« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage. La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure. Être un homme et le demeurer toujours, Quelles que soient les circonstances, Ne pas faiblir, ne pas tomber, Voilà le véritable sens de la vie ».
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 13:12
Bazeilles !!!!!
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 13:23
Le musée de la maison de la dernière cartouche à Bazeilles est l'un des sites de mémoire les plus marquants de la guerre de 1870 ; II rappelle les combats qui opposèrent durant deux jours les deux brigades de la "Division Bleue" des Troupes de la Marine du général de Vassoigne(1) aux soldats Bavarois commandés par le général Von der Thann. La bataille débuta véritablement le 31 août vers midi lorsque la 2e brigade du Général Martin des Pallières reçut l'ordre de reprendre le village de Bazeilles - site stratégique - qui venait de tomber aux mains de l'ennemi. Après une journée de combats acharnés et grâce au soutien de la 1ère brigade du Général Reboul arrivée en renfort vers 16 heures, le village fut complètement repris à la tombée de la nuit. Mais le 1er septembre à l'aube, les soldats du général Von Der Thann attaquent à nouveau Bazeilles. Malgré les nombreux assauts qui permirent de repousser à plusieurs reprises l'ennemi, la division de Marine, submergée par le nombre et la puissance de feu des Bavarois, fut contrainte, en fin de matinée, à la retraite vers Sedan. C'est à ce moment qu'eut lieu l'épisode de la maison de la dernière cartouche.
Dans un village incendié, détruit par les obus d'artillerie tirés depuis la veille, une trentaine d'officiers, sous-officiers et soldats de l'infanterie de Marine se réfugièrent, aux côtés du commandant Lambert, dans la maison Bourgerie - modeste auberge de deux étages et dernière demeure du village de Bazeilles sur la route de Sedan - et menèrent, pendant près de quatre heures, une résistance acharnée contre les soldats Bavarois. Finalement encerclés, en manque de munitions, le capitaine Aubert tira, en milieu d'après-midi, la dernière cartouche de la fenêtre de la grande chambre du premier étage. Un mouchoir blanc mis au bout d'un fusil annonça ensuite la reddition des marsouins et le commandant Lambert, blessé au pied, sortit le premier de la maison. La division de Marine a perdu, durant toutes ces heures de bataille, 2 655 hommes dont 100 officiers et 213 sous-officiers. Les soldats bavarois en perdirent plus du double ; ils se livrèrent dés le lendemain des affrontements à d'atroces représailles contre la population de Bazeilles dont une partie avait pris part aux combats aux côtés des Troupes de Marine ; le village fut incendié, certains habitants fusillés, brûlés vifs ou arrêtés puis déportés. On dénombra ainsi plus d'une quarantaine de victimes civiles dans le village. Cent cinquante autres devaient mourir au cours des six mois suivants du fait des sévices endurés. Cette résistance héroïque valut à la ville de Bazeilles d'être décoré de la légion d'honneur en 1900. Un insigne que l'on retrouve encore sur les armes de la ville aux côtés de l'ancre des troupes de marine et d'une maison en flammes. Elle lui permit également de devenir, dès le lendemain de la défaite, un lieu important de mémoire et de pèlerinage. Le 1er anniversaire des combats eut lieu le 1er septembre 1871. Ainsi, le 19 mars 1875, le courrier des Ardennes publia un article dans lequel il annonçait l'existence d'un musée à Bazeilles : "MM. Bourgerie père et fils, entre autres, ramassèrent une quantité d'objets, et qui forment aujourd'hui un véritable musée d'un grand intérêt". Des objets furent exposés dans une des pièces du rez-de-chaussée de la maison. En mai de la même année, le général de Vassoigne visita les ruines de la maison de la dernière cartouche et en novembre un premier monument fut élevé en face de l'église. Mais la première cérémonie importante se déroula le 31 août 1895, soit 25 années après les faits, en présence de l'ancien commandant Lambert, devenu général.
Mais c'est en 1899 qu'Arthur Meyer, directeur du journal Le Gaulois, lança une souscription publique pour financer l'achat de la maison afin "de la convertir en un modeste musée consacrée à la mémoire des héros qui moururent là". Le 1er août 1909, le journal la céda finalement au Souvenir Français. Une foule considérable pour l'époque participait à la cérémonie. Il fallut néanmoins attendre le 3 septembre 1950 pour qu'ait lieu la première commémoration nationale des combats de 1870 avec la participation des Troupes Coloniales. Elle le fut à l'initiative du Comité National des Traditions de l'Arme créé en mars de la même année par deux sous-officiers animés par la volonté de restaurer le musée pillé pendant la guerre 1939-1945 et de remettre en état l'ossuaire militaire de Bazeilles très dégradé. Une convention avait été signée entre le Comité et le Souvenir Français, propriétaire de la maison, aux termes de laquelle le premier devenait responsable de l'entretien, de l'administration et de la gestion du musée et, naturellement, propriétaire des collections qui s'y trouvaient. A cette gestion s'ajouta celle de l'ossuaire bâti entre 1876 et 1878 à la bordure sud du cimetière de la ville, à une centaine de mètres du musée et contenant les restes de 3 000 combattants français et allemands.
Le comité national des traditions des Troupes de Marine ayant décidé de la rénover, la maison de la Dernière Cartouche qui reçoit en moyenne 2 000 visiteurs par an a été fermée de janvier 2003 à août 2005. Cette importante opération a été financée par une souscription lancée au sein des Troupes de Marine, avec la participation du Souvenir Français et grâce aux subventions accordées par la Préfecture Régionale et la DMPA, le Conseil Régional de Champagne Ardenne et le Conseil Général des Ardennes. Les travaux ont porté sur la mise en sécurité et en conformité des installations. Un grand nombre d'objets ont été restaurés par des spécialistes. Quand aux aménagements muséographiques proposés, ils avaient pour objectif de conserver à la maison son authenticité et son caractère émouvant tout en la rendant plus attractive grâce à l'utilisation des nouvelles technologies. Le cheminement pédagogique de la visite comprend : Au rez-de-chaussée, un espace accueil ainsi que la première pièce muséographique, dite salle Lambert, consacrée à la guerre de 1870 et au rôle des Troupes de Marine dans ce conflit. Au premier étage, la salle Delaury présente la bataille de Sedan, des souvenirs des deux armées en présence et une vitrine rappelant le sacrifice d'une partie de la population civile. Mais les pièces les plus importantes du musée se trouvent dans les salles Aubert et Lambert centrées sur les combats de Bazeilles. Dans la première, les visiteurs pourront découvrir le célèbre tableau d'Alphonse de Neuville peint en 1873, intitulé "la dernière cartouche", tandis que la seconde est celle du dernier combat d'où fut tirée la "dernière cartouche".
L'accueil des personnes invalides a été étudié et en partie résolu grâce à la construction d'un bloc hygiène adapté. Néanmoins ceux d'entre eux qui se déplacent en fauteuil roulant, ne peuvent avoir accès à l'étage. Il eut fallu pour cela démolir la maison et la reconstruire autour de l'escalier adapté à leur état. A terme, le musée des Troupes de Marine s'intègrera au "pôle de Mémoire" que la communauté de communes du pays sedanais souhaite développer à Sedan, et qui permettra la mise en réseau des principaux sites de Mémoire de la région.
Nota (1) - Cette division formée des quatre régiments de l'infanterie (1, 2, 3 et 4) et du 1er régiment de l'artillerie de la Marine avait été initialement rassemblée en vue d'effectuer une manoeuvre de déception en mer Baltique. Les désastres survenus en Alsace et en Lorraine dès les premiers combats imposent au commandement français de regrouper ses forces disponibles au camp de Chalons sur Marne pour tendre la main à son armée de l'Est (Bazaine) enfermée dans Metz. Baptisée "Division Bleue" du nom de la couleur de ses uniformes, elle fait partie du XIIe corps d'armée(Général Lebrun) dont elle constitue la 3e division (les deux autres ayant été mises sur pied hâtivement avec des personnels récupérés dans les dépôts et des jeunes engagés ou rappelés ne constituent pas des unités solides). Elle est composée de soldats dont la plupart sont des engagés, chevronnés, entraînés par de rudes campagnes lointaines et déjà aguerris. Ses cadres subalternes ont gagné leurs galons au feu et les cadres supérieurs sont dotés d'une solide expérience du combat. La population civile ne s'y trompe pas qui leur réserve partout un accueil chaleureux.
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 14:42
mon P'tit Gus .
Tiens voici une de mes vidéos , faite a Bazeilles quand Béa et moi vivions dans les Ardennes .
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 14:55
Celle de 1863?Légion étrangère contre le Mexique?
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 15:04
Xx Denis xX a écrit:
Celle de 1863?Légion étrangère contre le Mexique?
Non non , mon Denis
Tiens pendant que j'y pense , y a plus de traducteur en bas a droite .
Bon un indice qui est dans ma question : Camerone , vous donne déjà le Corps d'Armée , bravo pour ta réflexion Denis : c'est bien la Légion .
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 15:17
Je vais continuer à creusé
PS:Traducteur ok
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 15:50
bataille contre Abdel Krim au Maroc ???
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 16:39
La bataille de Mafeking en Afrique du sud - Mais c'est pas ça!
Dernière édition par Athos79 le Mer Jan 04 2017, 16:50, édité 1 fois
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 17:04
Bataille de SIDI BRAHIM CONTRE ABDEL KADHER ========================= Bataille d'Elhri Informations générales Date 13 novembre 1914 Lieu Elhri à 20 km de Khénifra Issue Victoire marocaine Belligérants Drapeau du Maroc Resistants marocains Drapeau de la France France Commandants Mouha Ou Hammou Zayani René Philippe Laverdure † Forces en présence 2 000 hommes 2 230 hommes Pertes 182 morts 683 morts 176 blessés Données clés Coordonnées 32° 51′ 25″ nord, 5° 37′ 23″ ouest Géolocalisation sur la carte : Maroc
(Voir situation sur carte : Maroc) Différences entre dessin et blasonnement : Bataille d'Elhri. (Voir situation sur carte : Afrique) modifierConsultez la documentation du modèle La bataille d'Elhri est connue dans le jargon miltaire de l'armée française sous Affaire de Khénifra1(en amazighe : Amtwi n Lhri) est une bataille qui a opposé la France et les amazighes Zayanes (tribu amazighe marocaine alors en rébellion) près du village d'Elhri à 15 km de Khénifra Maroc,contre le colonel Laverdure le 13 novembre 19142 . La bataille s'est soldée par une victoire des Zayanes et de leurs alliés amazighes. La bataille d’Elhri est, de l'aveu même des Français, le plus grand désastre connu par leur armée dans toute leur campagne en Afrique du Nord.Cette bataille fut comparée à celle de Sidi Brahim le 21 septembre 1845 en Algérie contre l'Emir Abdelkader, suite aux erreurs commises par les officiers français,qui avaient sous-estimé les forces de leurs adversaires( lieutenant-colonel Montagnac et Laverdure),ce qui causa la défaite à Khénifra et à Sidi Brahim3.
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 17:09
JP : Je pense a la SIDi BRAHIM et ou la Legion naissante s'est distinguée, le 2éme R.E.I entre autre, Mais elle est plus la fete des chasseurs
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Mer Jan 04 2017, 18:00
La Bataille d' El Alamein contre les forces de L'afrika Corps et Romel en Lybie et si tu Libyens c'était lors la War II .
La participation française à la bataille d'El Alamein 23 octobre-15 novembre 1942 La bataille d'El Himeimat, 23-24 octobre 1942
En octobre 1942, le général Montgomery accueille dans le dispositif de la 8e armée les Français libres : les 1ère et 2e BFL font mouvement vers El Alamein.
Montgomery veut percer les défenses germano-italiennes par une attaque massive de l'infanterie au nord, et une action de diversion au sud, dans le secteur du massif de l'Himeimat qui surplombe le champ de bataille. Malgré les objections du général Koenig, la 1ère BFL est chargée de cette opération.
El Himeimat. Vue du champ de bataille. Source : Musée de l'ordre de la Libération
Dans la nuit du 23 au 24 octobre, après une longue marche d'approche, la 13e demi-brigade de Légion étrangère (DBLE), commandée par le lieutenant-colonel Amilakvari, attaque l'Himeimat. Vers 2 h, le 1er bataillon de Légion étrangère (BLE) se lance à l'assaut. Les combats sont particulièrement difficiles face aux parachutistes italiens de la division Folgore appuyés par l'artillerie et les blindés allemands. À 6 h, le 2e BLE attaque à son tour. Le 1er BLE est soumis à un violent tir d'artillerie, tandis qu'une contre-attaque des chars allemands entraîne le repli des légionnaires du 2e bataillon. Vers 8 h, venant de l'ouest, un groupement blindé est lancé contre le 1er BLE. À 9 h 25, Amilakvari est obligé de donner l'ordre de repli. Fermant la marche au milieu des champs de mines, le lieutenant-colonel Amilakvari est mortellement blessé à la tête par un éclat d'obus.
Amilakvari à El Tahag, le 10 août 1942. Source : Musée de l'ordre de la Libération
Epuisés par les combats de la nuit, les Français libres rejoignent le Qor El Laban au début de l'après-midi. Le bilan des pertes françaises s'élève 23 tués dont 2 officiers et 100 blessés dont 8 officiers.
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Jeu Jan 05 2017, 09:58
Historique de la bataille d'El Moungar
Mise à jour : 08/07/2010 23:40 Les 1er, 2 et 3 septembre 2005, le 2e Régiment étranger d'infanterie (2e REI) fête le 102e anniversaire du combat d'El Moungar. Pour comprendre l'importance de cette commémoration, nous vous proposons de revivre cette bataille par le biais d'un rapide rappel historique. Au début du XXe siècle, alors que la France est en pleine expansion coloniale, de très nombreux incidents, attaques et pillages marquent les débuts de la pénétration des forces françaises en Algérie dans le sud oranais. Sous le commandement du général Lyautey, l'armée française a pour mission de protéger les régions nouvellement occupées du Guir, de la Zousfana et de la Saoura contre les périls venus de l'ouest. La frontière marocaine toute proche, aux limites mal définies, favorise les incursions et les incidents. C'est surtout la Légion étrangère qui est chargée de la sécurité de ces grands espaces où il faut " se battre à coup de kilomètres " selon l'expression du général Négrier, contre des bandes armées incontrôlées. Le 17 août 1903, le premier glorieux fait d'armes de la campagne se déroule à Taghit, où les troupes du poste sont assaillies par un contingent de plus de 4000 Bérabers parfaitement armés. Pendant 3 jours, les légionnaires vont repousser les attaques répétées d'un ennemi plus de 10 fois supérieur en nombre, et vont infliger des pertes énormes aux assaillants, les forçant finalement à une retraite précipitée. La bataille d'El Moungar Quelque mois seulement après la bataille de Taghit, les soldats d'Afrique donnaient une nouvelle preuve de leur abnégation et de leur dévouement. Cent quinze hommes de la 22e compagnie montée, commandés par le capitaine Vauchez et le lieutenant Selchauhansen, formant une partie de l'escorte d'un convoi de ravitaillement partie le 28 août de Djenann-Eddar, furent attaqués, le 2 septembre, entre El Moungar et Zafrani, par une bande de 3000 Marocains. Les premiers coups de fusils blessèrent ou tuèrent les 2 officiers, les sous officiers et la moitié du détachement. Les hommes que les balles avaient épargnés (une quarantaine environ), commandés par le sergent-fourrier Tisserand, se groupèrent sur une éminence voisine et, sous un soleil torride, sans eau, sur un sable brûlant, tinrent tête à l'ennemi pendant plus de huit heures, grâce à leur courage et leur esprit solidaire. Ce n'est qu'à 5 heures du soir qu'ils furent dégagés par le capitaine de Sulbielle, accouru de Taghit à la tête de ses Spahis. Ces braves, ayant lutté ainsi à un contre trente, avaient renouvelé l'exploit des chasseurs lors de la bataille de Sidi Brahim le 23 septembre1845. De tous les combats qu'il a menés, le 2e Régiment étranger d'infanterie place El Moungar, parmi ses plus grandes batailles, où chacun de ses soldats s'est montré digne et valeureux... Ministère de la Défense J'ai le livre du 2eme REI
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Jeu Jan 05 2017, 10:49
Gus
Oui , cette bataille est un haut fait d'arme de la Légion , notamment du 2eme REI , ou est notre Ami Alex .
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Sujet: Re: Quizz: No 282 . Jeu Jan 05 2017, 13:08
Sans oublier de mettre des image ( sans s) ou une images (avec un z'es) @ Gus!