Crime rituel dans la France profonde
25 mars 2018 Reseau Libre Global, Le billet de Léon 122
Je ne me joins pas au choeur des pleureuses ni des « faiseurs de héros », en ce qui me concerne le vrai héroisme en temps de guerre – et nous sommes en temps de guerre! – consiste à livrer combat et non à se sacrifier pour un individu. Un officier de gendarmerie est censé être plus utile au combat qu’un civil, désolé mais il faut être réaliste! Et jamais, jamais jamais on ne doit échanger un otage contre un autre otage de plus grande « valeur ».
Je ne blâme pas Monsieur Beltrame, il a agit avec son coeur. Mais en temps de guerre le coeur passe en dernier. Il a agi en Homme et non pas en Officier. Bref, le sujet n’est pas là.
L’officier de gendarmerie Beltrame a été non pas tué par balles comme le prétendent les merdia aux ordres, mais bel et bien égorgé par un musulman, selon le témoignage étouffé du mèdecin qui a reçu le corps. Lequel mèdecin a été prié par un obscur « délégué » du cabinet du Préfet de ne pas témoigner dans les media. Le délégue en question lui aurait promis « la gratitude des plus hautes autorités de l’Etat ». Ce qui n’a pas empêché le mèdecin d’en informer ses proches, qui eux n’ont pas hésité à diffuser l’information!
On voit donc, alors qu’un de nos Officiers se fait égorger, que la plus grande préoccupation de l’Etat est de taire la vérité. Sans doute craignait-il que la religion musulmane ne soit un peu plus encore « stigmatisée »… Il ne peut en tout cas pas craindre que les français ne soient descendus dans la rue avec des armes pour venger l’Officier Beltrame! Aucun risque: Les seules armes des français sont fleurs, bougies et vaseline.
Une fois de plus le vivre-ensemble l’emporte avec son cortège d’assassinats barbares. Et une fois de plus fleurissent les promesses viriles de vengeance sur les réseaux sociaux.
J’étais en banlieue parisienne cet après-midi, en Seine St.Denis. Là-bas, ils festoient.
Léon