Enfants soldats en 1914-1918

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Titre : Le plus jeune sergent de l'armée française âgé de 16 ans [posant en uniforme] : [photographie de presse] / [Agence Rol]

Auteur : Agence Rol. Agence photographique

Date d'édition : 1914

Sujet : Guerre mondiale (1914-1918)

Sujet : Sous-officiers -- France

Sujet : Militaires français

Sujet : France. Armée -- Sous-officiers

Type : Photographie de presse -- 1900-1945,image fixe,photographie

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Enfants soldats en 1914-1918 310120520-photo

Stéphane Audoin-Rouzeau, historien spécialiste de la Grande guerre, professeur à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales

La guerre des enfants : 1914-1918

http://www.franceculture.fr/oeuvre-la-guerre-des-enfants-1914-1918-de-st%C3%A9phane-audoin-rouzeau.html

Enfants-soldats malgré eux

Par Louyot Alain, publié le 05/11/1998

http://www.lexpress.fr/informations/enfants-soldats-malgre-eux_631104.html

Tout au long de la Grande Guerre, la propagande ne cessa d'utiliser l'image de l'enfance combattante. En France, le phénomène eut plus d'ampleur qu'outre-Rhin. Pourquoi? L'historien Stéphane Audoin-Rouzeau répond et commente les cartes postales de l'époque

Stéphane Audoin-Rouzeau, professeur à l'université d'Amiens, codirecteur du Centre de recherche de l'Historial de la Grande Guerre de Péronne, coauteur de La Grande Guerre, 1914-1918, avec Annette Becker (Découvertes Gallimard), et de La Guerre des enfants, 1914-1918, essai d'histoire culturelle (Armand Colin).

Pourquoi a-t-on tant exploité l'image de l'enfant durant la Grande Guerre?

Pendant tout le XIXe siècle, on assiste en France à une montée du culte de l'enfant, comme le prouve, notamment, l'accent mis par la IIIe République sur l'école et l'éducation.
Mais l'irruption de l'enfance dans la "culture de guerre" s'explique surtout par le sens qui a été attribué à la Grande Guerre par ses contemporains.
L'exploitation de l'image de l'enfance est un signe incontestable de la "totalisation" du conflit, le symbole du surinvestissement des sociétés européennes dans la guerre.
Dès le début, l'affrontement est vécu comme un choc de civilisations.
Du point de vue français, c'est une civilisation qui se heurte à une barbarie, en l'occurrence l'Allemagne.
Pour les Allemands, la barbarie est russe.
Tout le monde a son barbare et chacun croit combattre pour un stade supérieur de la civilisation humaine.
La guerre est donc voulue comme civilisatrice, elle doit permettre de créer un homme nouveau.

Or le germe de cet homme nouveau n'est autre que l'enfant.
Cet éclairage est loin de l'interprétation traditionnelle, qui mettait plutôt en avant les égoïsmes nationaux...
En effet. Pendant longtemps, on n'a pas assez vu combien la guerre de 1914-1918 fut vécue comme le dernier effort nécessaire à l'ouverture d'une nouvelle ère.
C'est ce qui explique pourquoi on a atteint et supporté un tel degré d'atrocité.
La guerre est d'une violence insensée, elle entraîne des sacrifices inouïs, parce que, croit-on, c'est la dernière fois qu'on se livre à une telle tuerie.
Si l'on gagne, il n'y aura plus de guerre de ce type.
C'est le mythe de la "der des der".
On est en présence d'une forme de millénarisme.
Millénarisme laïcisé, tout de même...
Absolument.
Du sacrifice suprême on attend un monde meilleur.
On ne l'attend pas pour soi, on l'attend pour ses enfants.
La guerre est faite au nom des enfants.
Et l'enjeu de civilisation est si considérable que ces derniers se doivent de participer à leur manière à l'effort de guerre.
D'où le discours d'implication de l'enfance: par l'école, la famille, l'Eglise, le jouet, la carte postale, les bandes dessinées, etc.
C'est ainsi que les enfants finissent par incarner le sens même du conflit.
Comment les enfants réagissent-ils eux-mêmes?
Les enfants se sentent mobilisés.
Certains cherchent à participer directement à la guerre.
Il existe, par exemple, de nombreux cas de fugues héroïques dans des écoles parisiennes.
Des garçons d'une dizaine d'années s'enfuient, prennent le train et cherchent à gagner le front.
En général, les gendarmes les arrêtent et les ramènent chez eux.
C'est un phénomène marginal qui ne fait l'objet d'aucune statistique, mais il faut croire qu'il y a eu suffisamment de cas de ce type pour qu'une psychologue consacre alors une étude à ce sujet.
De même, pendant toute la durée de la guerre, on trouve dans la presse locale des petites annonces, des avis de recherche faisant appel à témoins pour retrouver des enfants fugueurs, qui sont partis rejoindre leur frère, leur père ou leur oncle au front.
Les enfants ne se sont tout de même pas battus dans les tranchées...
Au début de la guerre, il semble que certains adolescents aient réussi à participer à des combats. Plusieurs d'entre eux ont suivi des régiments et ont pu parfois être blessés. Le phénomène a été suffisamment notable pour motiver une circulaire de Joffre interdisant cette dérive.
Reste un paradoxe: comment se fait-il que la France, qui souffre depuis la fin du XIXe siècle d'un affaiblissement démographique, n'hésite pas à enrôler ses enfants dans la propagande de guerre?
C'est effectivement un paradoxe.
Mais on le comprend si l'on saisit bien l'intention des contemporains.
On pense en général que "la guerre fera du bien aux enfants".
Phrase terrible, qui résume parfaitement l'état d'esprit de l'époque.
Derrière tout cela, il existe une profonde anxiété: la dépopulation, la dégénérescence de la race, la diminution du poids de la France en Europe, etc.
Anxiété bien réelle: le pays subit une telle saignée qu'il faut absolument prévoir la relève et faire beaucoup d'enfants.
L'exploitation de l'enfance est-elle commune à tous les pays?
Oui, mais le discours adulte à l'égard des enfants a été plus radical en France qu'ailleurs.
Il ne faut pas oublier que la guerre se déroule sur le sol français et que la France est la nation qui subit le plus de pertes.
Personne n'a protesté?
Il y a eu des réticences, notamment dans le milieu éducatif de gauche, qui s'indigne de l'instrumentalisation de l'enfance et du poids de la guerre sur l'enseignement officiel.
Mais ces retenues sont restées minoritaires parce que la culture dominante englobait l'enfant dans la guerre.

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L'Histoire d'Émile Desprès dans la revue illustrée « Les Trois Couleurs » (début 1915)
La littérature pour enfants, notamment, permet de recenser plus d’une centaine d’enfants héros entre 1914 et 1918. L’enfant héros le plus célébré pendant la guerre est Émile Desprès, âgé de 13-14 ans, mineur de profession, originaire de Lourches dans le Nord, et condamné à être fusillé pour avoir donné à boire à un sergent français blessé. Il fait mine d’accepter de tuer lui-même ce dernier afin d’avoir la vie sauve et retourne l’arme contre l’officier allemand. Il est fusillé.

http://ticeme.com/index.php?option=com_content&view=article&id=47:ww1-une-guerre-totale&catid=89&Itemid=166

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Enfants soldats en 1914-1918

Désiré Bianco, enfant de 13 ans tué au combat aux Dardanelles ...
Jean Corentin Carré, engagé à 15 ans sous une fausse identité ...
André Marcel Dieudonné, avait 16 ans à son engagement et a sans doute trompé le bureau recruteur ...
François Marius Ratto, enfant suivant le 27e BCA depuis le début de la guerre ...
Adrien Thierry, il semble qu’un gamin de 16 ans ait choisi de suivre le 9e R.I. ...
Marceau Weber, Marceau part à 14 ans rejoindre au front son frère aîné Gilbert ...

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Désiré Bianco

Désiré Bianco est donné comme le plus jeune poilu et le plus jeune mort pour la France de la Première Guerre Mondiale.
Trop jeune pour être mobilisable à l'armée, il s'embarque clandestinement, le 2 mai 1915, depuis le port de Toulon sur le France, paquebot chargé de convoyer le 58^e régiment d'infanterie coloniale à destination du détroit des Dardanelles en Turquie où, depuis le mois de février, un corps expéditionnaire anglo-français tente une percée sur le front d'Orient.
Devenu pupille du régiment, il accompagne la troupe lors de son débarquement sur une plage de la péninsule de Gallipoli. D'après le témoignage du soldat Louis Nicolas, Désiré s'élance le 8 mai devant l'ennemi en brandissant un sabre dans sa main droite et criant « En avant, à la baïonnette ! » avant d'être tué au combat à l’âge de 13 ans.

Il est cité à l'ordre de l'armée par le général Joffre le 30 août 1916 :
« Jeune enfant de 13 ans n'écoutant que ses sentiments enthousiastes est parvenu à se glisser sur le transport "LA FRANCE" avec les hommes du 58e régiment d'infanterie coloniale embarqués sur ce paquebot, débarqué à Sedul Bahr, Dardanelles avec ce régiment a fait preuve de vaillance et de grand courage à l'assaut du 08 mai 1915 où il a été tué en s'élançant aux cris de "EN AVANT ! A LA BAÏONNETTE !" »

Médaille militaire, médaille d'or de la bravoure militaire serbe, une avenue porte son nom à Marseille, ville dont il est originaire.
Fiche Mémoire des hommes
Fiche Mémoire des hommes
§ Nom : Bianco
§ Prénoms : Desiré
§ Grade : Pupille du (rayé)
§ Corps : 58e régiment d'infanterie coloniale
§ Matricule : ?
§ Matricule : ?
§ Mort pour la France le : 8 mai 1915
§ à : région du fortin de l'haricot (Dardanelles, Turquie)
§ Genre de mort : tué à l'ennemi
§ Né le : 4 avril 1902
§ à : Caraglio Italie
§ Jugement rendu le : 14 janvier 1920
§ par le tribunal de : Marseille
§ acte ou jugement transcrit le : 25 août 1920
§ à : Marseille
Relevés mémorial
§ Marseille 08 (13) : Relevé n° 45511, plaque commémorative située dans la basilique du Sacré-Cœur avenue du Prado au fronton de laquelle est indiqué « A tous les soldats morts pour la France, Marseille reconnaissante ».
Relevé initial effectué par : Laetitia FILIPPI, 2053 personnes, mis en ligne : 02/06/2009

§ Toulon (83) : Relevé n° 16705, stèle Commémorative.
Relevé initial effectué par : Bruno NICOLAS, 1 personne, mis en ligne : 25/11/2003

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Jean Corentin Carré

Enfants soldats en 1914-1918 Bp02-434679

Jean Corentin Carré engagé à 15 ans sous une fausse identité « Sergent Auguste Duthoy, né à Rumigny (Ardennes), le 10 avril 1897, engagé pour la durée de la guerre à Pau (Basses-Pyrénées) le 27 avril 1915, et cité à l'ordre du corps d'armée le 27 novembre 1916 »

Il s'agit de Jean Carré, né à Le Faouët (Morbihan) le 9 janvier 1900, de la classe 20 et non de la classe 17 qui écrit à son Colonel en décembre 1916, alors qu'il va avoir 17 ans, l'âge légal pour un engagement militaire (en lui révélant sa véritable identité et en lui demandant de pouvoir souscrire un nouvel engagement sous sa véritable identité) : « Je ne suis pas plus patriote qu'un autre ; mais je considère qu'un Français, lorsqu'il est assez fort pour faire un soldat, est un lâche s'il reste à l'arrière ».
Il quitte l'infanterie pour l'aviation et est Mort pour la France en combat aérien à 18 ans. Citation à l'ordre de l'armée : « Attaqué par trois avions ennemis le 18 mars 1918, s'est défendu énergiquement jusqu'à ce que son appareil soit abattu, l'entraînant dans une mort glorieuse ».
Croix de guerre 1914-1918.
Il est inhumé à la nécropole nationale de Rembercourt-aux-Pots (55), tombe no 1510, il est le fils de Louis et Marie Le Nigen.
Fiche Mémoire des hommes

Fiche Mémoire des hommes[1]
Nom : Carré
Prénoms : Corentin Jean
Grade : Adjudant Pilote
Corps : 410e R.I.
Matricule : 9853 cl 1916/1917
Matricule : 77 541 au Recrutement de Mézières Lorient
Mort pour la France le : 18 mars 1918
à : Souilly Hôp compl no 4
Genre de mort : blessure de guerre
Né le : 9 janvier 1900
à : Le Faouët
Jugement rendu le :
par le tribunal de :
acte ou jugement transcrit le : 25 janvier 1919
à : Faouët
Relevés mémorial

Le Faouët (56) : Relevé n° 8138, monument commémoratif jardin public
Relevé initial effectué par : Jean LE FLOCH, 1 personne, mis en ligne : 06/10/2002
Le Faouët (56) : Relevé n° 12596, monument aux morts à côté de l'église
Relevé initial effectué par : Jean LE FLOCH, 192 personnes, mis en ligne : 21/04/2003
Rembercourt-aux-Pots (55) : Relevé n° 1804, nécropole nationale
Relevé initial effectué par : Jean-Pierre LEISEN, 2168 personnes, mis en ligne : 2000-2002

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André Marcel Dieudonné

André Marcel Dieudonné engagé en 1915 à Vincennes au 26e B.C.P.

Né à Châlons le 09/09/1899, il est tué à l'ennemi (Mort pour la France) à Venteuil (51) le 16/07/1918.
Il avait 16 ans à son engagement et a sans doûte trompé le bureau recruteur.
Fiche Mémoire des Hommes

Fiche Mémoire des hommes[1]
Nom : Dieudonné
Prénoms : André Marcel
Grade : 2eme classe
Corps : 5e groupe cycliste 26e bataillon de chasseurs
Matricule : 1117 EV1915
Matricule : 1436 au Recrutement de Châlons-sur-Marne
Mort pour la France le : 16 juillet 1915
à : Venteuil
Genre de mort : tué à l'ennemi
Né le : 9 septembre 1899
à : Châlons-sur-Marne
Jugement rendu le :
par le tribunal de :
acte ou jugement transcrit le : 29 octobre 1919
à : Châlons-sur-Marne
Relevés mémorial

Châlons-sur-Marne (51) : Relevé n° 5124, monument commémoratif Carré de corps restitués du cimetière de l'Ouest - Section L - Terrain réservé aux militaires chalonnais, Morts pour la France - Corps restitués aux familles.
Relevé initial effectué par : Alain GIROD, 29 personnes, mis en ligne : 24/02/2002
Châlons-sur-Marne (51) : Relevé n° 29832, monument aux morts tous conflits appelé « La dernière Relève », dû au sculpteur et ancien combattant Gaston Broquet, inauguré le 21 ctobre 1926 et situé près de la cathédrale Saint-Étienne, rue de la Marne.
Relevé initial effectué par : Alain GIROD et Stéphanie HARKOUS, 1136 personnes, mis en ligne : 03/10/2006
Châlons-sur-Marne (51) : Relevé n° 30177, livre d'or - Militaires et civils Morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale.
Relevé initial effectué par : Alain GIROD, 781 personnes, mis en ligne : 23/05/2006

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François Marius Ratto

François Marius Ratto, enfant suivant le 27e B.C.A. depuis le début de la guerre.

Enfants soldats en 1914-1918 Bp04-1234428

Le 23 novembre 1914, François Ratto est blessé grièvement par un éclat d'obus, évacué vers le poste de secours, il s'éteint le lendemain des suites de ses blessures.
Mort pour la France à 16 ans, médaille militaire à titre posthume « Parti de Menton avec le 27e bataillon de chasseurs alpins a marché constamment dans ses rangs et a combattu avec lui depuis le début des hostilités, payant d'exemple et montrant la plus héroïque bravoure ; a été grièvement blessé le 23 novembre par un éclat d'obus qui lui a sectionné presque entièrement le pied ; au milieu des plus cruelles souffrances, il a conservé sa gaieté »
Il est inhumé dans le carré militaire de Furnes en Belgique.
Fiche Mémoire des hommes

Fiche Mémoire des hommes[1]
Nom : Ratto
Prénoms : François Marius
Grade : enfant suivant le
Corps : 27e bataillon de chasseurs alpins depuis le début de la guerre
Matricule : cl 1918
Matricule :
Mort pour la France le : 24 novembre 1914
à : Furnes (Belgique)
Genre de mort : blessure de guerre
Né le : 18 avril 1898
à : Roquebrune cap Martin (06)
Jugement rendu le :
par le tribunal de :
acte ou jugement transcrit le : 10 août 1932
à : Roquebrune cap Martin
Relevés mémorial

Roquebrune-Cap-Martin (06) : Relevé n° 24990 monument aux morts (Relevé n° 24990) sur la place de l'église de Roquebrune-Village
Relevé initial effectué par : Monique BOURGEOIS-MARTELLI, 101 personnes, mis en ligne : 08/09/2005
Veurne (Furnes), province de Flandre Occidentale : Relevé n° 33441 carré militaire (Relevé n° 33441) situé dans le cimetière commual de Furnes rue Oude Vestingstraat, 148 tombes individuelles et un ossuaire de 80 militaires
Relevé initial effectué par : Jean-Paul CAMPADIEU, 250 personnes, mis en ligne : 15/01/2007

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Adrien Thierry

Adrien Thierry, né le 14 juillet 1898 à Paris 12e, fils de François Charles et de Louise Emélie Helin et Mort pour la France le 30 décembre 1914 à Perthes-les-Hurlus (51).

Voici une histoire étonnante résumée sur la fiche Mémoire des hommes, il semble qu’un gamin de 16 ans ait choisi de suivre le 9eR.I. (secteur Les Hurlus de septembre 1914 à avril 1915).
Sans doute « adopté » par les soldats, il les a suivis jusqu'à Perthes-les-Hurlus où il a été porté disparu.
Fiche Mémoire des hommes

Fiche Mémoire des hommes[1]
Nom : Thierry
Prénoms : Adrien
Grade : Soldat (jeune civil qui a suivi le 9e R.I.)
Corps : 9eRégiment d'infanterie
Matricule : 14530 au Corps, classe 1918
Matricule : 491 au Recrutement Neufchateau
Mort pour la France le : 30 décembre 1914
à : Perthes-les-Hurlus (51)
Genre de mort : Disparu
Né le : 14 juillet 1898
à : Paris 12e (75)
Jugement rendu le : 16 novembre 1920
par le tribunal de : Sainte-Menehould (51)
acte ou jugement transcrit le : 26 novembre 1920
à : Saint-Dizier (52)
Relevés mémorial

Saint-Dizier (52) *: Relevé n° 20242 monument aux morts (Relevé n° 20242)

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Marceau Weber

Marceau Léon Weber, tué à l'ennemi, mention Mort pour la France, le 20 juin 1915, tout juste 15 ans, à La Harazée.

Marceau part à 14 ans rejoindre au front son frère aîné Gilbert. Il suivra le 8eBataillon de Chasseurs à Pied comme Enfant de Troupe volontaire.
Fiche Mémoire des hommes

Fiche Mémoire des hommes[1]
Nom : Weber
Prénoms : Marceau Léon
Grade : 2eme classe enfant de troupe
Corps : 8ebataillon de chasseurs à pied - suivant le 8echasseurs volontaire
Matricule :
Matricule : au Recrutement de Versailles
Mort pour la France le : 20 juin 1915
à : La Harazée
Genre de mort : tué à l'ennemi
Né le : 25 mars 1900
à : Paris 12e (Seine)
Jugement rendu le :
par le tribunal de :
acte ou jugement transcrit le : 17 octobre 1917
à : Gagny Seine-et-Oise
Relevés mémorial

Gagny (93) : Relevé n° 9234 monument aux morts (Relevé n° 9234), cimetière communal
Relevé initial effectué par : Alain CLAUDEVILLE, 379 personnes, mis en ligne : 26/11/2002
Vienne-le-Château (51) : Relevé n° 13742 nécropole nationale La Harazée (Relevé n° 13742)]], regroupement des corps des cimetières de guerre de La Gruerie et La Harazée. 1673 français dont 442 en ossuaire
Relevé initial effectué par : Alain GIROD, 1397 personnes, mis en ligne : 09/06/2003
Le 8eB.C.P.

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Le sergent Nicolas Smirnoff engagé russe de 13 ans [en uniforme]

Date d'édition : 1915

Sujet : Guerre mondiale (1914-1918)

Sujet : Militaires russes

Sujet : Enfants soldats

Sujet : Russie. Armée

Type : Photographie de presse -- 1900-1945,image fixe,photographie

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