Un lien très intéressant sur les circonstances de la mort de Jacques Roseau
https://www.lexpress.fr/informations/roseau-enquete-sur-la-mort-d-un-geneur_605148.html
Extrait de Wikipedia
Lycéen à Alger, il fait partie du Comité de salut public d'Alger en 1958.[réf. nécessaire]
Sa famille et lui quittent l'Algérie en juin 1962. Un temps proche de l'OAS, il s'en éloigne, désapprouvant les attentats aveugles[2].
Il milite pour les droits des rapatriés et pour leurs éventuelles indemnisations. Il crée pour cela l'association des fils de rapatriés (1970) puis avec Guy Forzy l'association Le Recours (1975). Il prône un rapprochement de sa cause à l'action politique, échangeant son soutien politique et celui de son association contre une future meilleure prise en compte de la cause des rapatriés. Ainsi il recommande le vote contre Valéry Giscard d'Estaing en 1981 (jugé trop pro-arabe) et devient un soutien de Jacques Chirac. Localement il soutient des candidats comme Georges Frêche[2].
Il écrit avec Jean Fauque, deux romans historiques sur l'Algérie et leurs racines communes : Le Treizième Convoi et Le 113e Été, publiés chez Robert Laffont.
Les tenants de l'OAS ne lui pardonnent pas sa proximité avec les gaullistes. Il subit plusieurs agressions et intimidations avant d'être assassiné par arme à feu en 1993 par trois anciens de l'organisation[2],[3],[4],[5] : Gérald Huntz et Jean-Claude Lozano seront condamnés en 1996 à vingt ans de réclusion criminelle et Marcel Navarro à quinze ans de réclusion criminelle[6
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« Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient ». N°6 Le Prisonnier