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 Le dessin d'Ignace du 29 Mai 2020 - source MPI.

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Athos79
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Athos79


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MessageSujet: Le dessin d'Ignace du 29 Mai 2020 - source MPI.   Le dessin d'Ignace du 29 Mai 2020 - source MPI. Icon_minitimeVen Mai 29 2020, 07:53

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Commandoair40
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Commandoair40


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MessageSujet: Re: Le dessin d'Ignace du 29 Mai 2020 - source MPI.   Le dessin d'Ignace du 29 Mai 2020 - source MPI. Icon_minitimeSam Mai 30 2020, 00:01

Yves Lévy, époux Buzyn, conseiller de Macron : de l’INSERM à Big Pharma

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La Tribune, entretien avec Yves Levy : « Si le COVID-19 persiste, seul un vaccin pourra (mais c’est pas sûr !) diminuer le risque de pandémie ».

Sauf que le vaccin mythique semble destiné à enrichir le très riche Buzyness du Big Pharma et ne sera, en conséquence, en aucun cas envisagé avant plusieurs années !

Lors de son allocution du 13 avril, Macron a affirmé que « la première voie pour sortir de l’épidémie est celle des vaccins. » À la tête du labex Vaccine Research Institute, Yves Levy revient sur les vaccins du Big Pharma pour La Tribune : Concernant le devenir du SARS-CoV-2, deux hypothèses sont envisageables. Soit le virus n’a pas de réservoir intermédiaire et n’infecte que l’être humain. Dans ce cas, le virus peut s’atténuer.

Cette atténuation (spontanée) sera marquée par le fait que la contagiosité entre le premier, deuxième, troisième cercle de contamination autour d’une personne contagieuse diminuera progressivement parce que le niveau de réplication virale diminue, parce qu’une immunité, même partielle, s’installe dans la population.

Des mesures de prévention comme le confinement vont éventuellement (c’est pas sûr !) permettre de stopper la chaîne de transmission. Pour l’instant nous ne disposons pas d’éléments penchant dans ce sens !

Peut-être parce qu’on manque de données. (???) (Dans le cas imaginaire où) il existerait un réservoir animal à partir duquel on se réinfecterait régulièrement, la transmission à l’être humain serait périodique. C’est le cas du coronavirus MERS-CoV qui circule au Proche-Orient et dont l’hôte intermédiaire est le dromadaire. Si le SARS-CoV-2 suivait ce modèle, il pourrait s’installer (c’est pas sûr !). Il aurait (c’est pas sûr !) le profil des coronavirus qui provoquent le rhume banal (responsables d’épidémies hivernales tous les ans, puis voient leur activité diminuer en été, probablement (c’est pas sûr !) en raison de modifications des comportements).

Dans ce cas, si la transmission interhumaine se poursuit (c’est pas sûr !) avec la même efficacité qu’aujourd’hui (actuellement, une personne infectée contamine 2 à 3 personnes), il faudra vivre avec le virus.

Dans les mois à venir, on assistera peut-être (c’est pas sûr !) à des cas de recontamination : on peut avoir été infecté par un virus sans être immunisé contre celui-ci. Le rhume banal attrapé chaque hiver ne confère pas pour autant une protection. Les anticorps contre les virus responsables ne sont pas forcément neutralisants. Leur présence témoigne seulement du fait que l’on a rencontré ces virus. Ce n’est pas parce qu’on est séropositif contre le SARS-CoV-2 que l’on est forcément immunisé. On ne sait pas si ces anticorps protègent en cas de réinfection. Il est fondamental de rechercher la présence d’anticorps dans la population pour connaître circulation du virus et la prévalence de l’infection, sans en tirer une fausse réassurance !

Malgré la diffusion de tests de dépistage, l’existence de formes asymptomatiques ou avec peu de symptômes persiste. Si ces gens n’étaient pas dépistés, ils pourraient transmettre le virus. On sait que des personnes asymptomatiques peuvent contaminer d’autres individus (notamment en cas de confinement au détriment du reste de la famille), alors que leur charge virale est assez significative pour être contagieuse.

Chez certaines personnes, on n’observe pas de corrélation entre la charge virale et la gravité de la maladie. Les données ne sont pas assez nombreuses (on n’en sait rien !) pour tirer des conclusions.

Pour toutes ces raisons (???), il est fondamental d’essayer de mettre au point rapidement un vaccin.

Car quand bien même l’immunité obtenue après infection serait protectrice, pour bénéficier d’une protection de groupe, il faudrait que l’épidémie touche quasiment toute l’humanité, ce qui aurait d’importantes conséquences. Seul un vaccin pourra éventuellement (mais c’est pas sûr !) protéger et diminuer le risque de pandémie. Lorsqu’on essaie de mettre au point un vaccin contre le Covid-19, le premier problème que l’on rencontre est qu’il n’existe pas aujourd’hui de vaccin contre les autres familles de coronavirus soit les quatre coronavirus qui donnent le rhume banal, le SARS-CoV-1 responsable de l’épidémie de SRAS de 2002-2003, ou le MERS-CoV, qui sévit dans la Péninsule arabique. Le problème du vaccin reste entier ! Ben voyons !

Nous ne savons pas si les anticorps en réponse à l’infection par le SARS-CoV-2 sont protecteurs (en bloquant l’entrée du virus ou son cycle viral). On ne sait pas non plus quel type de réponse immunitaire serait la plus efficace pour contrôler l’infection : est-ce qu’une réponse cellulaire, impliquant les lymphocytes T, serait plus efficace, en arrêtant très tôt la réplication virale par l’élimination des cellules infectées ? Nous ne savons pas quelles sont les régions du virus à cibler pour obtenir un vaccin. Est-ce qu’on doit cibler des régions, comme la région S, qui permet au virus d’entrer dans les cellules, ou ses protéines de structure ?

Moralité : Yves Levy à la tête du labex Vaccine Research Institute ne sait pas grand-chose !

Yves Levy fait la promotion du financement $$$ de son labo : « Nous serons sûrement guidés (???) par les études en cours, dont celles que nous menons au Vaccine Research Institute (VRI), qui visent à établir chez les personnes infectées la cartographie des réponses immunitaires et leurs caractéristiques. Si on étudie un vaccin, il faut veiller à ne pas (faire plus de mal que de bien ! et) induire la production d’anticorps dits facilitants. Contrairement aux anticorps protecteurs, les anticorps facilitants ne protègeront pas contre le virus, mais pourraient aggraver le risque de développer une forme grave de la maladie ! Ce risque (aux dépens des gens vaccinés) a été bien documenté dans le cas de la vaccination contre la dengue ou le virus respiratoire syncytial. Dans le cas du SARS-CoV-2, des études indiquent que le problème pourra se poser. Ben voyons !

Plusieurs vaccins sont en développement. Il s’agit de vaccins basés sur des acides nucléiques (ADN ou ARN). Il s’agit d’injecter une partie assez importante du virus en espérant (mais c’est pas sûr !) qu’une fois entrée dans le système immunitaire, les anticorps seront protecteurs plutôt qu’inefficaces ou pire, délétères.

Notre stratégie n’est pas d’administrer un vaccin et d’observer la réponse induite, mais de guider le système immunitaire. Nous utilisons des régions du virus qui semblent (mais c’est pas sûr !) importantes pour activer des cellules spécifiques du système immunitaire : les cellules dendritiques qui sont les sentinelles de l’organisme. Présentes dans les organes lymphoïdes, le sang et les muqueuses, elles sont en première ligne.

Elles reconnaissent tout ce qui est étranger à l’organisme et activent le système immunitaire.

L’agent infectieux repéré, elles l’ingèrent puis alertent les autres cellules du système immunitaire par des médiateurs chimiques. Les cellules dendritiques exposent des fragments (appelés antigènes) digérés à leur surface aux lymphocytes T et B, ce qui va les activer et les préparer à combattre les intrus.

Les cellules dendritiques orientent une réponse lymphocytaire T, lymphocytaire B ou lymphocytaire T et B. Nous voulons leur faire présenter aux lymphocytes des régions du virus que nous avons sélectionnées.

La Tribune : Avez-vous déjà des résultats ? Des travaux sont développés depuis 7 à 8 ans au VRI. Notre approche est valide dans des (modèles animaux) pour le VIH et pour Ebola. Au second semestre 2020, les tests cliniques débuteront pour le VIH et pour des cancers (???) résultant d’infections virales (cancers de la tête et du cou). Un vaccin contre l’hépatite B est en développement. Face à la pandémie, nous avons réorienté la plate-forme vaccinale vers le SARS CoV-2. Le VRI est associé au service d’immunologie et de maladies infectieuses de l’hôpital Henri Mondor, nous couvrons différents aspects, depuis la physiopathologie jusqu’au vaccin en passant par la recherche de molécules antivirales, les essais cliniques, ou la prise en charge des malades. À la question de La Tribune : Avez-vous déjà des résultats ? La réponse est NON !

La Tribune : À quelle échéance peut-on espérer (des résultats) voir aboutir les travaux sur un vaccin contre le SARS-CoV-2, quel qu’il soit ? Yves Levy : Pour les équipes qui travaillent sur un vaccin, il faut avoir la capacité de tester le candidat vaccin sur des modèles animaux, vérifier que l’hypothèse de départ était la bonne, puis fabriquer et tester les lots cliniques, évaluer la toxicologie. Il s’agit de durées incompressibles. Les stratégies vaccinales n’aboutiront pas à un vaccin avant 18 mois à 2 ans, si tant est qu’elles aboutissent ! ! !

Comme les populations qui auraient besoin d’un vaccin ont des comorbidités ou sont âgées, il faudra s’assurer que le vaccin induise des réponses immunitaires suffisantes, alors que le système immunitaire des personnes âgées est moins efficace, il répond moins bien à la vaccination. (Alors, un vaccin est-il utile ?)

Penser qu’un vaccin $$$ constituerait à lui seul la réponse serait présomptueux. Ben voyons !

La Tribune : Avez-vous déjà des résultats ? Qui vacciner ? Les porteurs asymptomatiques ? Yves Levy : Il faut les détecter, ce qui signifie tester à large échelle. Si on est séropositif, va-t-on être vacciné ou non ? À nouveau se pose la question du type d’immunité obtenu à la suite d’une infection naturelle. Va-t-on vacciner les contacts d’une personne infectée ce qui pose des questions, scientifiques, techniques, éthiques.

Si on a un vaccin, il est possible que, sous la pression immunitaire d’un vaccin (ou de l’immunité globale que pourrait acquérir l’humanité s’il a pu la contaminer intégralement), ce virus puisse (muter) comme c’est le cas pour certains virus. (Ce qui rend le vaccin inutile !) Aujourd’hui la surveillance des souches virales circulantes du SARS-CoV-2 montre qu’il reste très homogène en passant de population en population.

Yves Lévy est Professeur d’immunologie clinique, directeur général du VRI, responsable de l’équipe « Développement lymphoïde normal et dans l’infection par le VIH », U955, INSERM, pro-vaccins anti-Raoult.

Catherine Haddad, europe-israel.org (Marianne) Les liens d’intérêts des experts ! REACTing, c’est le nom du consortium qui dirige Discovery. Son président, Yazdan Yazdanpanah a montré un attrait certain pour une molécule testée, le remdésivir, produite par le laboratoire Gilead. La relation entre le gouvernement et Florence Ader, l’infectiologue qui coordonne l’essai Discovery, questionne sur les dix membres du Conseil scientifique installé par Macron dont huit sont liés à REACTing le consortium qui supervise Discovery.

Macron a remis sa politique sanitaire et son choix de traitements au même réseau de chercheurs !

Yazdan Yazdanpanah, président de REACTing qui coordonne Discovery, a supervisé les recherches de l’OMS. Il avait montré un attrait certain pour une molécule : le remdésivir. C’est ce qui interroge quand on a connaissance des liens d’intérêts qu’il a avec le laboratoire américain qui le fabrique, Gilead. Discovery est un produit de la recherche médicale française. REACTing (REsearch and ACTion targeting emerging infectious diseases) est une affaire française $$$ créée en 2013 par l’INSERM et Aviesan, l’alliance pour la recherche scientifique dirigée alors par Yves Lévy (dont on a évoqué les rapports conflictuels avec Didier Raoult).

Yves Lévy a créé REACTing avec Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique Covid-19. Yazdan Yazdanpanah est président de REACTing et membre des 2 structures censées éclairer Macron (le Conseil scientifique et le Comité analyse, recherche et expertise). Et il est  présenté comme impartial ?

Jean-François Delfraissy et Yazdan Yazdanpanah ne sont pas les seuls représentants de REACTing $$$ au sein du Conseil scientifique inventé par Macron. Laëtitia Atlani Druault, l’anthropologue du Conseil scientifique, est membre fondatrice de REACTing et fait partie de son comité d’organisation. Elle pilote l’un des vingt projets $$$ sélectionnés par le consortium REACTing pour lutter contre l’épidémie. Ben voyons !

Daniel Benamouzig, l’autre représentant des sciences sociales au Conseil scientifique, dirige l’un des projets de REACTing. Comme Denis Malvy, qui gère le projet baptisé Coverage ou Bruno Lina, qui supervise Discovery aux côtés de Florence Ader. Arnaud Fontanet est membre du comité d’organisation de REACTing.

Lila Bouadma, réanimatrice à l’hôpital Bichat, où se déroule Discovery, a signé une étude $$$ au nom de REACTing. Du Conseil scientifique, seuls Pierre Louis Druais et Simon Cauchemez n’ont pas de liens directs connus avec le consortium. REACTing : De quoi placer tous ses copains en position de juge et partie ?

Christian Chidiac qui est président de la commission spécialisée « maladies infectieuses et maladies émergentes » au sein du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) a joué un rôle important. Il est chef de service à l’hôpital de la Croix-Rousse de Florence Ader, l’infectiologue qui dirige Discovery, et sujet à d’importants liens d’intérêts avec Gilead qui fabrique une molécule testée dans Discovery : le remdésivir !

Moralité :

Dupont-Lévy, une passerelle de l’INSERM vers le Big Pharma ! Alors, que peut-on attendre de tous ces gens-là, vu les liens d’intérêts de ces sinistres donneurs de leçons en médecine contre le Pr Raoult, ces idéologues, ces socialistes adeptes de la religion du progrès $$$ de Macron GOF-LREM-LGBT ?


Tout ça va mal finir !

Le dessin d'Ignace du 29 Mai 2020 - source MPI. 861666867 Le dessin d'Ignace du 29 Mai 2020 - source MPI. 861666867

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Sicut-Aquila

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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