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 Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde.

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MessageSujet: Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde.   Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde. Icon_minitimeDim Déc 10 2017, 10:13

SOURCE : Le MONDE.fr
----------------


Culture
image: http://img.lemde.fr/2017/07/26/287/0/4825/3216/92/62/60/0/82f322e_7928-6084z8.5cmpknvcxr.jpg


Charlie Watts, Keith Richards, Mick Jagger et Ronnie Wood. COMPTE RENDU Les Rolling Stones, éternels mauvais garçons du rock’n roll
CULTURE Architecture Arts Bande dessinée Cinéma Livres Musiques Scènes Télévisions & Radio Festival d'automne Mort de Johnny  
Citations
Poches percées et démêlés fiscaux, les rapports tumultueux de Johnny Hallyday à l’argent
Régulièrement au classement annuel des chanteurs français les mieux payés, le monument du rock français a cumulé les dettes et les démêlés avec le fisc.


Le Monde.fr avec AFP | 10.12.2017 à 08h16


Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde. 52274311
Johnny Hallyday et sa femme Laeticia, lors de la projection du film "Vengeance", au festival de Cannes, le 17 mai 2009.


Train de vie dispendieux, dettes et démêlés fiscaux : les questions d’argent ont poursuivi Johnny Hallyday toute sa vie. Monument du rock français mort dans la nuit de mardi à mercredi 6 décembre, le « taulier » a été une figure régulière du classement annuel des chanteurs français les mieux payés - deuxième en 2016, avec 16 millions d’euros de revenus, selon le magazine Capital.


En 60 ans de carrière, l’ancien gamin sans le sou a accumulé chiffres de ventes vertigineux, avec plus de 100 millions de disques vendus et des tournées marathon. Il a aussi conclu de juteux contrats publicitaires et investi, avec plus ou moins de bonheur, dans diverses affaires, comme des boîtes de nuit, des vignobles et un restaurant. Sans compter les revenus tirés des produits dérivés.


Mais « contrairement à une idée répandue, Johnny est un “travailleur pauvre”, qui, malgré ses nombreuses années de carrière, n’a pas cumulé de patrimoine, car il a toujours eu un train de vie flamboyant. Il ne possède pas de capital, excepté son patrimoine immobilier », affirmaient les journalistes Catherine Rambert et Renaud Revel dans leur livre « Johnny, les 100 jours où tout a basculé » (2010).

Panier percé

Amateur de voitures et de motos de collection, menant grand train, Johnny voyageait au gré des saisons entre ses résidences de Gstaad (station huppée des Alpes suisses), Saint-Barthélemy dans les Antilles, Marnes-la-Coquette (ouest de Paris) et Los Angeles. Il dépensait aussi sans compter pour ses proches et innombrables « potes » invités de ses virées aux quatre coins du globe. Un de ses amis a ainsi raconté avoir dû dissuader la star de lui offrir sur un coup de tête une toile d’Andy Warhol.


En 2004, son divorce douloureux avec sa maison de disques Universal avait jeté une lumière crue sur ce côté « panier percé ». Johnny avait alors accusé Universal d’avoir mis en place un « système » pour l’asservir en profitant de sa situation financière désastreuse et tenté - en vain - de recouvrer la propriété des bandes originales de ses chansons.


Lire : Evasion fiscal : Johnny Hallyday se défend

Les procès qu’il a intentés à sa maison de disques ont été l’occasion d’un grand déballage. On y a découvert un rockeur couvert d’hypothèques, faisant appel à son label pour payer ses factures, éponger ses dettes et assouvir ses caprices… comme ce prêt de 5 millions d’euros destiné à l’achat d’un yacht.


Au fil des années, Universal s’était porté garant auprès du fisc, avait racheté sa maison de Ramatuelle (la célèbre « Lorada ») et un hôtel particulier du XVIe arrondissement de Paris. En contrepartie, Johnny avait régulièrement accepté des modifications de son contrat, lui avait cédé ses droits à l’image et ceux sur le merchandising.


« Marre de payer ce qu’on nous impose »


Ses démêlés avec le fisc ont aussi abondamment défrayé la chronique, au point de devenir un sujet politique. Dès 1975, l’administration fiscale l’a fait condamner à de la prison avec sursis et exigé le remboursement de cent millions de francs d’arriérés, ce qu’il n’a fini de faire que dans les années 1990.

Assujetti à l’impôt sur la fortune en France, il s’est régulièrement retrouvé au cœur de polémiques sur les exilés fiscaux. Comme en 2006, lorsqu’il a demandé la nationalité belge - en souvenir de son père, disait-il -, avant d’y renoncer. Puis quand il a décidé de s’établir une partie de l’année en Suisse, expliquant en avoir « marre, comme beaucoup de Français, de payer ce qu’on nous impose comme impôts ». A quelques mois de la présidentielle, ses propos avaient déclenché une tempête politique.

Ces dernières années, il était devenu résident fiscal aux Etats-Unis où ses plus jeunes filles étaient scolarisées. « En France, la réussite, c’est louche, on trouve ça dégueulasse », déplorait-il en 2013 dans son autobiographie Dans mes yeux, (Plon, 2013)




En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/culture/article/2017/12/10/poches-percees-et-demeles-fiscaux-les-rapports-tumultueux-de-johnny-hallyday-a-l-argent_5227437_3246.html#Y5Kt7WDYyepWV9kr.99
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Charlie Watts, Keith Richards, Mick Jagger et Ronnie Wood. COMPTE RENDU Les Rolling Stones, éternels mauvais garçons du rock’n roll


Mort de Johnny  

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Poches percées et démêlés fiscaux, les rapports tumultueux de Johnny Hallyday à l’argent
Régulièrement au classement annuel des chanteurs français les mieux payés, le monument du rock français a cumulé les dettes et les démêlés avec le fisc.


Le Monde.fr avec AFP | 10.12.2017 à 08h16


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image: http://s2.lemde.fr/image/2017/12/10/534x0/5227435_6_1043_johnny-hallyday-et-sa-femme-laeticia-lors-de_86a1597e8cf85645ffebc198e92e4f31.jpg


Johnny Hallyday et sa femme Laeticia, lors de la projection du film "Vengeance", au festival de Cannes, le 17 mai 2009.
Train de vie dispendieux, dettes et démêlés fiscaux : les questions d’argent ont poursuivi Johnny Hallyday toute sa vie. Monument du rock français mort dans la nuit de mardi à mercredi 6 décembre, le « taulier » a été une figure régulière du classement annuel des chanteurs français les mieux payés - deuxième en 2016, avec 16 millions d’euros de revenus, selon le magazine Capital.


En 60 ans de carrière, l’ancien gamin sans le sou a accumulé chiffres de ventes vertigineux, avec plus de 100 millions de disques vendus et des tournées marathon. Il a aussi conclu de juteux contrats publicitaires et investi, avec plus ou moins de bonheur, dans diverses affaires, comme des boîtes de nuit, des vignobles et un restaurant. Sans compter les revenus tirés des produits dérivés.


Mais « contrairement à une idée répandue, Johnny est un “travailleur pauvre”, qui, malgré ses nombreuses années de carrière, n’a pas cumulé de patrimoine, car il a toujours eu un train de vie flamboyant. Il ne possède pas de capital, excepté son patrimoine immobilier », affirmaient les journalistes Catherine Rambert et Renaud Revel dans leur livre « Johnny, les 100 jours où tout a basculé » (2010).


Panier percé


Amateur de voitures et de motos de collection, menant grand train, Johnny voyageait au gré des saisons entre ses résidences de Gstaad (station huppée des Alpes suisses), Saint-Barthélemy dans les Antilles, Marnes-la-Coquette (ouest de Paris) et Los Angeles. Il dépensait aussi sans compter pour ses proches et innombrables « potes » invités de ses virées aux quatre coins du globe. Un de ses amis a ainsi raconté avoir dû dissuader la star de lui offrir sur un coup de tête une toile d’Andy Warhol.


En 2004, son divorce douloureux avec sa maison de disques Universal avait jeté une lumière crue sur ce côté « panier percé ». Johnny avait alors accusé Universal d’avoir mis en place un « système » pour l’asservir en profitant de sa situation financière désastreuse et tenté - en vain - de recouvrer la propriété des bandes originales de ses chansons.


Lire : Evasion fiscal : Johnny Hallyday se défend


Les procès qu’il a intentés à sa maison de disques ont été l’occasion d’un grand déballage. On y a découvert un rockeur couvert d’hypothèques, faisant appel à son label pour payer ses factures, éponger ses dettes et assouvir ses caprices… comme ce prêt de 5 millions d’euros destiné à l’achat d’un yacht.


Au fil des années, Universal s’était porté garant auprès du fisc, avait racheté sa maison de Ramatuelle (la célèbre « Lorada ») et un hôtel particulier du XVIe arrondissement de Paris. En contrepartie, Johnny avait régulièrement accepté des modifications de son contrat, lui avait cédé ses droits à l’image et ceux sur le merchandising.


« Marre de payer ce qu’on nous impose »


Ses démêlés avec le fisc ont aussi abondamment défrayé la chronique, au point de devenir un sujet politique. Dès 1975, l’administration fiscale l’a fait condamner à de la prison avec sursis et exigé le remboursement de cent millions de francs d’arriérés, ce qu’il n’a fini de faire que dans les années 1990.


Assujetti à l’impôt sur la fortune en France, il s’est régulièrement retrouvé au cœur de polémiques sur les exilés fiscaux. Comme en 2006, lorsqu’il a demandé la nationalité belge - en souvenir de son père, disait-il -, avant d’y renoncer. Puis quand il a décidé de s’établir une partie de l’année en Suisse, expliquant en avoir « marre, comme beaucoup de Français, de payer ce qu’on nous impose comme impôts ». A quelques mois de la présidentielle, ses propos avaient déclenché une tempête politique.


Ces dernières années, il était devenu résident fiscal aux Etats-Unis où ses plus jeunes filles étaient scolarisées. « En France, la réussite, c’est louche, on trouve ça dégueulasse », déplorait-il en 2013 dans son autobiographie Dans mes yeux, (Plon, 2013)




En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/culture/article/2017/12/10/poches-percees-et-demeles-fiscaux-les-rapports-tumultueux-de-johnny-hallyday-a-l-argent_5227437_3246.html#Y5Kt7WDYyepWV9kr.99
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Commandoair40
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MessageSujet: Re: Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde.   Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde. Icon_minitimeDim Déc 10 2017, 11:24

Merci René ,

Pour moi , plus rien a dire : il est DCD , respect pour un Mort .

Pourquoi mettre le bordel maintenant , les français le savaient .

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Sicut-Aquila

Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde. 908920120 Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde. Cocoye10 Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde. 908920120

« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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MessageSujet: Re: Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde.   Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde. Icon_minitimeDim Déc 10 2017, 11:27

Je respecte les obsèques, - j'ai essayé de comprendre la grandiosité des obsèques
Et je les compris et approuvé

En bien des domaines les médias devenaient ridicules. Je ne parle pas là des obsèques.

Pourquoi étaler en sous titrages des alertes infos aussi .. aussi .. enfantines
Je ne sais pas exprimer mon ressenti
Et autrement qu'en sous titrage.
Pourquoi parler des maisons etc ... enfin bref

Lors des obsèques j'ai apprécié l'hommage de Philippe Labro
Il était juste.
Celui du Président Macron n'était pas mal

On parle là de Culture
Dans d'autres domaines que .. la culture il faudrait que de tels hommages persistent et soient

Excusez moi parfois je ne m'applique pas assez aux infos (sise celle du topique)
Johnny avait une maison en Suisse , dans le midi etc ...
Il n'avait dont plus la nationalité belge - je ne savais pas

Rajout pour ne pas faire multes réponses

A une échelle moindre ( c'est à dire minime)
Il n'est pluspossible d'écrire je reviendrai plus tard (les lettres s'inscrivent très mal)
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MessageSujet: Re: Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde.   Quoique l'on en pense ou que l'on en dise : Johnny a payé!.. le monde. Icon_minitime

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