Denis Degreze
· 5 mars ·
Le saviez-vous?
Moi pas!!
Claude Brasseur était bel et bien parachutiste !!!et pendant la guerre d'Algérie ..
Il suffit de taper son nom et prénom sur la toile .
La photo que j'ai déposée provient d'un magazine, nouvel obs ou de ce genre dont j'ai "emprunté" l'article, où il disait avoir été para en Algérie ....
Enfant de la balle par excellence (son père est le grand acteur de théâtre mais aussi de cinéma Pierre Brasseur, et sa mère est la comédienne Odette Joyeux), Claude Brasseur, de son vrai nom Claude Espinasse, naît décidément sous une bonne étoile en ayant pour parrain le célèbre écrivain américain Ernest Hemingway.
Suivant les traces de son père, il effectue sa formation aux cours de comédie de Raymond Girardet puis au Conservatoire, avant de monter sur les planches au milieu des années 50, notamment sous la houlette d' Elvire Popesco. Très vite, le cinéma l'attire dans ses rets, et le jeune Brasseur tourne notamment dans Le Pays d'où je viens de Marcel Carné. Suivra un break de trois années pendant lequel il s'engage dans un bataillon de parachutistes (sur un coup de tête, après avoir vu un film sur le sujet, L'Amour descend du ciel. Le retour au cinéma et au théâtre se fera en 1960.
Après avoir suivi des cours de comédie chez Raymond Girardet et étudié au Conservatoire, Claude Brasseur se produit sur les planches dès 1954 dans les pièces Judas de Marcel Pagnol et Bon appétit messieurs d'Elvire Popesco. Il fait alors ses débuts au cinéma en tournant sous la direction de Georges Lampin dans Rencontre à Paris (1956) et Marcel Carné dansLe Pays d'où je viens (id.)
Après une parenthèse de trois ans durant laquelle il officie comme parachutiste (1956 - 1959), il revient au septième art en donnant la réplique à Jean Gabin dans Rue des prairies (1959) de Denys de La Patellière et en étant confronté à son père dans le film fantastique Les Yeux sans visage (1960) de Georges Franju. Mais sa notoriété prend un réel essor avec le téléfilm Le Mystère de la chambre jaune (1965), où il interprète le reporter Joseph Rouletabille, et la série télévisée Les nouvelles aventures de Vidocq (1971), où il tient le rôle-titre. Parallèlement, il travaille avec de jeunes cinéastes déjà très talentueux : Jean-Luc Godard (Bande à part, 1964), Costa-Gavras (Un homme de trop, 1967) ou encore François Truffaut (Une belle fille comme moi, 1972).
Les premiers pas
Claude Brasseur est né le 15 juin 1936 ; il est le fils de Pierre Brasseur et de Odette Joyeux tous deux déjà réalisateur et acteurs.
Il a d'abord travaillé comme journaliste et comme assistant-photographe à Paris Match.
Il a suivi des cours de comédie au Conservatoire.
Son parrain dans le métier n'est autre qu'Ernest Hemingway, ami de ses parents.
Elvire Popesco lui signe son premier contrat pour "Bon appétit messieurs" et pour la pièce de Marcel Pagnol : "Judas". En 1956 il démarre une carrière cinématographique grâce à Marcel Carmé et au film "Le pays d'où je viens".
Après une interruption pendant laquelle il est parachutiste, Claude Brasseur retourne au cinéma.
Il joue son premier grand rôle dans "Rue des prairies" en 1959 avec Jean Gabin et Marie-José Nat.
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