Une étude nous explique le Grand remplacement entre les lignes et la non volonté des communautés ethniques à vouloir intégrer la société française.Une étude menée par l'institut Sociovision réalisée en novembre 2014 montre la différence entre les Français qui vivent dans l'hexagone et surtout les définitions inversées des valeurs. L'étude dit que les Français, dans leur majorité, souhaitent une discrétion des affirmations religieuses et que les musulmans français souhaitent affirmer leur identité religieuse au-delà de la sphère privée.
La France a fait son travail sur la présence de la religion avec les philosophes des Lumières, la Révolution sanglante et barbare de 1789 pour accoucher de la loi de 1905 qui sépare le religieux de l'Etat.Avec l'Islam la France se heurte à un nouveau travail sur la religion sur sa terre qui ne devrait pas avoir lieu d'être et qui envahit tous les médias et les rues de France à devenir obsessionnel.
Les responsables politiques, souvent des anciens de mai 68 (des adorateurs de la fornication débridée et antireligieux aux cheveux à la Jésus du temps de leur jeunesse) déforment la définition de la laïcité et soutiennent l'activité d'une religion qui remet en cause la laïcité en France.
L'étude nous explique le Grand remplacement entre les lignes et la non volonté des communautés ethniques à vouloir intégrer la société française.
Société sécularisée. « Les Français s'éloignent non seulement de la pratique mais aussi de la croyance religieuse », peut-on lire dans l'étude.
De 1994 à 2014 le nombre de non pratiquants et de non croyants est passé de 32 % à 39 %, le nombre de pratiquants de 14 % à 10 %, le nombre de croyants de 45% à 36 %, ceux rattachés à une communauté sans être croyants de 9 % à 14 %.
L'étude de Sociovision dit que le sentiment de communautarisme a augmenté dans une France devenue plus multiculturelle où la population catholique apparaît majoritairement vieillissante (43 % des catholiques ont plus de 50 ans), là où les musulmans sont, à l'inverse, plutôt jeunes (41 % des musulmans ont moins de 30 ans). La France est fragmentée et constituée de plusieurs ethnies du fait du multiculturalisme (ce n'est pas un multiculturalisme européen) ce qui dépasse le fait religieux tout en faisant le jeu de l'islam qui ne serait pas seulement une religion.
Encore Islam. « A peine la moitié des Français se disent catholiques ; l'Islam est très minoritaire, mais sa pratique est importante et portée par de jeunes générations », ajoute l'étude de Sociovision.
Les « Sociovisionnaires » ont l'art de se contredire dans la même phrase certainement pour ne pas inquiéter les Français qui ne sont plus religieux depuis des générations, qui avec la poussée de l'Islam se découvrent un jour chrétien, et dont la population vieillit surtout que de Lampedusa ce ne sont pas des Francs, des Germains ou des Celtes, ni des Russes, qui débarquent.
L'étude plante le doigt sur un phénomène inquiétant pour le pays ou réjouissant selon la position du lecteur.
« La religion catholique reste bien sûr la religion la plus importante, de très loin, mais s'y attache désormais moins de la population française (48,5 %).
La seconde religion en nombre, l'islam, rassemble 5,8 % des Français.
Les autres religions (protestante, juive ou bouddhiste) réunissent chacune moins de 2 % de notre échantillon ».
Les experts de d’Institut disent, à se taper la tête contre les 4 murs de la salle de rédaction (murs heureusement très éloignés), « rappelons que notre échantillon n'intègre pas la population étrangère vivant en France ! ».
Justement l'échantillon de Sociovision devait intégrer la population étrangère vivant en France ! Le Sénat publie sur son site, « en juin 1998, dans son rapport au nom de la commission d'enquête du Sénat sur les régularisations d'étrangers en situation irrégulière présidée par notre ancien collègue M. Paul Masson, notre collègue M. José Balarello écrivait qu'« une estimation du nombre des clandestins entre 350.000 et 400.000 ne paraît pas éloignée de la réalité.
Selon M. Nicolas Sarkozy, ministre d'Etat, ministre de l'intérieur et de l'aménagement du territoire, entre 200.000 et 400.000 étrangers en situation irrégulière seraient aujourd'hui présents sur le territoire national et entre 80.000 et 100.000 migrants illégaux supplémentaires y entreraient chaque année ».
Qu'en-est-il de ce nombre au début 2015 ?Faits. « La discrétion des appartenances religieuses, dans la vie collective, celle de tous les jours, et pas seulement dans les services publics, est le souhait d'une large majorité des Français et devrait être la règle de notre vise sociale.
82 % des Français estiment que la religion est une question privée et que les signes d'appartenance religieuse doivent rester discrets en public », dit l'étude qui ne tient pas compte de l'avis des étrangers vivant en France...
Avec ce constat, « Ceux qui se situent politiquement les plus à Gauche acceptent mieux les affirmations d'ordre religieux que la moyenne », Sociovision explique que la Gauche prône l'éclatement de la laïcité dans le pays et soutient les comportements ethniques alors qu'à l'époque de Georges Marchais c'était l'inverse.
Sociovision montre aussi dans sont étude que l'Islam est le problème dans la société française, « Le refus de serrer la main à une personne de sexe opposée, ou bien de fréquenter des lieux mixtes, comme les piscines, constitue l'attitude la plus rejetée par l'échantillon ».
Les élites politiques utilisent la laïcité pour interdire les sapins de Noël et les crèches dans les lieux publics ou dans des mairies mais soutiennent le ramadan comme le fait l'hôtel de ville de Paris en célébrant le début du ramadan sans parler des aides de diverses communes pour la construction de mosquées, qui à la différence des églises, tout en étant des centres d'éducation, sont des administrations qui gèrent l'état civil des populations musulmanes en invitant leurs ouailles à ne pas respecter la laïcité. Dalil Boubakeur l'a dit haut et fort « un sourire aux lèvres », « aujourd'hui, les maires sont les premiers bâtisseurs des mosquées ». Les élus de la République sont donc les premiers « déconstructeurs » de la laïcité.