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Sujet: Prénoms des délinquants : le grand remplacement ? Jeu Fév 25 2021, 20:09
"Prénoms des délinquants"
Le grand remplacement ?
On croyait qu’une vieille habitude journalistique – celle de changer les prénoms des délinquants, histoire de cacher leur origine – avait plus ou moins disparu.
Il faut croire que non.
En témoigne avec éclat, comme le rapporte le site Fdesouche, un papier d’une journaliste du Télégramme.
Le 23 février, dix prévenus poursuivis pour un vaste trafic de drogue comparaissaient devant le tribunal de Quimper.
Jusque là, rien d’extraordinaire.
Les prévenus en question – quatre femmes et six hommes âgés de 18 à 21 ans – sont originaires de la région parisienne.
Là non plus rien que de très banal.
Ce qui interpelle, ce sont les prénoms des prévenus tels que rapportés par la journaliste du Télégramme :
Rien que des prénoms bien français, bon chic bon genre, plutôt portés dans les quartiers huppés de la capitale…
Lisons plutôt :
« Il s’agit de Kévin (*) qui serait, avec Antoine (*) à la tête du trafic. On trouve aussi Amélie (*) qui ferait office d’assistante. Âgée de 21 ans, elle est sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une affaire d’importation de 5 kg de cocaïne – « 20 kg selon la prévention », précise le procureur – depuis la Colombie. Anaïs (*), âgée de 20 ans, au casier vierge est considérée comme étant le chauffeur en titre et s’occupant de la logistique du trafic.
Le trafic compterait quatre lieutenants, dont un des deux mineurs.
Parmi les quatre aussi, Alain (*), âgé de 20 ans, boxeur de haut niveau, considéré comme « un crack » chez les amateurs. Les deux autres, Antoine (*) et Henri (*) (…) sont âgés de 18 ans et sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une autre affaire de trafic de stupéfiants traitée par le parquet de Brest.
Parmi les « exécutants », il y a Héloïse (*), âgée de 20 ans et Triss (*), du même âge. Il y a aussi Matthieu (*) et Éric (*).
Résidant à Massy (Essonne), ils ont été relaxés de trafic de stupéfiants, après un vice de procédure le 9 février dernier, avec un troisième larron, après un mois de détention provisoire. (…)
Les dix prévenus seront jugés le 29 mars, par le tribunal de Quimper. Et ont tous été maintenus en détention provisoire. »
En fin d’article, la journaliste du Télégramme tient quand même à précise le sens de l’astérisque :
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».