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 1936 - Le Centre de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air .

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MessageSujet: 1936 - Le Centre de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air .   1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . Icon_minitimeJeu Juin 15 2017, 16:04

Une journée au Centre de Pujaut avec les parachutistes militaires (1936)

Insigne du Premier Régiment de Chasseurs Parachutistes (1er R.C.P.)

1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . 1er-rc10


Date: 7 décembre 2016Author: Le coin des Enseignants Chercheurs

Le texte présenté ci-dessous est tiré du journal « Les Ailes » du deux juillet 1936. Il a été écrit par André Langeron spécialiste de l’aéronautique et grand connaisseur de la toute jeune Armée de l’air.

Outre les descriptions des sauts à ouverture automatique à ouverture commandée et à ouverture retardée, des atterrissages et bien évidemment de la préparation physique, ce texte fait l’éloge de cette toute nouvelle spécialité et rappelle aux lecteurs actuels que les premiers parachutistes faisaient partie intégrante de l’Armée de l’air.

Il met en scène le père des « paras » militaires, Frédéric Geille un aviateur pilote considéré comme l’inventeur des chuteurs opérationnels.

Il permet également de rappeler au monde militaire que ces aviateurs, qui s’entrainaient à Pujaut dans le Vaucluse, sont les ancêtres de tous les parachutistes qui ont servi, entre autres, pendant la Deuxième Guerre mondiale et jusqu’à nos jours dans les Groupes, les Compagnies et les Bataillons d’Infanterie de l’Air, dans les Régiments de Chasseurs Parachutistes, dans le Special Air Service ou encore dans les Commandos Parachutistes de l’Air.
Christian Brun

Télécharger la version complète de l’article :

Le Centre de Pujaut (1936)

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Une journée au Centre de Pujaut avec les parachutistes militaires

Le prodigieux saut record du Capitaine Geille: une descente de 35 mètres qui dura, en tout, moins de cinq secondes !

Christian Brun d’après André Langeron
(Les Ailes. Journal hebdomadaire de la locomotion aérienne 1936/07/02)
Enseignant-Chercheur, Centre de Recherche de l’Armée de l’air (CReA), École de l’Air, 13 661, Salon Air, France
7 décembre 2016

Notre collaborateur André Langeron a eu l’occasion d’assister, l’autre semaine, à une séance d’entraînement au Centre des Parachutistes de l’Armée de l’Air sur l’aérodrome d’Avignon-Pujaut. Il nous expose ici, en même temps que le fonctionnement fort intéressant de ce Centre, ce que fut l’extraordinaire démonstration du Capitaine Geille se lançant d’un avion à 35 mètres de haut !

Lorsque vers 9 heures, l’autre semaine, j’atterrissais sur le terrain d’Avignon-Pujaut, je tombais, en vérité, dans une bien curieuse tribu. Deux gros LeO 20 sommeillaient sur la piste ensoleillée aux côtés de quelques Morane 230 gris-argent. Un « Pou » profilait l’espièglerie de ses lignes côte à côte avec un planeur 15-A et une « sauterelle » Potez. Dans le hangar, je discernais la fine silhouette vernie de deux 40-P. D’autres engins, inhabituels sur les terrains militaires, se distinguaient aussi.

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Des hommes, qui circulaient en culotte et maillot de sport ou bien le torse nu, quelques sous-officiers en casquette, un indigène qui débitait des sandwiches complétaient le tableau.
Le chef vint à moi en combinaison de toile et serre-tête blanc. C’était le Capitaine Geille, car je venais de m’introduire dans le Centre des Parachutistes de l’Armée de l’Air, petit monde encore inconnu. J’étais en présence d’un officier d’une quarantaine d’années, mince et d’accent parisien qui, tout de suite, me conduisit au vif de son œuvre.

- Attendez un instant, me disait, en effet, le Capitaine Geille, que je « centre le vent ».

Ce jour-là, l’atmosphère, d’une lourdeur anormale, ne comportait cependant pas le moindre souffle ; mais précisément à cause de cela, il fallait vérifier le sens de la dérive, si minima qu’elle fût, ce qui permettrait de « centrer » les sauts prévus au tableau de travail de la matinée.
- Il est très utile, précisait mon interlocuteur, que nous connaissions à quel moment le saut doit être exécuté, de sorte que, compte tenu de la dérive, l’homme vienne se poser directement sous mes yeux dans le centre du terrain.

Peu après, un parachute se déployait à 500 mètres et se posait près du « rond ». La séance d’entraînement pouvait commencer. Bien que nullement préparée, ce fut une fameuse séance et pour moi une intéressante révélation.

Une petite boule vivante

C’est en octobre 1935 que le Capitaine Geille, après un stage d’un mois au ministère, s’en vint à Istres avec mission d’ouvrir le Centre. Tout était à créer : l’organisation, la méthode, des moniteurs. Lourde responsabilité s’il en fut. Les travaux des Russes et des parachutistes civils étaient bien connus, mais les militaires tiennent toujours à réinventer plus ou moins ce qu’ils ont à faire, afin d’en bien posséder le mécanisme pour le règlementer. Et puis, un « coup dur » est si vite arrivé.

La plus grande prudence, alliée à beaucoup de maitrise et de hardiesse, devait être le lot du chef.
Le Centre fut rattaché administrativement à l’Ecole des Sous-officiers Navigants d’Istres qui fournirait les moyens techniques, et c’est dans la cour d’honneur de l’Ecole que la tour métallique d’entraînement a été édifiée. Le Centre est toutefois actuellement à Avignon.

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Un premier stage de deux officiers et dix sous-officiers, tous volontaires, vint l’hiver dernier, suivre un cycle complet d’instruction dont le Capitaine Geille fut le premier et unique instructeur. Tous les parachutistes militaires français auront donc pour père commun cet homme extraordinaire.

Cinq élèves furent maintenus au centre comme moniteurs : l’Adjudant-chef Horvatte, l’Adjudant Didier, les Sergents-chefs Wehner, Grospérin, Fritz, des as, excellents gradés, par surcroît fort sympathiques.

La séance à laquelle j’assistais s’appliquait au deuxième stage composé de trois officiers et de douze sous-officiers, et ceci allaient exécuter leur septième saut, dont la particularité portait sur l’étude du saut en piqué, ce qui amena tout naturellement le Capitaine Geille à définir la progression des exercices.

- J’instruis actuellement des moniteurs pour les formations. Le stage dure deux mois. L’instruction préparatoire théorique et pratique au sol comprend l’étude du matériel, son pliage, sa vérification, son entretien. A la tour d’Istres, j’apprends aux élèves à sauter et à descendre, donc à éduquer leurs réflexes. Le parachute est déjà déployé, néanmoins l’élève saute avec un parachute-témoin de façon à lui donner l’habitude de l’équipement.

Nous passons ensuite à l’instruction en vol qui a lieu, comme vous le voyez, sur le terrain de Pujaut. Elle comporte essentiellement : l’étude du saut à ouverture automatique, du saut à ouverture commandée, des exercices de précision d’atterrissage, des sauts dans les diverse positions de l’avion, piqué, virage, spirale, l’étude du saut à ouverture retardée qui constitue le couronnement de l’instruction...

Mais l’avion est prêt. Un premier élève se présente à nous. Il est porteur de deux parachutes, un dorsal, et un ventral de secours. Il a son casque, des lunettes, des gants. L’équipement est fourni par la Société Générale des Parachutes qui fabrique, je crois, sous licence Irvin. Le capitaine jette un coup d’œil. L’homme s’en va.

Pendant que nous nous dirigeons, en devisant, vers le centre de la piste, le Morane 230, qui a un moniteur parachutiste comme pilote, prend de l’altitude. A 500 mètres, et sensiblement à la verticale du « rond », l’avion ralentit et l’élève se projette littéralement dans le vide. Cette petite boule vivante plonge un instant, puis une traînée blanche, un choc et la voilà suspendue.

C’est la première fois que j’observe de façon si détaillée les manœuvres du parachutiste. Elles sont, je l’avoue, très impressionnantes. Pendant la descente qui m’apparaît assez rapide, l’homme manœuvre les suspentes pour se poser près du centre. Au porte-voix, le Capitaine distribue des explications, des compliments, des remontrances. L’atterrissage – plus rude que je le croyais – exige une petite préparation. L’homme réunit les jambes, en les ployant peu et en faisant d’elles un bloc. Il bondit en touchant le sol, se relève aussitôt. La grande cloche blanche est à placer

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Le moment pathétique
A bien regarder un, puis deux, puis dix de ces hommes intrépides accompli leurs exercices, je commençais à saisir que le parachutisme, tel qu’une sélection d’aviateurs le pratiquera désormais, est, en vérité, un sport peu banal, une sorte de quintessence de tous les sports. Le Capitaine Geille m’a du reste fourni, sur cet aspect de la question, des éclaircissements du plus vif intérêt.

Le parachutisme, m’assura-t-il, exige des sujets d’élite de vingt à trente ans, physiquement parfaits et dont les conditions physiques et morales sont en complet équilibre. Pourquoi ? Parce que le lancement dans le vide suivi de l’acte capital qui consiste à agir sur la poignée de commande, sont autant d’actes volontaires parfaitement insolites.
« La question essentielle qui se pose est donc de déterminer le moment où je puis considérer mon sujet comme psychologiquement mûr pour passer d’un saut à ouverture automatique au saut à ouverture commandée qui exige des réflexes mentaux d’une pureté parfaite. C’est pour moi un moment pathétique. Il faut que je puisse penser que l’homme n’arrivera pas au sol comme un boulet de canon sans avoir tiré sur sa commande à main. Or, la pureté du réflexe, la qualité suprême de la volonté qui évitera le désarroi moral et physique, seule l’éducation sportive est en mesure de la fournir et de la cultiver. Le parachutisme s’apparente donc à la grande performance d’athlétisme. C’est pourquoi il n’est pas recommandé de faire faire aux élèves plus d’un saut par jour, plus de quatre par semaine. »

L’exercice se déroulait avec une grande régularité. J’interrogeais plusieurs de ces jeunes gens. Les impressions qu’ils éprouvaient sont assez contradictoires. Pour certains, c’est la préparation du saut qui est la plus émouvante. Pour sauter, ils procèdent fort simplement : un pied sur le siège, un autre sur le rebord de la carlingue et en avant pour le plongeon ! Ceux qui hésitent sont exception. La volonté domine.

Tous expriment l’opinion que le parachutisme est extrêmement captivant, mais ils ne « réalisent » vraiment son charme qu’après trois ou quatre sauts. Alors, plus ils en font, plus ils veulent en faire.
L’atterrissage est pour quelques-uns, la seconde la plus dure. On s’efforce de l’effectuer vent dans le dos. Les descentes en glissade sont très amusantes. La manœuvre qui les provoque consiste à tirer sur les suspentes pour diminuer la surface du cône. Par des tractions alternées, on peut modifier la direction de chute. J’ai vu un moniteur manœuvrer jusqu’à supprimer presque toute la surface de son parachute et descendre comme en chute libre. Au sol, le traînage est évité par une traction sur les suspentes, ce qui diminue la hauteur du cône. La montée du sol, qui est rapide, provoque toujours une émotion assez vive. On observe une élévation du pouls chez tous les sujets.

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Le choc à l’ouverture est, pour la plupart, un vrai cauchemar. Sa puissance douloureuse dépend de la position que le corps occupe dans l’air. Il porte sur l’ensemble du corps. Aucune imperfection physique ne peut donc être tolérée. Une paroi abdominale trop faible pourrait causer les pires accidents. De même, la vitesse de chute du corps humain, qui est de l’ordre de 180 km.-h. à 200 km.-h., exige une système respiratoire en parfait état. Un corps profilé ira plus vite. « On est plus ou moins aérodynamique, m’affirma en riant le Capitaine Geille. »

Les as de la descente
Dans mon ignorance, deux problèmes me tracassaient plus particulièrement. Je croyais que l’utilisation du parachute serait impossible sur les avions très rapides. Il n’en est rien. Toutefois, les passagers en péril, volant à plus de 250 km.-h., ne pourront effectuer que des sauts à ouverture retardée et calculée de telle sorte que par freinage naturel, le corps ait passé de la vitesse propre en chute libre. L’ouverture automatique à 400km.-h., par exemple, provoquerait très certainement, un choc meurtrier.

Je demandais encore au Capitaine Geille s’il convenait de rendre l’entraînement obligatoire pour tous les navigants. Il ne le pense point. On risquerait des accidents inutiles et toujours graves, car l’entraînement au saut est comme celui du P.S.V. : il doit être continu. On va monter des tours un peu partout. Pujaut se bornera bientôt à ne faire que l’instruction en vol. Les formations feront l’instruction d’entretien. Un « manuel du parachutisme » élaboré par le Centre, sortira prochainement. Tous les problèmes seront ainsi élucidés.

Mais l’heure avance. Les sauts individuels ont tous été effectués. Quatre élèves dont l’entraînement a été retardé, doivent sauter, sous la direction d’un moniteur, à bord d’un LeO-20. L’équipage est dirigé par un chef de bord qui commandera les sauts. La discipline est très stricte. Le Capitaine Geille est la prudence même et le succès récompense sa sagesse. Deux cent soixante sauts ont été faits sans incident depuis l’ouverture du Centre.

Rapidement, à quelques secondes d’intervalle, les quatre élèves sautent de 500 mètres. Je les vois descendre sur l’échelle et plonger. Après l’atterrissage, ils ramassent les parachutes et reviennent placidement vers le chef qui les complimente ou fait quelques observations. Tous ces hommes ont un cran admirable. Et quel rhéteur pourra penser que le plus périlleux des sports s’oppose à la haute science ? Deux officiers élèves sortent de l’Ecole Supérieure d’Aéronautique.

Trois moniteurs partent à leur tour. Ils exécutent trois sauts simultanés avec chute retardée vraiment impressionnante. L’un d’eux fait une glissade à la verticale qui est, aux dires des spectateurs du grand art. Peu après, l’Adjudant Horvatte et le Sergent-Chef Wehner se lancent et par
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déclenchement alterné, se trouvent suspendus à deux parachutes qu’ils manœuvrent comme un marin sa voile.
Un autre LeO-20 est équipé d’une plate-forme de lancement à chaque bout d’aile. Le Capitaine Geille m’annonce qu’il va faire un saut à 150 mètres. Aussitôt, toute l’équipe s’agglutine en un bloc compact, car le patron, qui compte plus de trente sauts, a un prestige immense.

Un prodigieux record
Le séjour sur la plate-forme est extrêmement fatigant. Au décollage, le malheureux parachutiste est projeté dans toutes les directions. Des ceintures spéciales sont nécessaires pour lui garder son aplomb.
Deux sortes de sauts sur plate-forme sont possibles : il suffit de tirer sur la poignée d’ouverture ; le parachute, en se développant arrache violemment l’homme de sa passerelle ; ou bien, on exécute un saut volontaire dans les conditions habituelles.
B
ientôt, l’avion décolle. Le Capitaine Geille est fixé dans la grande mâture noire. Un large virage, un retour vers le centre et, à 150 mètres de hauteur, tout au plus, on voit tout à coup un petit point qui se détache brutalement. Une grande corolle blanche s’ouvre. La descente, de toutes beauté, dure 28 secondes et demie.

L’avion atterrit.
Nouvel essai. Le Capitaine annonce qu’il sautera à 100 mètres. Une grande anxiété m’étreint. Cent mètres, ce n’est rien ! Si le parachute ne s’ouvrait pas à l’instant voulu ? Geille est père de trois enfants, dont deux ravissantes jumelles de trois ans. Quel rude métier...

Mais déjà l’avion est au-dessus de nous. Nouvel arrachement. Quelques secondes d’intense émotion. Le parachute s’ouvre avec une majesté violente. La descente dure moins de vingt secondes.
Lorsque le Capitaine revient vers le groupe de spectateurs, les exclamations admiratives fusent. Calmement il nous annonce qu’il va maintenant essayer un saut à 50 mètres. Chacun se tait tout à coup.

Pour la troisième fois, le grand avion s’avance vers le centre du terrain. Il n’est pas à plus de 40 mètres de haut. Je précise même : trente-cinq mètres tout au plus ! A un moment donné, le pilote pique légèrement, le Capitaine est « arraché » ; il semble s’envoler en boule vers le haut, une traînée blanche le précède. Elle s’ouvre. La chute est quasi instantanée. Elle ne dure pas cinq secondes.
Un record est certainement battu. On se précipite. « Pour le Capitaine, hurrah ! hurrah ! hurrah ! » Magnifique hommage au chef, au donneur d’exemple !

Et savez-vous la récompense que demandent ces valeureux jeunes Français ? L’insigne de moniteur de parachutisme militaire !...
===================END - FIN ==============[/size]
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MessageSujet: Re: 1936 - Le Centre de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air .   1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . Icon_minitimeJeu Juin 15 2017, 18:10

Ils avaient la vaillance et un peu d'inconscience, mais tous avaient  la témérité et l'enthousiasme de la jeunesse !!!
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MessageSujet: Re: 1936 - Le Centre de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air .   1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . Icon_minitimeJeu Juin 15 2017, 21:30

Je suis toujours un peu émue lorsque je vais à Pujaut !

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MessageSujet: Re: 1936 - Le Centre de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air .   1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . Icon_minitimeJeu Juin 15 2017, 22:10

Merci René ;

Perso je connais Pujaut , j'y ai fait qq sauts et ma fille un 4000 en tandem .

Je suis particulièrement touché de voir le nom du Papa de Clésia : l'Adjudant/Chef FRITZ cheers  .

Qui pour moi , est le premier Parachutiste Militaire Français .

Un p'tit complément :

1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . Histo-11


1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . 1996631456  1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . 1996631456

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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MessageSujet: Re: 1936 - Le Centre de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air .   1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . Icon_minitimeJeu Juin 15 2017, 22:30

Merci JP !

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MessageSujet: Re: 1936 - Le Centre de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air .   1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . Icon_minitimeJeu Juin 15 2017, 22:35

Merci a toi ma Clésia .

Une belle bande de "Fadas" nos anciens .

1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . 2405219343

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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MessageSujet: Re: 1936 - Le Centre de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air .   1936 - Le Centre  de Pujaut avec les Paras de l'Armée de l'Air . Icon_minitimeJeu Juin 15 2017, 23:00

C'est sûr ! Sacrée génération qui avait des tripes !

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