BIENVENUE AU WOKISTAN !
Au GIEC, à Rousseau, Jadot, aux écolos-wokistes et tous ceux qui vous démoralisent et vous culpabilisent pour mieux vous faire avaler leurs théories fumeuses.
L’homme est une femme et vice versa, ou la négation du masculin et du féminin
Le grand rêve du parfait petit wokiste adhérent d’EELV et certifié bio, c’est considérer que l’humain n’est qu’un simple conglomérat de cellules sans intérêt et malléables à souhait pour en faire ce que l’on veut. Qu’importe les traits, le poids, la santé, le sexe, la beauté ou la laideur, du moment qu’on puisse décider, à chaque instant et sans aucune contrainte, de l’apparence qu’on veut opposer aux autres. Pousser à l’extrême cette vision purement biologique du terrien, nous amènera peut-être à trouver dans un avenir plus ou moins proche un moyen génétique de pouvoir décider, au jour le jour, si on veut être une blonde grosse d’1,95 m, un brin maigre d’1,50m, un roux trans avec de très grandes oreilles ou un autre assemblage baroque. Un peu comme on choisit en fonction de l’humeur matinale, des vêtements avant de prendre sa douche.
Au XXIème siècle, exister ne veut plus dire « apporter sa pierre à l’édifice » national. C’est juste être reconnu comme une entité biologique interchangeable et, si on veut se faire remarquer, mieux vaut faire partie de ce que j’appelle d’une des « minorités hurlantes » ; un peu comme le tout petit chien qui fait plus de bruit, en aboyant, qu’un élevage de dogues allemands.
DUBITO ERGO COGITO, COGITO ERGO SUM, SUM ERGO DEUS EST :
(du latin : ‘Je doute donc je pense, je pense donc je suis, je suis donc Dieu est/ existe.’). Mais ça, c’était avant !! Aujourd’hui, on ne « dubidat » pas, pas plus qu’on ne « cōgitat », par contre on « est ». Mais est-ce un problème, vous demanderait une Sandrine Rousseau ou un Louis Boyard (qui n’écrit plus ses discours que sur du papier maïs dans le but de faire un tabac à l’Assemblé Nationale) ? Doit-on vivre pour contribuer au bien commun ou exclusivement pour soi-même ? C’est probablement la différence fondamentale entre la gauche et la droite quand la première souhaite le bien-être individuel et la deuxième le bonheur collectif.
Mais c’est aussi une différence entre les générations : À part quelques soixante-huitards fortement esquintés par une consommation excessive de cannabis qui continuent de vivre dans une utopie pour ne pas paraitre « has been » tout en préservant leur confort personnel, les générations les plus anciennes, dont je fais partie, ont plutôt tendance à vouloir stabiliser l’environnement dans lequel elles vivent. La modernité, sans la refuser, devient plus difficile à « assimiler » et nous avons besoin de garder nos repères chronologiques : ceux qu’on nous enseignait à l’école et ceux de notre propre vie.
En revanche, pour la plus jeune génération, elle semble un peu plus fracturée sur les sujets sociétaux. Une partie semble vivre dans un monde virtuel lié aux jeux et se moque éperdument de ce qui peut advenir demain : c’est la version Romaine de «Panem et circenses» (du pain et des jeux).
Une autre, qui n’est qu’au début de sa consommation de cannabis loue les délires de la nouvelle équipe de « Colle en tas » qui s’accrochent, tel des morpions, non pas au parti écologiste, mais à des œuvres d’art ou des voitures. C’est ce qu’appelle Mathieu Bock Côté, avec beaucoup de justesse, la « génération Zombie » avec un Z comme « Zeune ». Cette génération conchie tout ce qui lui a permis de s’élever péniblement au-dessus d’un Qi de 70. Elle n’acceptera que tout ce qui lui permettra, demain, de se payer le Bio indispensable à sa « certification » et ses délires de mutations de genres tout en contraignant les plus riches, qui travaillent bien souvent plus que 32heures par semaine, à cracher au bassinet pour financer ses déviances.
Une dernière qui est plus sensible au maintien d’un ordre moral et d’un respect de leurs ancêtres commence à se faire entendre, à travers, par exemple, le groupe important de jeunes chez Reconquête! Ils sont vite classés par les médias comme extrémistes de droite, technique bien connue pour conclure un débat avant même de l’avoir commencé.
Le comble de ces 5 dernières années, c’est que les minorités délirantes ont été capables de faire de leurs causes les plus folles le nouveau curseur de respectabilité politique. En d’autres termes, gare à celui qui contesterait le nouveau postulat « L’homme est une femme et vice versa » ; il serait immédiatement propulsé dans la catégorie des gens du mal, des vieux conservateurs et donc de l’extrême droite. Car il faut bien reconnaitre que cette nouvelle tribu de wokistes décérébrés a une détestation profonde des anciens et qu’il serait presque normal, pour eux, de les supprimer dès l’obtention de leur retraite. Ce sont de nouveaux adeptes du géronticide. Il suffit de voir leurs commentaires méprisants sur les réseaux sociaux par l’emploi du terme « boomer » qu’ils vous jettent à la figure dès que vous contestez leurs nouvelles théories. A cela s’ajoute, dès que la moutarde bio leur monte au nez, l’utilisation condescendant du tutoiement qui vous plonge dans la catégorie des moins de 70 de Qi.
Nous sommes depuis 5 à 10 ans pris dans les tentacules d’un monstre qui nous vient d’outre-Atlantique et qui veut nous contraindre à changer radicalement en quelques années ce qui a fait notre socle fondateur depuis des millénaires et qui avait été parfaitement résumé dans un graphisme embarqué sur les deux sondes Pionner en 1972 et 1973 : un homme, une femme et notre place dans le cosmos. Déjà, au moment de la réalisation de la plaque, certains militants se plaignaient que les personnages représentaient plutôt des « blancs » ….
La gauche et les verts, sont les chevaux de Troie du wokisme qui nous pourrit la vie un peu plus chaque jour, et bien moins que demain …. Hélas.
Alors ne nous laissons pas entrainer dans le nouveau monde qu’on veut nous imposer, sinon…
Bienvenue au Wokistan !
Xavier Jésu
1 novembre 2022