Malraud est la bête noire de l’OAS métropolitaine et a échappé à plusieurs plastiquages. Le 7 février 1962, Jean-Marie Vincent et Édouard Tissandier déposent une charge au 19 rue Victor Hugo à Boulogne. Ils se trompent d’étage et les éclats de vitres blessent grièvement la petite Delphine Renard. Elle sera borgne et puis perdra définitivement la vue.
Cette bavure écorne l’image de l’OAS et les partisans de l’Algérie vont ’’récupérer ’’ le drame de la fillette, sans jamais avoir condamné les meurtres et les mutilations sur les enfants pieds noirs.
A la suite de ce drame, il y aura les événements du métro Charonne. Il y a une stèle dans la salle d’échanges de la station Charonne.
Pendant ce temps, un
delta parvient à pénétrer au Val de Grâce dirigé par l’ex capitaine du 1er REP Pierre Sergent pour assassiner Yves le Tac. Des coups de feu dont échangés mais le Tac échappe à la mort.
2 mars, une bombe explose à Paris avenue René Foncé dans l'appartement d'un journaliste de l’Humanité.
Dans la même journée, 3 autres bombes visant des journalistes explosent.
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« Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient ». N°6 Le Prisonnier