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| Sujet: Conseils pratiques de survie en cas de guerre !! Lun Juil 25 2016, 11:40 | |
| Conseils pratiques de survie – 2Publié le 25 juillet 2016 par EuroCalifat Un article avec de nombreux bons conseils, très concrets, pour vous préparer aux évênements qui approchent à grands pas. Soyez prêts vous aussi à défendre votre vie, votre Famile et votre pays…Article précédent dans cette rubrique: Lire iciLa radicalisation idéologique doit rester un combat permanent. Nous ne pourrons vaincre que si nous nous montrons fanatiques et sans compromis dans notre combat.La guerre s’annonce en francarabia et en Europe, elle sera une guerre raciale. Elle sera longue, et nous sommes actuellement dans une période extrêmement difficile, parce qu’elle ne permet pas encore d’action d’envergure. Néanmoins, cela ne doit pas être une excuse, parce que sans action à moyen terme, nous allons droit dans le mur.Même si les temps sont difficiles, le strict minimum est de se préparer du mieux possible.Il n’y a pas d’excuse à avoir dans le genre « je suis un intellectuel, la lutte est pour les soldats ». Dans cette guerre, nous sommes tous soldats, parce que nous sommes trop peu nombreux face à ces torrents de boue. La préparation est donc un devoir pour tous.Elle remplit deux rôles : elle permet d’être proactif dans la lutte, et a donc un effet psychologique, sur l’ami en l’empêchant de perdre la foi, et sur l’ennemi en lui montrant que nous nous préparons au combat.Mais principalement, elle permet d’anticiper la lutte armée à venir, qui, que nous le voulions ou non, a de fortes chances d’être le quotidien de l’Occident de demain.En effet, il semble que la guerre civile se rapproche à grands pas, comme le massacre de Nice l’a encore montré tout récemment. Les anti-blancs qui gouvernent le pays y ont d’ailleurs un intérêt certain et il est possible qu’ils soient eux-mêmes derrière un certain nombre d’attaques manipulées (comme les zones d’ombre du Bataclan ou de l’Hyper Casher le suggèrent).Cela leur permet de renforcer leur contrôle sur la population autochtone (avec un état d’urgence renouvelé d’attentat en attentat, pour maintenir la population dans la crainte), de diviser pour mieux régner, dans le but de mettre en place leur nouvel ordre mondial métissé en décelant et détruisant les nationalistes au passage.Dans cette optique, et en vue d’un combat à long terme (on parle ici de décennies : la situation actuelle ne sera pas réglée en quelques années), l’objet de cet article est d’apporter des conseils en matière de préparation, parce qu’il serait brave mais très stupide d’agir de manière irréfléchie.Agir sans réfléchir, c’est pour les nègres. Eux peuvent se le permettre, du fait de leur natalité explosive. Un nègre n’est que de la chair à canon.Pour nous c’est différent, car les blancs sont en déclin, et les nationalistes restent une minorité. Le nationaliste doit donc connaître la valeur de sa vie, et ne peut se permettre de la gâcher pour rien.Le but est également de s’échanger les informations utiles, par le biais des commentaires. Toute imprudence commise aujourd’hui pourra se révéler fatale demain, il faut donc d’emblée agir intelligemment, et tout échange d’informations et conseils est fortement encouragé.Au-delà des mots et des articles écrits, il importe surtout de commencer à agir de manière concrète. A la fin, celui qui gagnera sera celui qui éliminera l’autre, et il faudra se salir les mains.Devenir un « grey man » : discrétion dans la vie couranteLa première des règles en matière de préparation matérielle est la discrétion.S’il est à priori impossible de se fondre totalement dans la masse en masquant ses opinions et en agissant comme un bon citoyen décérébré de l’anti-France, il est néanmoins nécessaire de se faire remarquer le moins possible. Il est impossible de se cacher totalement, et ce ne serait de toute manière pas souhaitable, car cela laisserait entièrement le champ politique et médiatique à l’ennemi.Nous devons donc partir du principe qu’une grande partie des nationalistes est déjà fichée quelque part. Tous les mouvements sont infiltrés, que ce soit par la police ou la gendarmerie, les noms des adhérents sont récupérés, les adresses mails des simples sympathisants sont elles aussi enregistrées par le biais des listes de diffusion.Même des sites de vente de vêtements ou articles nationalistes, par exemple, sont des mines d’informations, en permettant de collecter noms et adresses. S’il est pratiquement impossible et non-souhaitable que tous masquent leurs opinions, il faut en revanche impérativement cacher le fait que vous vous préparez.Tâchez de donner l’apparence d’être un simple sympathisant et ne parlez jamais de vos préparatifs. Le but est en effet de devenir réellement dangereux sans en donner l’apparence, d’être en quelque sorte des agents dormants, sans attirer l’attention sur vous. Devenez ce que les anglo-saxons appellent un « grey man », l’homme gris qui se fond dans la foule. De manière générale, taisez-vous, ne vous vantez jamais, n’attirez pas l’attention sur vous.Sur internet : ne pas s’exposer publiquement et se protégerPeut-être plus encore que dans la vie de tous les jours, il est important d’être extrêmement prudent sur internet. Au-delà des points évoqués ci-dessus (listes de diffusion, etc), qui sont plus ou moins inévitables, il y a quelques précautions essentielles à prendre.Internet est un livre ouvert, et beaucoup de gens ont tendance à s’y lâcher sans savoir qu’ils sont facilement localisables et identifiables. Des mesures de prudence sont donc à adopter impérativement :Ne pas utiliser son nom réel : que ce soit sur les réseaux sociaux, sur un forum, dans des articles ou dans les mails envoyés à un d’inconnu. Utilisez un pseudo, et pourquoi pas, changez de pseudos entre différents sites, ça brouillera les pistes de ceux qui sont payés pour surveiller « la fachosphère ».Ne pas exposer sa vie en ligne, ou le moins possible : dites-vous que n’importe qui peut trouver votre nom et photo, et ceux de votre famille si vous mettez tout ça sur internet. C’est une mine d’information, c’est pourquoi les employeurs regardent toujours le profil de leur futur employé sur (((Facebook))) par exemple. C’est aussi pourquoi le gouvernement anti-américain va exiger d’avoir les identifiants (((Facebook))) et (((Twitter))) des personnes se rendant aux US.On a vu qu’en Allemagne, des arrestations avaient été menées suite à des posts publiés dans un groupe Facejuif secret. Il n’y a donc rien de secret. Pas d’informations personnelles, pas de photos de vous, pas d’adresse ou informations importantes. Si vous gardez un profil en ligne malgré tout, pourquoi ne pas l’utiliser pour brouiller les pistes ? Vous pourriez vous en servir pour présenter une vie lisse et sans histoire.Utilisez des adresses différentes selon vos interlocuteurs, et si possible protégées comme Protonmail. Il existe de même des adresses mail jetables telles que Yopmail. Lire à ce sujet : http://wiki.korben.info/email. Chiffrez vos messages, et même par mail, restez le plus succinct possible. Pas de noms et prénoms non plus évidemment, uniquement des pseudos. Une autre solution est de communiquer sur une boîte mail commune par le biais des brouillons : une personne écrit un message, ne l’envoie pas et l’enregistre dans les brouillons, la deuxième personne qui dispose aussi des identifiants répond par le même moyen, en enregistrant un nouveau brouillon.Même pour un débutant, il est primordial d’assurer ces arrières avec ces démarches. Une autre solution de correspondance sécurisée est tout simplement de s’envoyer du courrier postal. Dans ce cas de figure, il faut aussi rester prudent : pas de nom d’expéditeur, ne pas envoyer depuis son bureau de poste local, rester discret (pas d’infos personnelles, pas de noms, etc) dans sa correspondance.Utilisez un VPN pour changer votre adresse IP : PIA VPN par exemple, offre un bon service pour une trentaine d’euros par an. Pensez à installer un VPN sur tous vos supports (ordinateur, téléphone portable), ce qui est faisable avec un seul abonnement.Le sujet de la sécurité sur internet est assez technique. Il serait intéressant que des personnes ayant de réelles compétences dans ce domaine apportent un éclairage sur le sujet.Faites le tri dans vos relationsAttention à qui vous parlez. Si vous êtes dans un mouvement nationaliste, soyez extrêmement prudent : il faut ici répéter que la police et la gendarmerie disposent d’informateurs ou au minimum d’oreilles dans tous les mouvements.Qui peut croire une seule seconde que le gouvernement pourrait se montrer laxiste dans la surveillance des nationalistes ? Nous sommes leur vrai ennemi, pas les « islamistes ». Un bon moyen est d’être sympathisant, de garder ses distances, mais de se préparer de manière autonome. Les services de renseignement ont en effet beaucoup plus de mal à identifier les loups solitaires.Posez-vous la question : qui parmi vos connaissances serait susceptible de vous cacher si vous étiez recherché par la police après avoir tué un collabo ou une racaille? Ou plus simplement, qui ne vous dénoncerait pas par simple peur ?Les relations sociales et familiales ont été tellement pourries par la juiverie et les marxistes culturels que l’on ne peut pratiquement plus faire confiance à personne aujourd’hui. Si vous avez la chance d’évoluer dans un milieu social plutôt pro-blanc, restez quand même discret, tâtez le terrain avant de divulguer quoi que ce soit.Dans votre propre famille, restez discret. Jugez les gens à qui vous vous confiez : sachez que même le camarade qui partage vos idéaux pourrait se révéler être un lâche, ou un faible mentalement. Si aujourd’hui des gens craquent, imaginez ce que cela sera demain, quand les méthodes policières seront plus « brutales ».De manière générale, moins les gens en savent, mieux c’est. Une confidence autour d’une bière un jour peut très bien ressortir plusieurs mois ou années plus tard, et jouer contre vous. Si vous décidez un jour de vous battre pour votre race, n’en parlez qu’aux personnes de confiance, et n’en parlez d’ailleurs pas à plus de deux ou trois personnes.Ce sera le volume maximum de votre cellule de combat. Il faut rester extrêmement prudent, sans non plus verser dans la paranoïa totale, sous peine de ne plus rien faire.Préparez vos modes d’actionIl y a plusieurs questions à se poser si vous souhaitez agir. Comment pouvons-nous servir la cause au mieux ? Que sommes-nous prêts à faire, en tant qu’individus ? Que refusons-nous de faire ?Il importe d’être avant tout réaliste. Etablissez des scénarios dans votre tête, et voyez s’ils pourraient fonctionner. Il est inutile de se dire prêt à descendre dans la rue demain, drapeau au vent, pour faire la chasse aux crouilles si vous n’êtes pas capables de cacher une arme non déclarée aujourd’hui par exemple. Si vous êtes déterminé à agir réellement, alors préparez-vous réellement.Cela implique de préparer vos modes d’action pour le futur, et d’adapter vos moyens en conséquence. Si vous êtes haut placé dans la police (par exemple… si tant est qu’il soit possible d’y être sans se renier), il serait stupide de se dévoiler pour aller coller des affiches. Profitez de votre poste pour transmettre des informations aux nationalistes, soyez un agent infiltré.Quelle que soitvotre situation, réfléchissez à ce que vous serez en mesure de faire. La question est ici très délicate, car nous sommes nombreux à avoir encore beaucoup trop à perdre pour nous lancer dans l’action proprement dite.Quelle que soit votre situation, il est néanmoins de votre responsabilité de vous préparer. Il est donc nécessaire de réfléchir à ses modes d’actions possibles selon ses aptitudes physiques (si vous êtes handicapé, vous n’irez pas dans l’action proprement dite par exemple), mentales (êtes-vous suffisamment fort mentalement pour agir, puis vous taire et garder votre calme ?), etc.Bref, plusieurs modes d’action sont développés ci-dessous, mais la liste est pratiquement infinie.Première chose : s’armer et s’entraîner. Passez votre licence de tir (ce qui est assez facile à faire), et achetez une arme. Selon vos moyens, privilégiez une arme rustique et efficace comme un fusil à pompe (catégorie C avec un canon rayé), ou investissez dans un fusil de précision. Les catégories B (armes semi-automatiques, armes de poing, etc) sont plus intéressantes mais beaucoup plus contraignantes à acquérir. Elles entraînent de plus des contrôles de la gendarmerie, ce qui est à éviter. Le mieux est de se procurer une arme légalement, pour s’entraîner et acheter des munitions, et d’en acheter une (ou plus) non déclarée si possible.Tout d’abord par ce que ces armes seront généralement bien plus intéressantes et efficaces (armes de poing, ou automatiques). D’autre part, cela vous permettra de disposer d’un outil non-traçable en cas d’action, et de ne pas utiliser vos armes légalement déclarées. Cela est totalement illégal bien sûr. Mais ce sera déjà un premier pas réel dans la lutte contre le système. De très nombreuses armes circulent en France, surtout dans les cités (15.000 AK47, voire du plus lourd il paraît), et il est donc impératif de commencer nous aussi à en stocker.Si vous vous engagez dans cette voie, ne stockez rien d’illégal chez vous. 1ménagez une cache, par exemple dans la forêt, en enterrant vos outils non déclarés et des munitions dans le sol. Comment vous en procurer ? Il n’y a pas d’adresse pour ça. Fréquentez les bourses aux armes, les collectionneurs, tâchez de tisser votre réseau (de manière discrète évidemment).Entraînez-vous au tir de manière graduelle. Apprenez tout d’abord les fondamentaux (vous les trouverez facilement sur internet) et maitrisez les. Une fois cela fait, variez les exercices : si votre club de tir ne vous le permet pas, tirez sur un terrain privé, ce qui est légal avec de la catégorie C (sur terrain isolé pour ne pas que les voisins appellent les gendarmes), ou dans la nature.Si vous pouvez former une petite équipe (2-3 personnes), apprenez les fondamentaux en matière de formation militaire : déplacements en appui mutuel, progression du trinôme, etc. Le mieux est de se rapporter pour cela à l’INF 202 ou l’INF 36.001, téléchargeables en pdf sur internet. Préparez des scénarios ; par exemple, placez une cible sur un bord de chemin (dans une zone isolée bien sûr), et entraînez-vous à tirer depuis une voiture en déplacement, voire à faire du débarquer/tirer/repartir en vitesse.Variez les situations, habituez-vous à rouler avec une arme chargée dissimulée (intelligemment : en zone rurale, et avec des armes légales). Les possibilités sont infinies, le but est d’acquérir une certaine aisance avec l’armement, et de se préparer à franchir la ligne rouge.Listez les lieux et cibles potentielles dans votre région : personnalités, traîtres, monuments, synagogues et mosquées, permanences politiques, domiciles privées. Diffusez ces listes dans les réseaux nationalistes. Faites vous votre propre liste ; tel lieu, telle personne, etc. Privilégiez des cibles dans votre région, mais pas à proximité immédiate de votre domicile.Développez vos compétences et adaptez votre style de vieCe point mériterait de faire l’objet d’un développement plus approfondi, mais ce qu’il faut retenir est qu’adopter certains comportements est déjà un premier pas en soi.Coupez-vous progressivement du Système : Retirez votre argent de la banque, en le stockant en liquide ou en or par exemple (pas tout à votre domicile). Il y a beaucoup de critiques contre cela, mais se couper au maximum du système bancaire permet de réduire sa dépendance et de s’assurer une marge de manœuvre. C’est aussi une manière de lutter contre les banques. La démarche d’autonomisation, de « résilience » devrait d’ailleurs être mise en œuvre dans tous les domaines. Moins vous dépendrez de la société actuelle, moins vous serez impacté par sa négrification graduelle.Préparez-vous physiquement ; pratiquez le sport et les sports de combat en particulier, tant pour le mental que pour acquérir des savoir-faire.Créez votre réseau : il s’agit d’établir une cellule de volume limité avec uniquement des gens de confiance (une fois fait le tri dans vos relations) : pas plus de 3-4 personnes. Si d’autres cellules doivent être établies à partir d’un même groupe de personnes, cloisonner ces cellules au maximum.Se reporter à « La Guerre Moderne » de Roger Trinquier, détaillant la mise en place de la guérilla du FLN sur le modèle communiste, qui reste une référence. Là encore, ne pas utiliser son vrai nom si c’est faisable, et conserver son anonymat autant que possible.Développez vos compétences ; armement, explosifs, filature, renseignement, à partir de votre vécu ou de manuels militaires ou policiers, tout en restant discret.Quelques conseils pratiquesEquipez vous auprès de personnes de confiance (et inversement, ne vendez qu’a des personnes de confiance le cas échéant. Si vous achetez/vendez au premier gitan venu, attendez-vous à avoir rapidement une visite de des collaborateurs de la gendarmerie)Testez votre matériel. Ce n’est pas lors de l’action proprement dite qu’on teste son arme, c’est le meilleur moyen de tout faire capoter. Ceux qui ont volé des explosifs à Miramas avaient cela à l’esprit : quelques temps plus tard, des explosions dans la région marseillaise ont révélé qu’ils testaient leur matériel avant de s’en servir en situation réelle. Connaître et maîtriser son armement est donc le préalable à toute action.Disposez d’un plan en béton.Les villes sont aujourd’hui truffées de caméras, et si vous décidez de vous battre, faites en sorte de pouvoir poursuivre la lutte un autre jour, donc ne vous faites pas repérer. Le mieux est encore d’agir en zone rurale ou dans les petites villes et villages, où l’action est plus faisable.Avant une opération effectuez un repérage des lieux pour établir les plans d’accès, de repli, les rondes de police (aléatoires et/ou à heures fixes), etc.Si vous transportez du materiel en voiture assurez-vous qu’il ne soit pas visible lors d’un simple contrôle! Cela semble évident, mais…N’utilisez pas votre véhicule personnel, et soyez attentif aux caméras de surveillance. Garez votre véhicule en respectant les règles de parking!Pensez aux empreintes digitales et traces ADN. Les voyous incendient toujours les véhicules utilisés après une opération…Si vous agissez, faites donc en sorte de couvrir vos arrières.Préparez-vous, entraînez-vous, et quand vous serez prêts, agissez contre nos ennemis. La situation en France est trop avancée pour éviter la guerre civile, et celle-ci s’annonce de longue durée. Néanmoins, si vous agissez, faites le de manière progressive, réaliste et discrète.« La révolution est l’œuvre d’une minorité résolue, inaccessible au découragement, d’une minorité dont la masse ne comprend pas les premiers mouvements parce que, victime d’une période de décadence, elle a perdu cette chose précieuse qu’est la lumière intérieure. » Share this: |
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