Détecteur de radars : Que dit la loi ? Suite au nouveau décret du 4 janvier 2012 visant à interdire l'utilisation du détecteur de radar, l'assistant d'aide à la conduite a pris place sur nos tableaux de bord. Pour ne pas risquer d'être durement sanctionné, mieux vaut savoir ce que dit la loi.
Détecteur de radars : interdiction totale L'utilisation, le transport et la possession d'un détecteur de radars sont totalement interdits depuis le 04/01/2012.
Et le décret en question annonce clairement la couleur : toute entorse à cette réglementation entraîne un retrait de six points sur le permis de conduire et une amende de 1 500 euros.
Est considéré comme détecteur de radars tout dispositif capable de discerner un appareil utilisé pour relever les infractions commises par les usagers de la route.
En d'autres termes, les possesseurs de GPS, de smartphone ou de tout autre produit numérique qui n'est pas nécessairement répertorié dans la catégorie des détecteurs de radars, s'exposent à des sanctions.
Assistant d'Aide à la Conduite et détecteur de radar : quelle différence ? Entre détecteur de radars et assistant d'aide à la conduite, la différence est peut-être infime pour l'utilisateur, mais manifeste si l'on en croit la réglementation en vigueur.
En effet, cet outil conçu pour aviser un conducteur qu'il s'apprête à traverser une zone dangereuse, n'est pas considéré comme un détecteur de radar aujourd'hui prohibé.
N'oublions pas que les radars sont installés dans des zones réputées dangereuses où la vigilance s'impose et où le ralentissement est de mise.
Partage des informations : autorisé ou non ? L'assistant d'aide à la conduite parfois appelé outil d'aide à la conduite, permet aux utilisateurs, via la fonction communautaire, de signaler des dangers tels que bouchons, accidents, travaux et bien d'autres.
Ces zones dangereuses peuvent comprendre un radar ou pas...
Reste à s'assurer que l'on possède un appareil autorisé.
Pour ce faire, il suffit de vérifier s'il porte bien l'estampille NF. Bonne Route de Vacances