Comme beaucoup de définitions que nous verrons ci-après, tout le monde semble en avoir une différente.
L’une des bases est de prendre ce terme platement, dans ce qu’il veut dire originellement.
Pour commencer, il faut se rendre compte qu’un terme englobe un concept précis sans forcément exclure les autres :
Par exemple, ici, on va parler de nationalisme = état nation, ce qui n’exclut pas que cet état-nation fasse partie de l’Europe (pas l’UE mais charnelle), que son peuple soit de race blanche et qu’il doive très majoritairement le redevenir.
Pour commencer, nationalisme veut dire que nous sommes des partisans actifs (cellules d’un corps) de la Nation.
Celle-ci se définit par un ensemble géographique défini + un peuple + un état + une histoire/culture/religion ou « identité ».
Cette Nation s’appelle la France, elle fait partie de l’Europe :
Les frontières naturelles de la France : la Manche, les Flandres, le Rhin, les Alpes, la Méditerranée, les Pyrénées, l’Atlantique. Les bordures peuvent plus ou moins varier mais le pays à l’intérieur de ces frontières c’est la France.
Le peuple de France était largement celte d’apport culturel latin, avec des éléments germaniques ou nordiques très limités. Le peuple d’une France qui renaîtra doit être majoritairement blanc européen (germanique, latin, nordique ou slave, peu importe). Ce peuple sera vraisemblablement issu d’une mosaïque de peuples plus petits, comme cela a été le cas par le passé.
L’état-nation français :
Central (mais pas forcément centralisateur), il n’est pas né de la Révolution (donc le réduire à « jacobin », c’est tomber dans le simplisme et la pure erreur) mais d’une volonté continue des Rois de France, en lutte constante contre les grands nobles, de construire un état le plus indépendant possible et grande puissance internationale.
Le nationalisme, c’est donc aussi vouloir retrouver le plus d’indépendance et de souveraineté possible pour la France (le souverainisme bête pense que tous les problèmes seront résolus ainsi et a tendance à nier la question raciale.
Il ne faut pas ignorer cette dernière mais hiérarchisons :
Sans retrouver la souveraineté, nous ne pouvons pas arrêter l’immigration massive, par exemple).
Indépendance politico économique : sortir de l’UE.
Indépendance militaire : sortir de l’OTAN.
La religion en France : catholique-romaine avec légères influences païennes celtiques : le nationalisme c’est donc défendre le catholicisme.
L’identité culturelle française : là aussi, mosaïque de toutes les plus petites identités culturelles qui composent la France mais avec une langue faisant le lien, le français, et une histoire qui, contrairement à ce que répète le gouvernement, ne commence pas en 1789. Donc le nationalisme c’est connaître l’histoire de France et la perpétuer.
Les autres définitions (souvent floues) du nationalisme sont :
L’euro-fédéralisme (ou « l’union des patries charnelles ») est opposé à l’idée de Nation :
Il signifierait l’éclatement et la disparition de celle-ci au profit de petites entités qui seraient conquises et digérées sans mal par le mondialisme et les autres ennemis de l’Europe.
Si les régions et leurs spécificités sont garantes de l’identité de la France, la France est garante de leur existence.
L’euro-fédéralisme appliqué à la réalité serait donc une trahison de taille et le fait de jeter à la poubelle 1300 ans d’histoire.
Le racialisme pur et dur, surtout simpliste :
« nous sommes tous des blancs ».
Fort bien, mais encore ?
« Il faut un continent blanc », d’accord et quelles seraient ses frontières historiques, naturelles, géographiques ?
Et puis comment, concrètement, imaginer dans la réalité un destin commun à des gens qui diffèrent tellement ?
Ce qui nous amène à l’idée suivante, encore trop confondue avec le nationalisme :
L’impérialisme. Erreur fondamentale :
Comment imaginer qu’un Portugais puisse avoir les mêmes rêves et les mêmes aspirations qu’un Hongrois alors qu’il n’a pas même celles d’un Catalan ?
L’impérialisme ignore souvent la diversité et la richesse des peuples.
Il commet ici la même erreur que celle du jacobinisme ultra-centralisateur.
Nous sommes de fait dominé par l’impérialisme occidental (qui signifie simplement « de l’ouest »), basé de l’autre côté de l’Atlantique, et malheureusement sommes peu à peu effacés par l’idéologie mondialiste (un autre impérialisme) diffusé à partir de lui.
Vouloir le remplacer par un autre impérialisme négateur de nos spécificités culturelles et de notre Nation historique serait là aussi une erreur.
Pour autant nous pouvons largement rallier l’eurasisme, qui n’est pas une énième théorie farfelue mais la seule alternative possible et crédible face au mondialisme, pour autant nous devons en son sein nous battre pour faire vivre le concept de réalité française.
Plutôt que de nous fondre dans une masse indifférenciée « de Brest à Vladivostok », viser en une fédération de Nations (dont les nations européennes) qui, groupées en Union (bien plus fluide et moins envahissante que l’UE) pourrait avec la Russie créer cette liberté et cet espace au sein duquel pourrait renaître la Nation.
La réalité charnelle de la Nation doit se co-supporter avec sa réalité politique.
Nulle ne peut exister sans l’autre.
La Nation doit viser à être la plus indépendante et la plus autonome possible.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».