Chronique niçoise vécue ...
Mardi 2 juillet, il y avait le tour de France à Nice pour une étape contre la montre par équipes. Et comme ça passait à 100 m de mon bureau, je suis allé voir si je pouvais récupérer un peu d’EPO, ou un pot belge.... pour mieux grimper les cols de l’arrière pays.
En fait je n’ai trouvé, avant que les coureurs ne passent, que de la haine et du rejet de la France.
Il faut savoir qu’une partie de cette étape de 25 km passait devant le quartier des Moulins, une "zone de non droit" bien connue à Nice... Et là, les femmes et enfants d’un côté, et les hommes d’un autre ( oui, avec l'islam, on ne mélange pas ), j’ai pu voir à quel point ces personnes vomissent la France.
En premier lieu, c’est à la caravane du Tour qu’ils « s’en sont pris en insultant copieusement les personnes juchés sur les deuch « Cochonou » et qui distribuaient les produits de la marque… Les biscuits apéritifs Belin ont eu quasiment le même « succès » …mais le plus fort reste à venir.
Chaque équipe était précédée d’un motard de la gendarmerie nationale et une voiture de cette belle institution fermait le convoi des coureurs et accompagnateurs. Eh bien les « bleus », s’il ne savent pas que leur mère est une pute et qu’ils sont tous des gros pédés d’enculés, c’est qu’ils avaient de bonnes boules Quiès ; et s’ils ne savent pas non plus comment on lève le majeur, c’est qu’ils étaient aveugles.
Pour compléter le décor, 3 drapeaux algériens étaient fièrement agités devant les cortèges.
De tout ça, rien à la TV ni dans les journaux… La police de la pensée veille ; par contre, les 4 jeunots que la police nationale avait disposés à cet endroit n’ont pas réagi ; ils étaient réellement mal à l’aise et on voyait qu’ils faisaient dans leur froc !
Tout simplement hallucinant.
À part ça, on continue à nous bourrer le crâne sur les bienfaits du multiculturalisme…
Si Charles Trénet revenait, certes il pourrait désormais se marier... mais il ne chanterait plus "douce France" mais " Pauvre France "... il vaudrait mieux que Charles Martel revienne.
Témoignage d'Hubert, notre collègue au Conseil régional.