L’Etat Pied-Noir est créé depuis le 1er octobre 2016 dans le cadre de la Charte de l’Organisation des Nations Unies, de la Déclaration Universelle des Droits des Peuples et de la Convention de Montevideo.
Le Peuple Pied-Noir a fait l’objet de massacres collectifs en 1962 :
Bab-el-Oued le 23 mars, Alger le 26 mars, Oran le 5 juillet.
Des milliers de Pieds-Noirs ont été enlevés de janvier 1960 à décembre 1962. Tous leurs biens immobiliers, mobiliers ont été spoliés sans une juste et préalable indemnisation.
La Nation Pied-Noir a été contrainte à l’exode puis à la dispersion sur les 5 continents.
Hier, un million de Pieds-Noirs devenaient des migrants. Aujourd’hui, par les naissances, les alliances, ils sont 5 millions et sont implantés dans tous les domaines de l’activité humaine.
L’État créé le 1er octobre 2016 a donné naissance à la Fédération des Deux Rives (FDR) administrée par le Gouvernement Provisoire Pied-Noir en Exil (GPPNE) qui agit dans le même cadre et avec la même légitimité que jadis le Gouvernement Provisoire de la République Française (GPRF) et le Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA).
Le GPPNE vient de demander sa reconnaissance et son admission à l’UNPO (Union des Nations et des Peuples Non Représentés) qui regroupe 45 gouvernements mondiaux du même type, ayant son siège à Bruxelles.
Dans le cadre de la Déclaration Universelle des Droits des Peuples signée à Alger le 4 juillet 1976, le GPPNE réclame à la Vème République :
La restitution d’un territoire de 238 000 Km² (2 380 000 Km² : 10 x 1) (territoire volé en 1962) ou une indemnisation réparatrice,
L’indemnisation totale des biens spoliés pour chacun des Pieds-Noirs contraint à l’exode ou à la dispersion,
Une indemnisation morale pour les préjudices graves subis pendant les massacres, l’exode et la dispersion,
La vérité sur le sort des milliers de disparus,
L’ouverture de procès internationaux pour les coupables, vivants ou morts, des massacres qui ont été identifiés,
La restitution des archives des Pieds-Noirs détenus par la France et l’Algérie.
L’État Pied-Noir (Fédération des Deux Rives) souligne que :
ni la France, ni l’Algérie en tant que pays,
ni le Peuple français, ni le Peuple algérien en tant que peuples,
ne sont coupables des atrocités commises à l’époque, qui sont autant de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité.
Seuls les Gouvernements en place en France de janvier 1962 à décembre 1962 peuvent être recherchés ainsi que les Autorités du FLN et de l’ALN durant cette même période.
La complicité des deux mouvements politiques qui se sont livrés à des actions contraires aux textes internationaux est évidente pour l’ensemble des autorités internationales.
Depuis le 26 mars 2018, les citoyens Pieds-Noirs regroupés dans l’Association « Les Pieds-Noirs dans le Monde et leurs Amis » qui soutient la démarche du GPPNE, ont élu les personnalités suivantes :
Chef de l’Etat : Jacques Villard
Président du Conseil des Ministres : André Delsol
Président de l’Assemblée Nationale : René Pico.
Les trois dirigeants de l’Etat Pied-Noir ont reçu la mission, pendant sept ans, de mettre en place les fondations de cet Etat à Souveraineté Fonctionnelle.
L’État Pied-Noir (Fédération des Deux Rives) détient une Constitution, une Doctrine, un Drapeau, des Armoiries, un Hymne, un Site Internet, un blog, …
L’Etat Pied-Noir (Fédération des Deux Rives) est désormais entré, pour l’éternité, dans le concert des Nations.
Nul Etat au monde ne peut nier son existence.
Nul Etat au Monde ne peut le contraindre.
Ceux de ces Etats qui entameraient des actions coercitives contre lui ou contre ses dirigeants ou contre ses ressortissants, violeront le Droit International et devront en répondre devant l’Organisation des Nations-Unies.
L’Etat Pied-Noir salue toutes les grandes associations Pieds-Noirs en France et dans le Monde qui ont résisté aux pressions étatiques et n’ont cessé de demander des réparations aux États concernés.
Au même titre que les Israéliens, les Palestiniens, les Arméniens, les Québecois, les Catalans ou autres peuples contraints par le destin, les Pieds-Noirs ont le droit de prendre leur destinée en mains.
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Commandoair40 Admin
Nombre de messages : 29167 Age : 78 Emploi : Français Radicalisé . Date d'inscription : 07/11/2014
Sujet: Re: Gouvernement du Peuple Pied-Noir (GPPN) . Mar Avr 10 2018, 22:35
RÉPONSE DE LA PRÉSIDENCE FRANÇAISE AU GOUVERNEMENT PN EN EXIL
Communiqué du 15/07/2017
Mes Cher (e)s Ami(e)s,
Vous trouverez, ci-jointe, la lettre que nous a adressée Monsieur François Xavier Lauch, Chef de Cabinet du Président de la République.
C'est un évènement très important car, de ce fait, la Présidence de la République française reconnaît le Gouvernement Provisoire Pied-Noir en Exil comme interlocuteur.
La Présidence de la République française accepte de correspondre avec son Porte-Parole, Maître Jacques Villard, Président du Conseil des Ministres, Pupille de la Nation française, représentant le Chef de l'État Pied Noir, Pierre Granès, Astrophysicien, Membre de l'Académie des Arts, des Sciences et des Lettres.
Selon les propres termes du Chef de Cabinet du Président de la République française, Madame Florence Parly, Ministre des Armées, devrait accepter de recevoir la délégation du Gouvernement.
Hommes de Paix et de Dialogue, les membres du Gouvernement Provisoire Pied-Noir en Exil accepteront tous les contacts en France comme dans l'ensemble des Pays du Monde qui permettront de faire avancer la reconnaissance internationale de notre État.
De ce fait, le Président du Conseil des Ministres de notre État a adressé au Président de la République algérienne une lettre recommandée par le biais de Son Excellence l'Ambassadeur en France de la République algérienne afin d'obtenir un rendez-vous avec le Chef de l'État algérien.
Le Chef de l'État , le Président de l'Assemblée Nationale, le Président du Conseil des Ministres de l'État Pied-Noir n'ont cessé de mettre en valeur les résolutions internationales de leur Gouvernement à savoir : adhésion à l'ensemble des organisations mondiales, en particulier l'Organisation des Nations Unies, adhésion à l'UNPO, neutralité absolue dans les conflits du monde, volonté farouche de défendre le développement durable de la Planète et des espèces, respect des droits de l'homme, principe de double nationalité, accueil des plus pauvres et de migrants, juste répartition des richesses, affirmation des droits au travail, au logement, à l'éducation et à la santé, liberté d'expression, liberté de la presse, droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, solidarité internationale...
Si les vents mauvais confrontaient l'État Pied-Noir au terrorisme, celui-ci se coaliserait immédiatement avec les Peuples du Monde qui luttent contre ce fléau en dotant de moyens plus importants le Service de Renseignements et de Sécurité (SERES) qu'il vient de créer.
L'État Pied-Noir s'est doté d'un drapeau.
Dans les semaines qui viennent, il mettra en place sa constitution, ses armoiries, son hymne et débutera ses négociations officielle afin d'obtenir un territoire.
Ce territoire pourrait revêtir la forme d'une principauté sous la double protection de la France et de l'Algérie dans le cadre d'accords signés devant l'Organisation des Nations Unies.
Cinq millions de ressortissants répartis sur les cinq continents attendent une reconnaissance fraternelle des Peuples du Monde.
Si, par malheur, aucun État de l'Ouest Méditerranéen ne voulait confier à l'État Pied-Noir un territoire, à bail ou en propriété simple, afin d'accueillir librement et sereinement ses Institutions et ses citoyens, l'État Pied achètera le sol de sa Patrie par le biais d'un Fonds International d'Investissements.
Désormais, l'histoire de ce nouvel État pacifique est en route et elle ne s'arrêtera pas.
Gouvernement Provisoire Pied-Noir en Exil
Jacques Villard
Président du Conseil des Ministres
La paix est le seul combat qui vaille d'être mené. Ce n'est plus une prière, mais un ordre qui doit monter des peuples vers les gouvernements, l'ordre de choisir définitivement entre l'enfer et la raison. (Albert Camus)
« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
Gouvernement du Peuple Pied-Noir (GPPN) .
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