Hollande en danger?

Hollande en danger?

 Les hommes du Président dénoncent des failles dans sa sécurité



 Hollande en danger?  

 

Il y aurait des failles dans la sécurité de François Hollande : c'est ce qu'affirment au Monde trois sources au sein du GSPR, le service de gendarmerie chargé de la sécurité du président.

Embauches surprenantes, manque d'entraînement et président qui n'en fait qu'à sa tête : le chef de l'Etat, "aussi menacé que le président des Etats-Unis", ne serait pas protégé à 100%.

     

C'est la goutte qui a fait déborder le vase : une balle perdue à l'Elysée a convaincu trois sources au sein du groupe de sécurité de la présidence de la République de briser le secret que leur impose leur profession pour témoigner.

Dans Le Monde, ils racontent - anonymement - les failles de la sécurité du président.

Des embauches surprenantes

Ils dénoncent notamment des "recrutements surprenants".

Il y a d'abord eu les membres de l'équipe de protection de Nicolas Sarkozy, que François Hollande a gardés, invoquant l'"usage républicain".

"Des gens dont on savait qu'ils avaient encore personnellement des contacts avec Sarko", indique une source élyséenne au quotidien du soir.

"Le président a fait confiance, c'était une erreur."  

Ceux-là ont été remplacés en janvier 2013, mais au GSPR, on pointe aussi le recrutement d'un fonctionnaire "que beaucoup disent portés sur la boisson", ou un autre "mis de côté pour des problèmes psychologiques", qui "craque et quitte le dispositif" de temps à autres.

"Nous avons amené le président sur un terrain suicidaire"

La gestion des déplacements est également mise en cause.

L'un des fonctionnaires du GSPR se "rappelle avec une frayeur rétrospective" de déplacements passés, rapporte Le Monde.

Sur sa visite dans les locaux de  Charlie Hebdo , le 7 janvier, "nous avons amené le président sur un terrain suicidaire", diagnostique-t-il.

Comme en Irak, où un attentat avait attiré les responsables sur place avant la détonation d'une seconde bombe.

Et d'énumérer :

"L'absence de déminage systématique, des pneus neiges installés sur une voiture 'suiveuse' du cortège, l'emploi de chauffeurs non-habilités à la conduite rapide" comme autant de brèches supplémentaires dans la sécurité du président.

 "Hollande fait n'importe quoi"  

Mais le dispositif n'est pas le seul mis en cause. "Hollande fait n'importe quoi", soupire un fonctionnaire du GSPR.

Outre ses bains de foule imprévus en déplacement, le président est surtout connu pour ses sorties totalement secrètes escorté d'un seul garde du corps : non inscrites à l'agenda officiel, mais également inconnues de son cabinet et de son entourage proche.

"Un quidam a ainsi eu la surprise, un jour, de voir le chef de l'Etat faire irruption à côté de lui dans les toilettes d'une station-service d'autoroute", souligne le journal.

Des échappées belles qui se produisaient "jusqu'à trois fois par semaine" du temps où Valérie Trierweiler était Première dame et qui permirent les fameux clichés du président casqué.

Un fonctionnaire s'agace : "C'était un appareil photo. Mais si ç'avait été un fusil, c'était pareil."

 

     

     

   Ah !!! Ah !!! Ah !!! Ah !!!

Celle - là il ne nous l'avait encore pas faite
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> > > > > > > > > *Le chef des armées française au garde à vous !!!!!!!
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En direct de Nouméa
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> > > Ce n'est pas une photo montage et cela confirme quand même qu'il ne sait quasiment jamais où aller et, qu'en tout cas, en tant que chef des armées (!) il ne connait vraiment rien aux usages et au protocole militaire.
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> > > Mon Dieu, quelle allure !! Il doit le faire exprès, ce n'est pas possible autrement.
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> > > > > > > > > Ce serait un pitre exceptionnel, mieux encore que Bourvil, s'il n'était le Zident de notre pôvre France !!!
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> > > > > > > > > Celle-là, il ne nous l'avait encore jamais faite...!
> > > Une photo présidentielle d'un président ''normal'' ?
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