Un maire décide de faire repeindre la façade de la mairie.
Il lance un appel d’offres.
On lui présente 3 devis : un Breton, un Basque et un Marseillais.
Le devis du Breton s’élève à 3 millions d’Euros, celui du Basque à 6 millions, et celui du Marseillais à 9 millions.
Devant de telles différences, il convoque les trois entrepreneurs séparément, pour qu’ils détaillent leurs estimations !
Le Breton dit qu’il utilise de la peinture acrylique pour extérieurs en deux couches pour 1 million, pour les échafaudages, les brosses, équipements divers et assurances : 1 million, et le million restant c’est la main d’œuvre.
Le Basque justifie son devis en disant qu’il est meilleur peintre, qu’il utilise des peintures de polyuréthane en trois couches, dont le coût s’élève à 3 millions. Les échafaudages et autres matériels, équipements et assurances coûtent 2 millions, et le million restant c’est la main d’œuvre.
Le dernier est celui qui gagne finalement l’appel d’offres, le Maire estime qu’il présente le devis le mieux justifié.
Le Marseillais lui a présenté comme suit :
« Monsieur le Maire : 3 millions pour vous, 3 autres pour moi, et les 3 restants, nous les donnons au Breton pour qu’il nous peigne la façade. »
TOUTE RESSEMBLANCE AVEC LA VIE POLITIQUE (ou de l’entreprise) DE TA COMMUNE EST PURE COÏNCIDENCE ! ! ------ --------------------------------------
25.
Trois mères juives sur une plage parlent de leurs rejetons.
La première annonce :
— « Mon fils, il m’aime tellement qu’il a renouvelé toute ma garde-robe !
La seconde déclare :
— « Moi c’est mieux : mon fils, il est venu chez moi la semaine dernière ; il m’aime tellement qu’il m’a renouvelé tout mon mobilier.
La troisième ne dit rien et sourit. Alors les deux autres se tournent vers elle et lui demandent :
— « Et toi ?
— « Moi, c’est encore mieux : mon fils.... il va trois fois par semaine chez un monsieur qu’il paye TRÈS cher, et il ne lui parle que de moi !
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24.
Un chauffeur avait un jour mis cette pancarte dans son autobus :
« Il vaut mieux être en retard dans ce monde qu’en avance dans l’autre !! »
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23.
Mme Zetlaoui est invitée à dîner chez son fils, David, étudiant.
David partage son logement avec une autre étudiante, Sarah.
Comme c’est la première fois qu’elle est invitée et qu’elle ne voit pas son fils très souvent (après tous les sacrifices qu’elle a fait pour lui !), Mme Zetlaoui essaie de ne pas se montrer indiscrète, mais, pendant toute la soirée, elle observe David et Sarah, espérant déceler entre eux un signe d’affection.
Enfin elle voudrait savoir…. La question lui brûle les lèvres ! Mais finalement, après avoir passé une bonne soirée, elle rentre chez elle perplexe et sans avoir rien demandé….
Quelques minutes après son départ, Sarah débarrasse la table et s’aperçoit que manque la louche en argent offerte par sa grand-mère ! Elle cherche avec beaucoup de soin, puis, gênée, en fait part à David. David n’ose appeler sa mère, alors il lui adresse un courrier embarrassé :
« Ma chère maman,
Je ne dis pas que tu a pris la louche en argent de Sarah,
je ne veux pas dire non plus que tu ne l’as pas prise ;
mais le fait est que quand tu es arrivée
il y avait cette louche, et après ton départ, elle n’était plus là. »
Quelques jours passent puis il reçoit la réponse de sa Maman :
« Mon cher fils,
Je ne dis pas que tu couches avec Sarah.
Je ne veux pas dire non plus que tu ne couches pas avec Sarah.
Mais si Sarah, elle dormait dans son lit, elle l’aurait sûrement trouvée, sa louche en argent ! »
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22.
Un homme se présente à un cabinet de psychanaliste : il se plaint de ne plus pouvoir dormir la nuit. Le psy lui demande :
— « Qu’est-ce qui vous gène exactement ?
— « Eh bien, dès que je suis couché je sens qu’il y a un homme sous mon lit.
— « Mais, vous l’avez vu, cet homme ?
— « Non, justement : avant de me coucher, je vérifie toujours mais il n’y a rien. Mais dès que je m’allonge je sens qu’il arrive.
— « Ne vous inquiétez pas : une hallucination légère ça se traite en quelques scéances d’analyse.
Quelques semaines passent sans que le ’malade’ ne revienne chez le psy, qui finit par croiser son ancien client dans la rue :
— « Vous n’êtes pas revenu me voir, est-ce que ça va mieux ?
— « Oh oui, je dors comme un bébé.
— « L’homme sous votre lit a disparu ?
— « Complètement, oui.
— « Comment avez-vous fait pour le faire disparaitre ?
— « Oh c’est simple : quand j’ai appris le prix de vos services, j’ai été demander conseil au rabbin.
— « Et alors ?
— « Alors il m’a dit de couper les pieds du