L'ancien patron du Front de gauche appelle les Français à aller «au bout de leur dégoût»...
Jean-Luc Mélenchon a déclaré samedi à Grenoble que François Hollande était «pire» que son prédécesseur Nicolas Sarkozy et que son gouvernement était en train de «ruiner» la France et «d'étrangler ceux qui ne peuvent pas se défendre».
«Parce que monsieur Sarkozy, c'était la retraite à 62 ans, monsieur Hollande, c'est la retraite à 66 ans. Monsieur Sarkozy et monsieur Fillon ont donné 35 milliards (d'euros) au patronat en deux plans d'austérité. Quand on fait le total des concessions qu'a fait ce gouvernement, c'est 90 milliards», a-t-il développé.
Un grand mouvement populaire
L'ancien candidat à la présidentielle a affirmé qu'il était hors de question qu'il se «rassemble» avec «des gens qui sont en train de ruiner le pays et d'étrangler ceux qui ne peuvent pas se défendre».
Il n'a pas été plus tendre avec les députés frondeurs du PS, qu'il accuse de manquer de courage. «Ils confondent l'Assemblée nationale avec le congrès du PS [...] Je leur dis: “Assumez! Pourquoi vous contentez-vous de couiner? Si vous n'êtes pas d'accord avec le budget votez contre”», leur a-t-il intimé.
Appelant de ses voeux un «grand mouvement populaire», il a affirmé qu'il oeuvrerait à la construction d'un «collectif avec des gens qui ne travaillent pas ensemble», en faveur de la VIe République.
«Aller au bout de leur dégoût»
«C'est la règle du jeu qu'il faut changer. Il faut que les Français aillent au bout de leur dégoût, de leur rejet de la caste qui dirige», a-t-il estimé. Il s'est notamment dit prêt à travailler avec les écologistes qui partagent son analyse.
«Mme Duflot, elle a enlevé la muselière, je la félicite. Il lui a fallu deux ans de plus qu'à nous pour comprendre de quoi il retournait», a-t-il pointé.
Son départ et celui de Martine Billard de la coprésidence du PG a été avalisé vendredi soir par le bureau national du parti. Le PG sera désormais dirigé par un secrétariat national d'une vingtaine de membres, avec à sa tête Eric Coquerel, coordinateur politique.
Invité Invité
Sujet: La "Zizanie"...............Suite . Lun Aoû 25 2014, 13:05
Critiques de Montebourg :
"une ligne jaune a été franchie"
selon l'entourage de Valls
Les critiques d'Arnaud Montebourg sur la politique économique du gouvernement ne passent pas auprès de Manuel Valls.
L'entourage du Premier ministre a déclaré dimanche qu'une "ligne jaune" avait été "franchie" et que le Premier ministre était "décidé à agir" en conséquence. "Une ligne jaune a été franchie".
"On considère qu'une une ligne jaune a été franchie dans la mesure où un ministre de l'Economie ne peut pas s'exprimer dans de telles conditions sur la ligne économique du gouvernement et sur un partenaire européen comme l'Allemagne.
Donc le Premier ministre est décidé à agir", a affirmé cette source.
Montebourg "a dépassé les bornes".
Un peu plus tôt dans la journée, le député de l'Essonne Carlos Da Silva, un proche de Manuel Valls, a estimé qu'Arnaud Montebourg avait "dépassé les bornes" avec ses attaques contre la politique gouvernementale.
"La position d'Arnaud Montebourg n'est pas tenable. Il est ministre de l'Economie. Il n'est pas là pour lancer des débats mais pour remettre la France sur le chemin de la croissance", a-t-il déclaré.
Hamon passe entre les gouttes.
Arnaud Montebourg, rejoint par son homologue à l'Education Benoît Hamon, a multiplié les critiques contre la politique économique d'austérité du gouvernement, dimanche à la Fête de la Rose à Frangy-en-Bresse. Benoît Hamon, qui a soutenu Arnaud Montebourg, serait épargné des foudres de Matgnon, selon les informations du Monde.
Taubira rejoint la team des frondeurs ?
Christiane Taubira pourrait elle aussi s'attirer les foudres de Matignon.
Selon une éditorialiste de BFM-TV, la garde des Sceaux se range en effet dans le camp d'Arnaud Montebourg et de Benoit Hamon.
Dans une lettre de soutien qu'elle leur a envoyé, la ministre de la Justice leur aurait écrit "bravo !".
Invité Invité
Sujet: La "Zizanie"...............Suite 2 . Lun Aoû 25 2014, 13:28
Un Nouveau Gouvernement
Sera Annoncé Mardi
François Hollande a chargé Manuel Valls de constituer une nouvelle équipe, au lendemain des critiques d'Arnaud Montebourg.
"Une ligne jaune a été franchie", affirmait dimanche soir l'entourage de Manuel Valls à propos des critiques adressées par le ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg, à la politique menée par le gouvernement. Les conséquences ne se sont pas fait attendre :
François Hollande a chargé Manuel Valls de constituer un nouveau gouvernement, a indiqué l'Elysée lundi. La composition de cette nouvelle équipe sera annoncée mardi.
CE QU'IL FAUT RETENIR
• Manuel Valls a présenté à François Hollande la démission de son gouvernement, a annoncé lundi l'Elysée dans un communiqué.
• Le président de la République a demandé au Premier ministre de composer un nouveau gouvernement. "Sa composition sera annoncée dans la journée de mardi", indique la présidence de la République.
• Cette décision fait suite aux critiques adressées par Arnaud Montebourg à la politique économique de l'exécutif. Mais "il n'y a nulle remise en question de la solidarité gouvernementale", assurait encore le ministre lundi matin, au micro d'Europe 1.
LES DERNIÈRES INFORMATIONS
Pour Fillon, Hollande est dans le "désarroi".
"La démission du gouvernement illustre le désarroi dans lequel se trouve le président de la République face aux conséquences de son inaction", a estimé François Fillon dans un communiqué.
L'ancien Premier ministre doute de la capacité de François Hollande à rebondir après ce nouveau remaniement :
"Tant mieux si cela permet d'engager au moins quelques vraies réformes ! Il est grand temps ! Mais la moitié du quinquennat déjà écoulée augure mal de la capacité du président, quel que soit le gouvernement qu'il choisira, à prendre les décisions indispensables et à provoquer le choc de compétitivité nécessaire". Une crise "grave", estime Chatel.
Pour Luc Chatel, secrétaire général de l'UMP, "la crise politique ouverte par la démission du gouvernement Valls est grave" car "elle est révélatrice de la paralysie d'une gauche au pouvoir qui, faute de majorité politique, est incapable de faire face à l'urgence économique" et parce qu'elle affaiblit notre pays. TOUTES LES RÉACTIONS
Les uns veulent une dissolution, les autres un virage à gauche
Les ministres à Matignon. Manuel Valls reçoit lundi à Matignon successivement chaque ministre du gouvernement démissionnaire, y compris Arnaud Montebourg, dans le cadre de la formation de sa nouvelle équipe gouvernementale, a annoncé l'entourage du Premier ministre.
"Le Premier ministre va recevoir l'ensemble des ministres, à l'exception de Jean-Yves Le Drian, en déplacement sur l'île de Sein avec le président de la République.
Il rencontrera également des personnalités politiques, dont le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, et le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone", a-t-on précisé.
Un nouveau gouvernement sera annoncé mardi
Le Pen veut une dissolution.
La présidente du Front National, Marine Le Pen, a appelé dans un communiqué à une dissolution de l'Assemblée nationale pour répondre à la crise manifestée par la démission du gouvernement de Manuel Valls.
"De l'UMP au PS, les gouvernements se succèdent mais les politiques ne changent pas (...).
Dans ces conditions, il est plus que jamais nécessaire de redonner la parole aux Français et de dissoudre l'Assemblée nationale", écrit celle qui est arrivée avec son parti en tête des élections européennes fin mai. Quid de Benoît Hamon ?
A une semaine de la rentrée scolaire, quel sera le sort du ministre de l'Education ?
Invité ce week-end de la fête de la Rose organisée par Arnaud Montebourg, Benoît Hamon a lui aussi émis quelques piques à l'encontre de la politique économique du gouvernement.
"Arnaud et moi ne sommes pas loin des frondeurs", avait-il affirmé dans Le Parisien.
Le ministre de l'Education s'est rendu à Matignon lundi matin, selon l'envoyée spéciale d'Europe 1.
Un "consensus absolu", assure l'Elysée.
La démission du gouvernement a fait l'objet d'un "consensus absolu" entre le président François Hollande et le Premier ministre Manuel Valls, a assuré l'Elysée.
"Il y a eu un consensus absolu sur l'analyse de la situation et la réponse qu'il convenait d'y apporter", a-t-on déclaré de même source, démentant des informations de la presse selon lesquelles Manuel Valls aurait mis sa démission dans la balance.
LE CONTEXTE
Des critiques répétées.
La décision de constituer un nouveau gouvernement fait suite aux propos virulents d'Arnaud Montebourg à l'encontre de la politique économique menée par l'exécutif.
Après une interview au Monde dans laquelle il affirmait que "les choix politiques ne sont pas figés", samedi, le ministre de l'Economie a récidivé le lendemain.
Dimanche à Frangy-en-Bresse, aux côtés de son collègue de l'Education Benoît Hamon, il a demandé à François Hollande une "inflexion majeure de notre politique économique", assurant qu'il avait "le devoir" de "ne pas se taire" et "de proposer des solutions alternatives".
Dimanche soir, l'entourage de Manuel Valls affirmait qu'une "ligne jaune" avait été "franchie" par Arnaud Montebourg et que le Premier ministre était "décidé à agir" en conséquence.
"Le ministre de l'Economie ne peut pas s'exprimer dans de telles conditions sur la ligne économique du gouvernement et sur un partenaire comme l'Allemagne", soulignait-on à Matignon.
Il persiste et signe.
Invité de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, lundi matin - quelques instants avant que l'annonce d'un nouveau gouvernement soit effectuée - Arnaud Montebourg n'a pourtant pas regretté ses propos.
"Il n'y a nulle remise en question de la solidarité gouvernementale puisque les décisions ne sont pas prises", a-t-il estimé.
Mais à la question de savoir s'il serait encore ministre demain, Arnaud Montebourg a concédé : "je l'ignore".
"Ce que je sais, c'est que je crois avoir dit pendant deux ans les mêmes choses et que maintenant, les faits sont là", a-t-il ajouté.
Que le " Guignol" démissionne aussi
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Lun Aoû 25 2014, 15:17
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Lun Aoû 25 2014, 15:18
Invité Invité
Sujet: La "Zizanie"..............Suite 3 . Lun Aoû 25 2014, 18:43
La "Gueunon" , va faire la "Valls"
Remaniement : ces ministres sur la sellette
SUSPENSE
Au-delà du cas Montebourg, Benoît Hamon, Christiane Taubira ou encore Aurélie Filippetti vont-ils faire les frais de leurs récentes prises de position ?
Qui reste, qui part ?
François Hollande a chargé Manuel Valls de former un nouveau gouvernement, attendu pour mardi, à la suite des critiques d'Arnaud Montebourg à l'encontre de la politique économique menée par l'exécutif.
Si le départ du ministre de l'Economie ne fait guère de doute, certains de ses collègues ont également des raisons de s'inquiéter, notamment parce qu'ils ont eux aussi pris position en faveur d'une inflexion de la politique du gouvernement.
Hamon, le frondeur prudent
Il était l'invité d'honneur de la Fête de la Rose organisée par Arnaud Montebourg, dimanche à Frangy-en-Bresse.
Et le ministre de l'Education, Benoît Hamon, a saisi l'occasion pour s'engouffrer dans la brèche ouverte par les critiques de son collègue de l'Economie.
"Arnaud et moi ne sommes pas loin des frondeurs", a-t-il affirmé au Parisien dimanche.
"Mais notre problème n'est pas d'en prendre la tête", nuançait-il.
"Notre volonté est d'être au service d'un rassemblement de la gauche et de peser au sein même du gouvernement".
Tenant de l'aile gauche du Parti socialiste, le ministre Hamon était pourtant resté discret depuis l'élection de François Hollande.
Nommé à l'Economie sociale et solidaire en 2012, il avait été promu à l'Education nationale lors du remaniement d'avril dernier, un poste qui en faisait le numéro 4 du gouvernement.
Ses déclarations du week-end, plaidant pour "une relance de la demande", sonnent comme son premier véritable coup d'éclat, même s'il a pris soin de modérer ses propos.
"On peut avoir un avis, une conviction, l'exprimer et être loyal", a-t-il assuré dimanche.
Par ailleurs, à une semaine d'une rentrée scolaire compliquée par la réforme des rythmes scolaires, pas sûr que l'exécutif prenne le risque de changer le titulaire du portefeuille de l'Education.
Dimanche soir, alors qu'il affirmait qu'Arnaud Montebourg avait franchi "une ligne jaune", l'entourage de Manuel Valls se montrait plus clément à l'égard de Benoît Hamon.
"Il n'est pas ministre de l'Economie, ce n'est pas tout à fait la même chose", indiquait ainsi Matignon au Monde.
De son côté, l'intéressé ne semble pas vouloir faire plus de vagues.
"On est assez serein, on est au travail", indiquait lundi matin l'entourage de Benoît Hamon, peu après l'annonce de la démission de l'ensemble du gouvernement.
"On n'est pas du tout dans un état démissionnaire", ajoutait-on, insistant sur la rentrée "qui est sur les rails".
Taubira, le blues d’une "ministre-cible"
Taubira, la rivale de Valls
Depuis l'élection de François Hollande, elle est la principale rivale de Manuel Valls au sein du gouvernement.
Lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, la Garde des Sceaux s'était violemment opposée à lui sur la réforme pénale.
Christiane Taubira avait pourtant réussi à conserver son poste lorsque Valls avait été nommé à Matignon, en mars.
Mais sa proximité avec Arnaud Montebourg et Benoît Hamon pourrait jouer en sa défaveur.
On se souvient des dîners organisés l'année dernière entre ces ministres, les plus à gauche du gouvernement.
En juin, Christiane Taubira a aussi défendu les députés "frondeurs" du PS, en exigeant "qu'il y ait des espaces de débats, des espaces d’amélioration des textes".
Enfin, selon une journaliste de BFMTV, la ministre de la Justice a envoyé dimanche un message de soutien à Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, après leurs déclarations critiques à l'encontre de l'exécutif.
"Bravo !", leur aurait-elle écrit.
Un autre élément qui pourrait jouer en sa défaveur.
Filippetti craint une privatisation d’EDF Filippetti, le maillon faible
Aurélie Filippetti a anticipé une très probable sortie du gouvernement.
Dans une lettre adressée à François Hollande et Manuel Valls, la ministre de la Culture a déclaré ne pas être "candidate à un nouveau poste ministériel", préférant "la loyauté à ses idéaux" au "devoir de solidarité" gouvernementale, dans un courrier transmis à l'AFP.
Aurélie Filippetti était plus que jamais sur la sellette.
D'abord parce qu'elle aussi avait exprimé sa sympathie pour Arnaud Montebourg et Benoît Hamon dimanche, en leur souhaitant sur Twitter "une belle journée" pour la Fête de la Rose.
Mais aussi en raison de plusieurs ratés dans la gestion de ses dossiers.
La crise des intermittents du spectacle, dont la grève a paralysé plusieurs festivals cet été, reste notamment en travers de la gorge de l'exécutif.
Mercredi, le Canard enchaîné rapportait qu'"à l'Elysée comme à Matignon, on miserait sur un départ d'Aurélie Filippetti lors du remaniement post-sénatoriales", c'est-à-dire fin septembre.
L'affaire Montebourg va-t-elle avancer la date de l'exécution ?
Invité Invité
Sujet: La "Zizanie"..............Suite 4 . Lun Aoû 25 2014, 21:00
Remaniement : Benoît Hamon n'en sera pas
Benoît Hamon suit la ligne d'Arnaud Montebourg et Aurélie Filippetti.
Le ministre de l'Education nationale a démissionné de son poste, a-t-il confirmé sur France 2 lundi soir.
Dans la journée, l'ex-ministre de l'Economie avait d'ores et déjà adressé ses remerciements à son ancien collègue, qui a "fait le choix de [ses] convictions".
"Je ne participerai pas au prochain gouvernement de Manuel Valls", a-t-il déclaré.
"Nous avons été élus pour améliorer la situation concrète de nos compatriotes", continue l'ex-ministre.
"C'est pour cela qu'ils ont choisi la gauche", se souvient Benoît Hamon qui estime que la politique de rigueur "ne nous permet pas d'atteindre ces objectifs".
"Une situation nouvelle".
La politique de rigueur, à laquelle s'était engagée le candidat Hollande, a atteint un nouveau stade, selon Benoît Hamon.
Aujourd'hui, la déflation menace. [...]
Et il y a surtout un déferlement politique qui s'appelle le Front national , a souligné l'ex-ministre, rappelant le score du parti extrémiste aux élections européennes.
L'homme politique, qui faisait ses premiers pas dans un gouvernement, a tenu à "remercier [François Hollande] de sa confiance pendant ces deux ans et demi".
La rentrée dans 10 jours.
A quelques jours de la rentrée scolaire, l'ancien ministre de l'Education veut rassurer les Français sur un point : "la rentrée a été bien préparée".
"Heureusement, elle ne se prépare pas une semaine avant".
Et de "Trois"
Reste la "Vieille Peau de Banane"
Invité Invité
Sujet: La "Zizanie"..............Suite 5 . Mar Aoû 26 2014, 10:02
Manuel Valls va annoncer ce mardi matin la nouvelle équipe gouvernementale.
Quels sont les changements évoqués ?
Christiane Taubira laisserait sa place à André Vallini
La Garde des Sceaux pourrait être remplacée par André Vallini, actuel secrétaire d'État chargé de la Réforme territoriale
Mettons le au frais et
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 10:38
Dernière tendance
Manuel Valls va annoncer ce mardi surement ce soir la nouvelle équipe gouvernementale
Et la Garde des Sceaux Madame Christiane Taubira resterait à ça place
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 11:11
Putain de Manuel Valls
Bon , je retourne a l'église :
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 11:21
On reste donc dans la planète des singes (j'allais mettre SUR)
Remaniage d'un aveugle par un cul de jatte ? étonnant
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 15:18
Connais pas encore la suite, mais ces parasites ont une faculté indéniable: Mort de faim, ça s'accroche !!
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 15:33
Merci mon Frère Para
Gouvernement : Manuel Valls veut une "armée"
Qui pour succéder à Montebourg ? Les Verts vont-ils revenir ? Quels ministres seront promus ?
Les rumeurs vont bon train.
Manuel Valls, qui annoncera son nouveau gouvernement mardi après-midi, veut "une armée" . La formule est de l'un de ses plus proches.
" Pas une armée gauloise où tout le monde se bastonne, mais une armée romaine au cordeau", précise-t-on.
Même tonalité à l'Elysée :
François Hollande a demandé à Manuel Valls de "composer un gouvernement de clarté sur la ligne, les comportements, la composition et la majorité", a indiqué l'Elysée, quelques heures avant l'annonce officielle des noms.
"On ne veut que des loyaux, des fidèles qui sont prêts à monter au front sans états d'âme, sur la première ligne", précise un conseiller de François Hollande.
L'objectif : redonner confiance aux investisseurs, mais surtout aux entreprises et aux Français.
Matignon veut "des pros". Mais pour former une armée, il faut des soldats.
Qui seront les élus ? Sur les profils, l'entourage de Valls se veut très ferme.
"Nous voulons des pros, opérationnels tout de suite"
dit-on à Matignon, en assurant qu'il s'agit "d'un vrai remaniement, pas seulement de quelques ajustements".
Des propos qui font écho au son de cloche entendu avant le remaniement d'avril dernier, lorsque François Hollande promettait dans une allocution télévisée "un gouvernement de combat" !
Une équipe qui n'aura tenu que 147 jours…
Une entrée de Collomb ?
En attendant la liste officielle, les rumeurs et pronostics vont bon train.
Parmi les noms les plus fréquemment cités, on trouve celui du maire de Lyon, Gérard Collomb (photo), proche de la ligne politique de Manuel Valls.
On parle aussi de Bertrand Delanoë, mais l'ancien maire de Paris n'a pas très envie de sortir de sa retraite.
Pour Bercy, au poste laissé vacant par Arnaud Montebourg, les noms de Louis Gallois, président du conseil de surveillance de PSA, et Pascal Lamy, l'ancien directeur de l'OMC, reviennent sur le tapis.
Egalement cité, Emmanuel Macron, ancien conseiller économique de François Hollande, qui a quitté l'Elysée en juillet.
Placé négocie.
Du côté d'Europe Ecologie-Les Verts, l'idée d'un retour au gouvernement est dans l'air.
Mais en coulisses, le parti met la pression sur les intéressés.
Il serait même question d'exclure ceux qui accepteraient la main tendue de Manuel Valls.
"Il y a des Verts qui négocient avec le Premier ministre", a confirmé Daniel Cohn-Bendit, mardi matin sur Europe 1.
Mais à EELV, la ligne est claire, selon lui : "ce seront des individualités, ils n'iront pas en tant que représentants du parti".
"Jean-Vincent Placé négocie parce que, comme François de Rugy (coprésident du groupe EELV à l'Assemblée, NDLR), il a toujours défendu l'idée qu'il fallait continuer à participer à ce gouvernement", a poursuivi Daniel Cohn-Bendit.
La députée Barbara Pompili pourrait, elle aussi, être tentée par une aventure personnelle.
Mais pour Daniel Cohn-Bendit, "ils ne pourront entrer au gouvernement que s'ils ont vraiment quelque chose : l'arrêt de Notre-Dame-des-Landes, que la transition énergétique soit vraiment une transition énergétique, avec en perspective l'arrêt de deux ou trois centrales nucléaires".
Chaises musicales.
Des réajustements en interne sont également prévus.
Certains secrétaires d'Etat pourraient prendre du galon, comme Thierry Mandon (réforme de l'Etat), Fleur Pellerin (Commerce extérieur) ou Jean-Marie Le Guen (Relations avec le Parlement).
Manuel Valls pourrait aussi vouloir faire entrer quelques proches, comme le sénateur Luc Carvounas ou le député Jean-Jacques Urvoas, déjà pressenti pour la Justice au printemps dernier.
Pour Taubira, Dieudonné est un "pitoyable bouffon"
Taubira partie pour rester
Reste l'interrogation Christiane Taubira.
L'entourage de la Garde des Sceaux a indiqué mardi matin au Monde qu'elle ferait bien partie de la nouvelle équipe de Manuel Valls et devrait conserver son portefeuille.
Mais des rumeurs l'envoyaient plutôt succéder à Aurélie Filippetti au ministère de la Culture.
Quoi qu'il en soit, le suspense sera levé avant mardi soir.
Car comme le précise l'Elysée, la nouvelle équipe se réunira dès mercredi matin pour son premier Conseil des ministres.
" Pas une armée gauloise où tout le monde se bastonne, mais une armée romaine au cordeau", précise-t-on.
Quelle "Insulte pour nos "Enfants de France"
Qui sont de part le monde , risquant leurs vies chaque jours pour ces
Ces qui depuis deux ans et demi , mènent notre pays a la Faillite
Une "ARMEE" de branquignoles , donnant le aux "Islamistes"
Une "ARMEE" qui n'a jamais tenue une arme dans ses mains
Une "ARMEE" qui n'a jamais portée d'uniforme
Une "ARMEE" de sans Couilles
En bref : "l'ARMEE des Couloirs"
C'est a dire une "ARMEE" de RIEN
Voici notre "Belle Armée"
Putain , j'ai envie de
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 16:58
Qui dit Armée dit Bannière et Uniforme La coiffure sera forcément:
... et pour le drapeau:
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 17:32
"A l'Armée de Hollandie"
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 17:35
:666:
artificier
Nombre de messages : 1240 Age : 60 Date d'inscription : 25/02/2014
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 18:50
Invité Invité
Sujet: La "Zizanie" ....Fin de première Mi/Temps ............... Mar Aoû 26 2014, 20:23
Vas y mon Didier , tu peux "Vomir dessus
Gouvernement Valls II : la liste intégrale
NOMINATIONS
Emmanuel Macron remplace Arnaud Montebourg à l'Economie. Najat Vallaud-Belkacem succède à Benoît Hamon à l'Education.
Le nouveau gouvernement a été annoncé mardi vers 18h45 par Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général de l'Elysée.
Manuel Valls prend donc la tête de son deuxième gouvernement en moins de six mois.
La liste des ministres
1 - Manuel Valls, Premier ministre
2 - Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international
3 - Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie
4 - Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche 5 - Christiane Taubira, Garde des Sceaux et ministre de la Justice
6 - Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics
7 - Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense
8 - Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes
9 - François Rebsamen, ministre du Travail et de l'Emploi
10 - Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur
11 - Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, porte-parole du gouvernement
12 - Emmanuel Macron, ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique
13 - Sylvia Pinel, ministre du Logement et de l'Egalité des territoires
14 - Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique
15 - Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication
16 - Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports
17 - George Pau-Langevin, ministre des Outre-mer
Les secrétaires d'Etat
Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement
Thierry Mandon, secrétaire d'Etat chargé de la Réforme de l'Etat et de la Simplification
Harlem Désir, secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes
Annick Girardin, secrétaire d'Etat chargée du Développement et de la Francophonie
Thomas Thevenoud, secrétaire d'Etat chargé du Commerce
Alain Vidalies, secrétaire d'Etat chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche
Geneviève Fioraso, secrétaire d'Etat chargée de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Christian Eckert, secrétaire d'Etat chargé du Budget
Kader Arif, secrétaire d'Etat chargé des Anciens combattants et de la Mémoire
Laurence Rossignol, secrétaire d'Etat chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l'Autonomie
Ségolène Neuville, secrétaire d'Etat chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion
Pascale Boistard, secrétaire d'Etat chargée des Droits des femmes
Carole Delga, secrétaire d'Etat chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Economie sociale et solidaire
Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat chargée du Numérique
André Vallini, secrétaire d'Etat chargé de la Réforme territoriale
Myriam El Khomri, secrétaire d'Etat chargée de la Politique de la ville
Thierry Braillard, secrétaire d'Etat chargé des Sports
La "Taub" est toujours là
Pour les autres , je "Boulègue" et je recommence
La Centurie a rejoint ses rangs ; les affaires vont reprendre .
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Mar Aoû 26 2014, 22:05
Ce n'est pas Bonnet-Blanc et Blanc-Bonnet C'est Merde-Noire et Noir-Caca...
Invité Invité
Sujet: Re: La "Zizanie" Ven Aoû 29 2014, 10:41
Montebourg : ses confidences explosives sur Hollande
o - CA BALANCE - o
L'ex-ministre de l'Economie se déclarait fin juin 2014 en "cohabitation" avec François Hollande, un président "qui ment tout le temps.
Son discours très offensif de Frangy-en-Bresse, dimanche dernier, a eu raison d'Arnaud Montebourg, évincé le lendemain du gouvernement.
Cela faisait pourtant bien longtemps que l'ex-ministre de l'Economie ne se sentait plus en phase avec le chef de l'Etat.
Un ouvrage* à paraître prochainement raconte à quel point le chantre du "made in France" avait la dent dure avec le chef de l'Etat, un homme "qui ment tout le temps".
"Avec Hollande, on ne peut plus discuter."
Le 27 juin 2014, lors d'un entretien avec l'auteur du livre, Arnaud Montebourg confie avoir "des rapports minimalistes avec le président de la République. Je me considère en cohabitation.
Le président préside, mais nous, on fait", avant de préciser sa pensée :
"Avec François Hollande, on ne peut plus discuter. Donc on ne discute plus. Ça ne sert à rien, les discussions avec lui sont inutiles. Sympathiques, mais inutiles. Depuis que je suis ministre de l'Economie, je ne vais plus discuter avec lui à l'Elysée. Je passe mon temps à Matignon. D'ailleurs, j'ai donné instruction à mes équipes de ne plus aller à l'Elysée".
"Hollande ment tout le temps."
Lors d'un autre entretien, le 25 octobre 2013, en plein cœur de l'affaire Léonarda, alors que Jean-Marc Ayrault est encore Premier ministre, Arnaud Montebourg estime que la réaction de l'exécutif est "une catastrophe".
Ca ne va pas durer longtemps comme ça.
"Valls, Peillon... On en a tous marre, on a tous envie de se barrer... C'est plus possible, vraiment, c'est n'importe quoi... On laisse la porte ouverte au FN. On n'en peut plus, on est au bout. Cet amateurisme, c'est plus possible, ce n'est pas croyable".
Encore une autre discussion, début janvier 2014 :
"Hollande ment tout le temps. C'est pour ça qu'il est à 20% dans les sondages. Il ment. Il ment tout le temps. Depuis le début."
"Je lui dis tout mais il ne m'écoute pas"
" Une charge sévère, que le ministre répète dans un reportage qui lui est consacré dans "Envoyé spécial" sur France 2.
"J'ai passé des soirées avec les gens pour leur expliquer dans quelle situation très difficile on était. C'est ce que devrait faire Hollande avec la France", lâche-t-il à la journaliste, avant de regretter que François Hollande "ne le fasse pas assez. Je lui dis tout mais il ne m'écoute pas. Ce n'est pas grave, il fait ce qu'il veut."
Montebourg ne veut pas "briguer de nouveau mandat".
Virulent à l'égard de l'exécutif, l'ancien ministre va désormais devoir se trouver une place sur l'échiquier politique, lui qui n'est plus "que" conseiller général de Saône-et-Loire.
Mais à en croire son interview accordée jeudi au journal de la Saône-et-Loire (JSL), l'ancien ministre ne souhaite pas "briguer de nouveau mandat".
"Je dis à tous ceux qui ont beaucoup d'idées pour moi, ce dont je les remercie infiniment - que je ne souhaite pas continuer dans l'action publique telle que je l'ai menée jusqu'ici. J'ai une vision de l'engagement politique qui est personnelle et différente, elle peut passer par toute autre forme d'action et qui n'est pas forcément celle de l'exercice d'un mandat électif", a-t-il ajouté.
Est-ce que cela veut dire qu'il fait l'impasse sur la prochaine élection présidentielle, alors qu'on lui prête cette ambition ? "2017, c'est loin."
*"Montebourg, moi président", par Valentin Spitz, Edition L'Archipel.
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Sujet: Re: La "Zizanie" Ven Aoû 29 2014, 14:16
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La "Zizanie"
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