuirassiers se battent à pied dans les tranchées et deviennent de véritables poilus.
Le régiment va d’ailleurs payer un lourd tribut à la défense de la nation mais se distingue par son sens du sacrifice.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, il combat jusqu’à l’armistice de 1940. Il reprendra la lutte en 1943, en intégrant la glorieuse 2e Division Blindée du général Leclerc et ses escadrons blindés libèreront Paris et Strasbourg en 1944.
Le régiment a pour devise : "Au danger…mon plaisir !" (pericula ludus).
STRUCTURE
Le 12e RC compte près de de 1 100 soldats (800 soldats d’active et 300 soldats de réserve).
Il se compose d’un escadron de commandement et de logistique et de 7 escadrons de combat dont :
3 escadrons de char Leclerc ;
2 escadrons de reconnaissance et d’intervention ;
2 escadrons de réserve opérationnelle.
MATÉRIEL
Le 12e régiment de cuirassiers est un régiment de cavalerie blindée, dont les principaux matériels sont :
Le char Leclerc ;
Le VBL (véhicule blindé léger) ;
Le VPC (véhicule poste de commandement) ;
Le DCL (dépanneur char Leclerc).
IMPLANTATION
Très bien implanté à Olivet et dans la région orléanaise, le régiment entretient les meilleures relations avec les communes qui l’entourent :
Jumelages entre les unités élémentaires et les communes environnantes, participations aux manifestations de la région ou encore exercices tactiques où sont déployés hommes et matériels militaires, au cœur même de la Sologne.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Héritier des « dragons de Monsieur » au 18e siècle puis devenu 13e régiment de dragons sous la Révolution et l'Empire, le régiment s'est illustré dans bon nombre des batailles de l'époque. "Au-delà du possible"
HISTOIRE
Lors des deux conflits mondiaux, le 13e régiment de dragons parachutistes s'est distingué à Ypres en 1914 et à Verdun en 1916 avant d'être pratiquement anéanti lors des combats du printemps de 1940.
Il participera cependant aux combats de la Libération en 1945.
Devenu parachutiste en 1952, il prend part aux opérations en Algérie avant d'être rapatrié en métropole où il est transformé en régiment interarmes de recherche de renseignement en 1963.
Il est l'élément clé des besoins en renseignement du haut commandement national.
Le 13e RDP est aujourd'hui de toutes les opérations extérieures dans lesquelles notre pays est engagé.
IMPLANTATION
À l'été 2011, le régiment a quitté la Lorraine pour prendre ses quartiers en Gironde à Souge et se rapprocher du commandement et des autres unités de sa brigade.
13e régiment de dragons parachutistes Quartier Sauvagnac 41, avenue du 57e régiment d'infanterie BP 39 33127 Martignas-sur-Jalle
Tél. 05 56 68 50 52
MISSION
Le 13e RDP est une formation interarmes des forces spéciales Terre, spécialisée dans la recherche du renseignement par des moyens humains, sur n'importe quel théâtre, en temps de paix, de crise ou de guerre.
Système complet de renseignement, il assure la recherche, le traitement et la diffusion du renseignement.
En temps de paix, il contribue à satisfaire les besoins en renseignement d'intérêt militaire.
En temps de crise ou de guerre, à la décision d'engagement des forces, puis à la conduite de la manœuvre aux échelons les plus élevés du commandement.
Son emploi relève directement du chef d'État-major des armées (CEMA) et, par délégation, du directeur du renseignement militaire (DRM) et/ou du commandant des opérations spéciales (COS).
Le 13e RDP appartient au commandement des forces spéciales Terre (CFST) depuis le 1er juillet 2016 (date de mise en place du modèle Au Contact), aux côtés du 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine (1er RPIMa), du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales (4e RHFS) et de la compagnie de commandement et de transmission des forces spéciales (CCT FS).
FORMATION
Concernant le cœur de métier, 14 formations spécifiques sont dispensées au sein du centre de formation délégué 13e RDP, de la formation initiale recherche aéroportée (RA) du jeune dragon à la formation du chef d'équipe.
À chaque niveau de compétence, simple équipier observateur ou radiotélégraphiste, chef de cellule d'observation ou chef de cellule radio, chef d'équipe, correspond une formation particulière.
L'évolution des contextes d'engagement des équipes de recherche rend nécessaire l'adaptation permanente des cursus de formation.
C'est aussi une des raisons pour lesquelles toutes les formations internes sont menées exclusivement au sein du régiment.
La formation initiale comprend :
La formation générale initiale (11 semaines), la formation de spécialité initiale (17 semaines), la formation d'adaptation pour l'obtention du brevet parachutiste (2 semaines) et la formation à la conduite militaire.
La formation élémentaire comprend :
La formation de spécialité élémentaire (29 semaines) qui permet l'attribution d'un certificat technique élémentaire RA, la formation générale élémentaire (8 semaines) dont le but est de former des petits gradés d'encadrement.
EMPLOIS
Chef d'équipe en recherche aéroportée (officiers et sous-officiers supérieurs)
Spécialiste en recherche aéroportée, spécialiste en transmission, mécaniciens, cuisiniers, serveurs, secrétaire (postes EVAT).
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On continue cette fois ci avec les unités de Tirailleurs. Ce matin je vous propose les Tirailleurs Sénégalais... (n'oubliez pas de cliquer sur les images...)
Les tirailleurs sénégalais étaient un corps de militaires appartenant aux troupes coloniales constitué au sein de l'Empire colonial français en 1857, principal élément de la « Force noire » ou de l'« Armée Noire » et dissous au début des années 1960.
Bien que le recrutement de tirailleurs ne se soit pas limité au Sénégal (c'est dans ce pays que s'est formé en 1857 le premier régiment de tirailleurs africains), ces unités d'infanterie vont rapidement désigner l'ensemble des soldats africains de couleur noire qui se battent sous le drapeau français et qui se différencient ainsi des unités d'Afrique du Nord, telles les tirailleurs algériens. En 1895, ils participent à la conquête de Madagascar, et de 1895 à 1905, ils sont employés à la pacification de ce pays.
En Afrique française du Nord (AFN) et surtout au Maroc, des unités de l'armée coloniale, européennes ou africaines (12 bataillons), servaient dans le cadre de la « pacification ».
En 1914-1918, lors de la Première Guerre mondiale, ce sont environ 200 000 « Sénégalais » de l'AOF qui se battent sous le drapeau français, dont plus de 135 000 en Europe.
Environ 15 % d'entre d'eux, soit 30 000 soldats, y ont trouvé la mort (sur un total de 1 397 800 soldats français morts durant le conflit soit plus de 2 % des pertes totales de l'armée française) et beaucoup sont revenus blessés ou invalides .
Jean-Yves Le Naour compte quant à lui 180 000 tirailleurs sénégalais, « dont 130 000 ont combattu en France » et « 30 000 sont morts, ce qui représente un mort pour six mobilisés : C'est à peu de choses près la proportion de décès que l'on observe parmi les poilus français ».
L'armée coloniale envoya en Métropole, dès le 17 septembre 1914, des unités de marche mixtes (Européens et Africains) à raison, pour chaque régiment mixte, d'un bataillon africain pour deux bataillons européens.
Ces unités (régiments mixtes d'infanterie coloniale du Maroc - RMICM) renforcèrent en premier lieu la division marocaine et furent engagées au combat dès le 21 septembre à Noyon avec des résultats mitigés.
Durant toute la guerre, les troupes levées en Afrique noire transitèrent en AFN où, tout en participant activement à la « pacification », elles s'acclimataient et s'aguerrissaient avant de rejoindre les champs de bataille d'Europe ou d'Asie mineure (Dardanelles).
Le général Charles Mangin , auteur de La Force noire, ouvrage qui fit sensation en 1910, retrouva ces troupes africaines sous ses ordres lors de la reprise du fort de Douaumont en 1916.
Entre 1939 et 1944, ils sont près de 140 000 Africains engagés par la France.
Près de 24 000 sont faits prisonniers ou sont tués au combat.
Les tirailleurs sénégalais participent entre autres à la bataille de France, à la conquête de l'île d'Elbe en juin 1944 et à la prise de Toulon, à la suite du débarquement de Provence, en août 1944.
Les tirailleurs sénégalais se sont également battus pour l’Empire colonial français, et ont été engagés dans des conflits qui ont opposé la France à ses colonies :
En Indochine, en Algérie, à Madagascar.
Léopold Sédar Senghor les a surnommés les « Dogues noirs de l’Empire ».
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Le 26 Mars 1962 : Le Massacre de la rue d'Isly , par le 4eme Régiment de Tirailleurs Algériens en Alger .
Bilan : 80 morts et 200 blessés
Le FM du 4eme RTA a arrosé la foule pendant un quart d'heure .
Il est à noter que les familles n'ont jamais eu le droit de récupérer les corps des victimes, beaucoup ayant été clandestinement enterrés au cimetière Saint Eugène .
Bien triste fin pour ces beaux Régiments de Tirailleurs Algériens .
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