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 La memoire vive des soldats morts en OPEX

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Athos79
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MessageSujet: La memoire vive des soldats morts en OPEX   La memoire vive des soldats morts en OPEX Icon_minitimeVen Nov 08 2019, 13:32

La memoire vive des soldats morts en OPEX 4-nove10
 
La mamoire vive des soldatsmorts en OPEX.


Emmanuel Macron doit inaugurer lundi 11 novembre le monument aux morts pour la France en opérations extérieures (Opex). Ce mémorial, situé dans le parc André-Citroën à Paris, porte les noms de 549 militaires morts depuis 1963.
Des parents et des camarades témoignent de l’engagement de ces soldats, tombés au Liban, en ex-Yougoslavie, en Afghanistan et au Mali.
Corinne Laurent, le 08/11/2019 à 07:16 Modifié le 08/11/2019 à 10:22


Le 4 novembre à Gao, au Mali, la force Barkhane rend hommage au brigadier-chef Ronan Pointeau, tué deux jours plus tôt.
ETAT-MAJOR DES ARMÉES


Le cercueil est invisible. Six porteurs, une femme et cinq hommes, entourent le vide de leurs mains. Celui laissé par 549 soldats morts pour la France en opérations extérieures (Opex). Au cœur du jardin Eugénie-Djendi, dans le parc André-Citroën à Paris, ce cortège de bronze rassemble symboliquement les morts et les vivants, les absents et les présents, à jamais liés. À côté de la sculpture, les noms des militaires tués sont gravés sur un mur composé de 37 plaques.


Inauguré lundi 11 novembre par le président de la République, le monument exprime, selon l’Élysée, « la reconnaissance de la Nation » à l’égard des soldats qui ont donné leur vie « pour la défense de la France ». Aux yeux des parents et des camarades, qui se considèrent parfois comme des « blessés oubliés », c’est la réalisation d’une promesse pour honorer leurs morts. Ces fils, frères, maris, compagnons d’armes, dont ils s’efforcent de garder les visages vivants.


« Un énorme courage physique et moral »


Au fil des témoignages des proches, se déroule un lien singulier et tragique, révélant le sens de l’engagement de ces militaires. « Pourquoi devient-on soldat ?, interroge Erik Sandahl, ancien chef de corps du régiment d’infanterie chars de marine. On se sent des aptitudes. Il y a aussi la fascination pour la réalité du combat : on se sent capable d’y aller et de le surmonter, de déchaîner la violence tout en mettant à l’épreuve sa maîtrise. »


Qui était Ronan Pointeau, le jeune brigadier tué au Mali ?


La memoire vive des soldats morts en OPEX Portra10



Quand il commandait le bataillon d’infanterie n°4 de la Force de protection des Nations unies (Forpronu) à Sarajevo, dans l’ex-Yougoslavie, il a donné l’ordre de reprendre le poste du pont de Vrbanja pour délivrer des Casques bleus français retenus en otage par des Serbes (1). Le 27 mai 1995, lors d’un assaut resté héroïque, mené notamment par le capitaine François Lecointre (à présent chef d’état-major des armées), les « marsouins » Marcel Amaru, 25 ans, et Jacky Humblot, 19 ans, sont tués et 17 de leurs camarades blessés.


« Un soldat ne meurt pas pour rien, insiste Erik Sandahl. Ces garçons auraient pu être mes fils. L’ordre donné, j’ai rencontré la section, serré leurs mains, vu dans leurs yeux à quel point ils étaient déterminés. Avec des gars comme eux, je savais qu’on reprendrait le poste. Et je savais qu’il y aurait de la casse, ils en étaient convaincus aussi. Ils étaient enthousiastes, fiers et prêts à aller au bout, extrêmement dévoués. Le corps à corps dans les trente derniers centimètres reste une réalité, cela suppose un énorme courage physique et moral. »


Le colonel en retraite ne peut s’empêcher d’associer à cet épisode héroïque le souvenir d’Éric Dorléans, médecin de 33 ans, mort le 22 juillet 1995 sous les tirs de mortier serbes visant le bâtiment de l’infirmerie : « Il a évacué et mis à l’abri tout le monde. Il était le dernier. »


« Une dimension sociale et spirituelle »


Du courage, le lieutenant Antoine de la Bâtie, 28 ans, n’en manquait pas non plus. « Sa vocation était ancienne et contrariée car il n’avait pas été reçu à Saint-Cyr. L’École interarmes était donc un but important pour lui, et il s’était lancé un défi : “Si je l’intègre, j’irai à pied à Lourdes.” Il était parti de Valence-d’Agen, à 160 km de là », raconte son frère Gilles de la Bâtie.


Volonté de servir dans un régiment d’appelés et choix du 1er régiment de chasseurs parachutistes, comme son père en Indochine : Antoine de la Bâtie était « très volontaire, très rigoureux et proche de ses hommes », poursuit son frère. « Il y avait chez lui une dimension sociale et spirituelle. C’était un officier très républicain et un catholique pratiquant engagé, habitué du pèlerinage national et bénévole aux bains. »


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Le 23 octobre 1983, Antoine de la Bâtie, meurt dans l’attentat contre le « Drakkar » à Beyrouth, au Liban. Ce jour-là, 58 soldats français sont tombés lors de l’effondrement de l’immeuble qui abritait leur poste, 15 ont été rescapés. « Il avait dit à mes parents que ce serait dur et qu’il partait pour toutes les communautés : il avait compris la mosaïque du Liban. Lors d’une première mission en 1982, après l’invasion israélienne au sud du pays, il avait porté secours aux populations palestiniennes, se souvient Gilles de la Bâtie. Sous les décombres du Drakkar, ses derniers mots ont été pour ses soldats, leur demandant de prier. »


« On y va ensemble, à la vie, à la mort »


Ce cataclysme militaire et politique a été suivi d’autres drames pour l’armée française, en particulier en Afghanistan. Le 18 août 2008, 10 soldats français ont été tués et 21 blessés dans une embuscade des talibans dans la vallée d’Uzbin, à 60 km de Kaboul. Mais un autre épisode a profondément marqué les militaires : l’attaque sur la base avancée de Gwan, dans la province de Kapissa. Le vendredi 20 janvier 2012, les militaires sont en pleine séance de sport quand un soldat afghan tire 150 cartouches sur eux. Quatre soldats décèdent sur le coup, un cinquième quelques semaines plus tard : les adjudant-chefs Fabien Willm et Denis Estin, le sergent-chef Svilen Simeonov et le brigadier-chef Geoffrey Baumela, puis le capitaine Christophe Schnetterlé.


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« Ces cinq soldats étaient d’âge mûr, de 30 à 45 ans, et parents, tous aguerris avec de précédentes missions en Afghanistan, tous bien préparés et conscients des risques », témoigne Hugues Chauvet, alors chef du détachement de 34 « mentors » qui assuraient la formation d’une unité de 700 soldats afghans.


« Ils constituaient un groupe soudé parce que chacun était bon dans sa partition. Fabien, spécialiste d’appui aérien, qui nous sortait de tous les guêpiers. Denis, aux transmissions. Svilen, légionnaire. Geoffrey, mécanicien, toujours volontaire pour les missions. Christophe, logisticien, poursuit le lieutenant-colonel, désormais dans le privé, qui figurait parmi les 14 soldats blessés dans l’attaque. On venait de passer Noël et le Nouvel an tous ensemble. Un moment extraordinaire et une mission extraordinaire parce qu’on avait une cohésion. La fraternité d’armes, c’est une réalité, c’est le moteur de l’action quotidienne des soldats. On y va ensemble, à la vie, à la mort. »


« Les militaires n’ont pas les mots »


Amie avec Fabien Willm depuis le 8e régiment d’artillerie à Commercy, Audrey Ferraro, qui exerce toujours des activités militaires dans la réserve, se souvient de ce chasseur alpin « soucieux de se former, toujours à la pointe ». Elle a à cœur de témoigner, inlassablement, de la mémoire de ce groupe de soldats « très humbles, morts loin de leur pays pour défendre nos valeurs », mais aussi « des rescapés qui ont voulu poursuivre », à trois semaines du retour prévu (2). « Ce sont eux qui ont touché la mort et ont voulu finir la mission », souligne-t-elle, insistant sur leur sentiment de « culpabilité ». « Les militaires ne parlent pas, relève Audrey Ferraro. Ils n’ont pas les mots, tellement ce qu’ils vivent est intense et décalé du quotidien des Français. »


Le sergent-chef Thomas Dupuy, 32 ans, parlait très peu lui aussi. « Un échange de regard suffisait avec lui », raconte un proche compagnon du commando parachutiste de l’air n°10, une unité de forces spéciales, qui l’a côtoyé en opérations. Blessé en 2011 près de la carotide par un éclat de roquette en Afghanistan, Thomas Dupuy a trouvé la mort le 29 octobre 2014, lors d’un assaut contre des djihadistes dans le massif du Tigharghar, au nord du Mali. « Il était en perpétuelle concentration, même s’il était en apparence décontracté, et très à l’écoute des autres. »


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La memoire vive des soldats morts en OPEX Cedric10

Le fils d’universitaires, devenu champion du monde amateur de boxe thaï, avait la « puissance physique » et le souci de la perfection, « cherchant toujours à améliorer sa technique ». « Son engagement était motivé aussi par une connaissance de la géopolitique, précise son camarade du CPA 10. Le domaine des forces spéciales, c’est l’un des bras armés du politique, de l’État. Il voulait comprendre tous les tenants et les aboutissants. »


« Un rêve d’enfant »


Sans doute, Thomas Dupuy et Fabien Jacq partageaient une même volonté d’accomplir pleinement leur vie. Le maréchal des logis-chef Fabien Jacq, 28 ans, est mort le 4 novembre 2016, après l’explosion d’une mine au passage de son véhicule blindé, lors d’un convoi logistique pour la force Barkhane au nord-est de Kidal, au Mali.


« Un camarade m’a raconté que, la nuit avant sa mort, il y avait du bruit autour de la tente. C’était Fabien, dehors. Il lui a dit : “Tu te rends compte comme le ciel est beau dans le désert”, confie son père, Dominique Jacq, policier à la retraite. Mon fils était très taiseux, c’était l’art de l’esquive. J’ai découvert sa vie après son décès, et ce monde militaire inconnu. J’ai découvert sa facilité d’écriture. On aurait dit que sa main était guidée par sa disparition prochaine. C’était une maturité dans l’urgence. »


Dominique Jacq garde toujours près de lui, comme un testament, un texte écrit par Fabien en 2015, sans doute en rapport avec un incident en Afghanistan quelques années plus tôt : « Depuis ce jour, je sais un peu mieux maintenant ce que mon engagement signifie. Mais ce n’est pas une fin. Et même si l’issue n’est pas toujours heureuse, je souhaite vivre d’autres expériences similaires. Je crois que j’y ai pris goût. Le fait d’avoir participé à ce convoi m’a fait effleurer du bout du doigt un rêve d’enfant : un jour dans la vie d’un soldat. »


----------------


7 000 soldats français engagés à l’extérieur


Environ 7 000 militaires français sont actuellement déployés en Opex, dont 4 500 dans le cadre de l’opération Barkhane au Sahel. Un dispositif articulé autour de trois bases, au Mali, au Niger et au Tchad. Un millier d’autres est engagé au sein de Chammal pour lutter contre Daech en Irak et en Syrie.


Les forces armées françaises sont présentes dans le cadre d’autres missions à l’étranger. La France maintient un effectif de 700 hommes au Liban sous le mandat de l’ONU (Finul) et de
300 autres en Estonie sous le mandat de l’Otan.


Le monument « Opex » porte les noms de 549 militaires morts depuis 1963, après les guerres de décolonisation (3). Les premiers inscrits datent de 1969 au Tchad, où 129 soldats ont trouvé la mort. Ils sont notamment accompagnés de 141 militaires tombés au Liban, 85 en Afghanistan, 78 en ex-Yougoslavie et 22 au Mali.


(1) Vrbanja, le mandat de la rupture, de Erik Sandahl, Lavauzelle.


(2) Trahison sanglante en Afghanistan, de Audrey Ferraro, Publibook.


(3) Opex, des vies pour la France, une histoire des opérations extérieures depuis 1963, éditions Historien-Conseil.
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MessageSujet: Re: La memoire vive des soldats morts en OPEX   La memoire vive des soldats morts en OPEX Icon_minitimeVen Nov 08 2019, 18:34

Merci Athos ,

Bien ce monument , il y aura gravé le nom du Frère de notre Amie et Membre : Zou ,

Lucien Détaillé , Parachutiste tombé au Tchad a Bedo en 1970 .

Il est par contre bien dommage , qu'il soit inauguré par ce "Paltoquet" de Macron , qui , n'aime pas les Militaires .

Bon , faisons avec , pour nos Frères d'Armes , nos Enfants de France .

Pour moi , Lundi sera un jour de Grande Tristesse .

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La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
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MessageSujet: Re: La memoire vive des soldats morts en OPEX   La memoire vive des soldats morts en OPEX Icon_minitimeJeu Nov 14 2019, 18:16

Bonsoir à tous,

Oui, J.P, j'y suis allée et je te remercie de m'avoir fait parvenir un horaire.

Alors, ce fut un " parcours du combattant " afin de pouvoir entrer dans ce parc.
1ère entrée : J'explique au type à l'entrée pourquoi je suis là. Il me répond que c'est l'entrée des officiels, donc interdit pour moi, on me dit de faire le tour et de voir si je peux entrer ailleurs.
J'arrive au coin de la rue, 2ème barrage : Non, madame, on ne traverse plus !!!!!
J'explique pourquoi je suis là. On me laisse passer.
3ème barrage : Non , Madame, la rue est fermée, interdiction de passer.
De nouveau , j'explique et on me laisse passer, avec hésitation quand même.
J'arrive enfin à l'entrée du public.
Dernier barrage : j'explique de nouveau.
 Un type avec un ordinateur me demande qui je suis etc.......
J'explique pourquoi je suis là. Il me répond qu'ils n'ont trouvé personne de ma famille à prévenir ( alors que les anciens combattants ont réussi à joindre ma mère, ma soeur et mon frère . Tous dans la même ville ) ENFIN BREF
On a noté mon nom et mon adresse , afin que ça ne se reproduise pas.
J'ai été étonné qu'on ne me demande pas mes papiers d'identité.
Mais me voilà installé. J'y suis .
L'attente a été un peu longue, il faisait froid et je ne voyais pas très bien.

Ce fut une belle inauguration.
J'ai ensuite approché cette sculpture que je trouve magnifique et tellement parlante et ce mur.
C'était très émouvant.
L'inauguration a été retransmise par BFMTV.
Je me suis fait prendre en photo devant le mur où figure le nom de Lucien, je montrai son nom et j'ai été filmé à ce moment là.     
( Quelle est la probabilité pour que ça arrive ????)
Alors, oui, je suis sûre qu'il était là .

J'ai vu quelques bérets rouges avec une pensée pour vous .

Voici quelques photos. Pas terrible avec le flash.
La memoire vive des soldats morts en OPEX Img_9011
La memoire vive des soldats morts en OPEX Img_9010
La memoire vive des soldats morts en OPEX Img_9012


Entre l'hommage du 3 novembre et celui du 11, je suis heureuse, même si c'est tard, qu'il soit enfin reconnu ainsi que tous ces frères d'armes.


Je vous embrasse

Zou
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MessageSujet: Re: La memoire vive des soldats morts en OPEX   La memoire vive des soldats morts en OPEX Icon_minitimeJeu Nov 14 2019, 18:34

Quel  souvenir et aussi quel hommage rendu a tous ces militaires tombés au champ d'honneur pour la liberté des peuples.
Respect pour ton frère Zou  - sincéres condolèaces de la part d'un ancien a toute votre famille 

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MessageSujet: Re: La memoire vive des soldats morts en OPEX   La memoire vive des soldats morts en OPEX Icon_minitimeJeu Nov 14 2019, 18:52

Un Grand Merci ma petite Soeur .

Quel parcours du combattant il t'on fait passer .

Que d'émotions pour moi , de voir le prénom et le Nom de ton Frère sur ce monument .

Pour moi , la boucle est bouclée , je me souviens de ta première visite et de tes joies , a chaque fois , que nous progressions .

Il me reste un Frère Para enfin Honoré et un Petite Sœur que je ne puis oublier .

Je serai certainement a Castre , l'an prochain , a tes cotés j'espère , pour la Cérémonie de Bedo , par les Éléphants Noirs .

Ce sera encore un moment émouvant .

Prends soins de toi et amitiés a toute ta famille .

Je te Tel demain : nous avons tant de choses a nous dire et nous devons préparer la page de Lucien sur le Forum .

Bien Paramicalement ma Zou .

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MessageSujet: Re: La memoire vive des soldats morts en OPEX   La memoire vive des soldats morts en OPEX Icon_minitimeJeu Nov 14 2019, 19:22

Merci Athos Merci 


J.P, je me devais de partager ça avec vous et surtout avec toi.
Oui, sans toi, je n'aurai pas fait tout ce chemin et ce n'est pas terminé.
Il reste la commémoration des 50 ans , l'année prochaine.
Et compte sur moi, j'y serai, bien sur.

Il y a tellement eu de coïncidences ( qui n'en sont pas pour moi) depuis janvier dernier.
Je suis sûre qu'il m'a guidé pour que nous nous retrouvions tous ( amis et frères d'armes) l'année prochaine.

A demain, au téléphone

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MessageSujet: Re: La memoire vive des soldats morts en OPEX   La memoire vive des soldats morts en OPEX Icon_minitimeJeu Nov 14 2019, 20:03

Merci ma petite Sœur ,

Mais , ce n'est rien , je n'ai fait que mon Devoir de "Frère Para" .

Pas de probs pour la cérémonie des 50 ans (déjà) .

A demain au tel entre 12h et 14h .

Bises de nous deux  La memoire vive des soldats morts en OPEX 167858  La memoire vive des soldats morts en OPEX 167858


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