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 | Sujet: Comment fonctionne le système républicain en France  Mer 5 Sep 2018 - 17:18 | |
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Oui, on en est là en France.
Ce n’est plus de la politique au sens noble du terme, ils achètent des voix avec l’argent du contribuable et leurs réseaux.
Le système républicain est pourri jusqu’à la moelle,
rongé par cette corruption et bloqué par l’idéologie révolutionnaire type première république.
On tourne en rond pour justifier le fait qu’une partie de la population vive sur le dos des autres.
Les cas sociaux sont la force captive sur laquelle s’appuie tout élu.
Ils ne sont pas nombreux à chercher à les remettre réellement au travail,
à chercher à ce qu’ils adoptent des comportements normaux
dans les logements confortables mis à leur disposition.
Le cas social détruit le parc HLM où il est logé et puisqu’il a un droit
opposable au logement, on ne peut plus le mettre à sa place,
c’est à dire à la rue,
en lui retirant ses enfants qu’il considère comme son gagne pain
et donc qu’il n’éduque pas.
Les services sociaux anglais sont plus pragmatiques,
cela peut paraitre monstrueux, mais ils retirent systématiquement la garde des enfants
à ces personnes vivant dans la marginalité.
C’est pour cela qu’il convient de décapiter la république,
c’est à dire en chasser ces élus corrompus, assoiffés de pouvoir,
pillant les honnêtes gens au profit des sangsues.
C’est aussi pour cela qu’il convient de cibler ces politicards
pourris imbibées des valeurs inhumaines droit de l’hommistes,
fond de commerce des gauchistes, par des actions judiciaires, de l’acting prop.
D’ailleurs, le gauchisme,
cette façon de gauchir l’action politique, d’en retirer toute la noblesse,
est quelque chose qui touche autant les élus de le gauche, que du centre ou de la droite,
c’est devenu, tout comme l’écologie, une sorte de passage obligé
pour arriver au pouvoir et s’y maintenir.
C’est aussi pour cela qu’il faut aussi cibler la patrouille de rue islamique
de la même façon que les voyous car dans les quartiers où elle sévit,
elle est un des rouages du système mafieux en place
au même titre d’ailleurs que de nombreuses associations arrosées par l’argent public,
l’affaire dans l’affaire Théo est une bonne illustration du rôle
de ces associations pour en enrichir certains sur le dos du contribuable.
Pour lutter contre cela, il serait nécessaire de revenir à un état fort,
qui donnerait une seule allocation aux pauvres, temporaire,
assorti d’une feuille de route pour un retour à la normalité
ainsi le droit opposable serait couplé à des devoirs,
une véritable révolution sans arme et sans violence.
De même, chaque collectivité territoriale se verrait doter d’un budget par l’état,
les élus ne pouvant percevoir leurs indemnités que s’ils tiennent ce budget.
En changeant les règles,
il serait possible de briser le cercle vicieux pour entrer dans un cercle vertueux.
Les élus n’étant plus maitre de leur budget et de la répartition de l’aide social,
ils seraient contraints de chercher à augmenter la production de richesse dans leur commune,
département ou région pour augmenter leur budget
au lieu de d’assommer les contribuables de taxes comme
c’est le cas actuellement là où le clientélisme est la seule règle.
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