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 Diên Biên Phu : A la mémoire de mes Anciens .

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Commandoair40
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Commandoair40


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Diên Biên Phu : A la mémoire de mes Anciens . Empty
MessageSujet: Diên Biên Phu : A la mémoire de mes Anciens .   Diên Biên Phu : A la mémoire de mes Anciens . Icon_minitimeMer Aoû 24 2016, 15:58

Diên Biên Phu

A la mémoire de mes Anciens trahis et torturés par des Français


Diên Biên Phu : A la mémoire de mes Anciens . Azerty10

De nombreux livres, articles ont été écrits sur la bataille de Dien Bien Phu.

Il ne pouvait être question de prétendre faire mieux que tous les témoins de cette tragédie.

J’ai centré mon propos sur un aspect dont on ne parle pas ou dont on parle peu, sauf entre Frères d’armes : la Propagande, les sabotages, l’intelligence et la collaboration avec l’ennemi.

L’Hommage à nos Anciens et le Devoir de mémoire qui nous incombe ne serait pas complet s’il ne rappelait pas que durant la Guerre d’Indochine, qui n’était pas vraiment une préoccupation de la Nation française, des Français ont œuvré pour et avec l’ennemi.

Derrière la propagande, les sabotages et l’intelligence avec l’ennemi, en temps de guerre, une constante : la Parti Communiste, dit1  Français, la C.G.T et leurs séides !

Cela avait déjà été le cas lors du Pacte germano-soviétique, et cela a été une nouvelle fois vérifié lors de la Guerre d’Algérie … Et c’est en train d’être vérifié aujourd’hui : des Français collaborent avec l’ennemi islamiste.

L’Opinion publique française durant la guerre d’Indochine

Lors du déclenchement de la guerre d’Indochine, en 1946, la France sortait exsangue de la 2ème guerre mondiale. Cinq années de guerre, dont quatre ans d’occupation ayant entraîné plus de 540.000 morts (civils et militaires).

Sur le plan matériel, la guerre avait entraîné les destructions partielles ou totales des villes de Brest, Caen, Le Havre, Lorient, Saint-Nazaire, Cherbourg, Évreux, Saint-Malo, Rouen.

A cela il convient d’ajouter les destructions de plus de 300.000 bâtiments de logement et celles d’infrastructures de transport et de production , la mise hors d’usage de milliers de routes, de ponts, de voies ferrées.

Pour la France, le montant de la reconstruction s’élevait à 4.900.000.000 de francs 1945 (soit, 61.121.691.300 d’euros de 2013 selon le Convertisseur INSEE).

Dans ces conditions, on peut comprendre que la préoccupation majeure des Français était au redressement et à la reconstruction du pays, et le retour à des conditions de vie « normales ».

Très vite, les Français ont été préoccupés par la volonté de conquête de l’Europe occidentale manifestée par l’Union Soviétique qui, lors de la conférence de Yalta avait obtenue le partage de l’Europe : l’URSS mettait la main sur l’Europe orientale, rapidement transformée en colonie, et elle « avait des vues » sur l’Europe occidentale.

Dès le déclenchement de la guerre d’Indochine, les partis politiques, à l’exception du M.R.P. (Mouvement Républicain Populaire), n’apportaient guerre de soutien à l’effort de guerre … quand ils n’y étaient pas opposés, voire violemment.

Par ailleurs, profitant de la situation, le parti communiste a multiplié les actions de propagande en « faveur de la paix », lui permettant de constituer de véritables « cellules d’anti-guerre » composées de communistes et de leurs amis.

La propagande était reprise par les séides du parti communiste et propagée par les idiots utiles2 .

C’est par les actions de propagande, évidemment calquée sur celle de leurs maîtres soviétiques, et diffusée par son média privilégié l’Humanité, qu’a été défini le « bien penser anti-guerre » dont le thème principal était celui de la « lutte du peuple français contre la sale guerre d’Indochine ».

Les thèmes de la propagande communiste ont été  :

•repris dans deux chansons de l’époque :

•« Quand un soldat » (censurée en 1953), de Francis LEMARQUE (communiste) ;

•« Le déserteur » (censurée en 1954), de Boris VIAN.

•développés, « expliqués » par les agents d’influence de la « troisième gauche » :

•J.P. Sartre, revue Temps Modernes ;

•Jean-Marie Domenach, revue Esprit ;

•Jean Fabiani, journal Combat ;

•la rédaction du journal Témoignage Chrétien ;

•Roger Stéphane, Gilles Martinet ou Claude Bourdet, journal l’Observateur ;

•la rédaction du journal l’Express.

Le contexte de l’après-guerre, marqué par ses conséquences humaines, matérielles et financières et par la « stalinisation » du parti communiste, devenu le premier parti (résultats des élections législatives), a fait que l’opinion publique française a été très indifférente, voire hostile, à la « sale guerre d’Indochine», lointaine, coloniale.

L’attitude de l’opinion publique, renforcée par celle des partis, a eu plusieurs conséquences :

•impossibilité de mobilisation nationale en faveur de l’effort de guerre ;

•manque total d’intérêt et « oubli » de ceux qui se battaient et de ce pourquoi ils se battaient ;

•manque de volontaires pour aller combattre ;

•impossibilité d’engager le Contingent.

Bien que la propagande contre la « sale guerre d’Indochine », « en faveur de la paix » et les actions en découlant aient démarrées dès le début de la guerre d’Indochine, c’est plus particulièrement lors du déclenchement des opérations pouvant être rassemblées sous l’étiquette « bataille de Diên Biên Phù », que le parti communiste, s’est opposé de toutes ses forces à la guerre d’Indochine.

C’est ainsi, comme l’a écrit Pierre BRISSON (Le Figaro. 08 et 09 mai 1954, n° 3005; 128e année.) que :

« Les combattants de Dien-Bien-Phu sont morts parce que nous nous sommes menti à nous-mêmes.
Ils sont morts parce que nous n’avons pas su faire cette guerre, parce que nous n’avons su ni la vouloir ni la refuser, parce que nous n’avons su ni mesurer l’épreuve, ni en prévoir les conséquences, ni la situer dès l’abord sur son plan mondial. Il y a eu au cours de ces neuf années des occasions perdues pour négocier, comme il y a eu des occasions perdues pour la victoire. Elles l’ont été de la même façon. Elles l’ont été par faiblesse. »

Sabotage et trahison au profit de l’ennemi .

Dans sa stratégie de conquête du pouvoir, de destruction de la République et de la Nation française, le parti communiste, stalinien « par pensée et par action » a été à l’origine, a organisé des actions de sabotage et de trahison au profit de l’ennemi : le Viet-Minh.

Actions de sabotage au profit de l’ennemi.

Dans des arsenaux français, des ouvriers, sciemment, ont saboté des armes et des munitions destinées aux unités engagées dans la guerre d’Indochine.

Plus particulièrement :

•pour les grenades, les dispositifs de retard étaient supprimés, entraînant l’explosion de la grenade dès son dégoupillage, c’est à dire qu’elle explosait dans l’environnement immédiat du combattant, tuant ou blessant gravement plusieurs soldats ;

•pour les pistolets mitrailleurs et les fusils, les canons étaient obturés par une balle laissée intentionnellement dans le canon. Le tir entraînait l’explosion du canon ou, si le tireur et ses voisins avaient beaucoup de chance, la neutralisation de l’arme par ou destruction de la culasse, de ses dispositifs de percussion, d’extraction et d’éjection …
•pour les munitions, sous-dimensionnement de la charge propulsive : la balle restait dans le canon de l’arme, provoquait un gonflement du canon et son explosion, particulièrement avec les armes à répétition ou automatiques, du fait d’une double ou triple alimentation.

Ce genre « d’incident » ne laissait que très peu de chance à l’utilisateur de l’arme ;

•pour les munitions, sabotage des obus destinés aux mortiers ou aux canons, de telle sorte qu’ils explosent soit dans le tube, soit à la sortie de bouche. Dans les deux cas, il n’y avait guère de survivant parmi les servants de la pièce ;

•pour les véhicules, les sabotages consistaient en la détérioration des joint de culasse, ou l’introduction de limaille de fer dans le carter à huile ;

•blocage des trains de munitions ou de matériels à destination des ports d’embarquement pour l’Indochine ;

•sabotage de la ligne d’arbre du porte-avions Dixmude (utilisé pour le transport des avions) découvert lors de l’appareillage pour Norfolk, en janvier 1950.

Le quartier-maître mécanicien Heimburger était le responsable du sabotage, qui avait été commandité par le parti communiste.

Outre les actes de sabotage proprement dit, les personnels des arsenaux s’y livrant commettaient un crime de trahison puisque, de fait, en détériorant les munitions, les armes, les véhicules, ils « portaient les armes contre leur patrie ».

Ces actes, parfaitement connus, n’ont pas donné lieu à des sanctions à la hauteur des crimes.

On peut se demander comment le pouvoir politique pouvait regarder en face nos Anciens, qu’il envoyait à la mort du fait des sabotages d’armes ou de munitions, commandités par le parti communiste et réalisés par des Français travaillant dans les arsenaux !

Trahison, intelligence au profit du Viet-Minh

A la fin de l’année 1947, le parti communiste avait déclaré que jamais il ne s’attaquerait à l’armée rouge en cas de conflit entre l’Union soviétique et les Nations libres.

Ceci ne laissait aucune incertitude quant au niveau de patriotisme manifesté par les apparatchiks staliniens de l’époque !

Par ailleurs la « Haute trahison » étant définie comme un « Crime consistant à entretenir des relations coupables avec une puissance étrangère ou ennemie », il fallait se poser la question de la qualification de l’acte consistant à refuser de se battre contre une puissance étrangère qui commettrait des actes de guerre contre la France.

Deux « affaires », plus particulièrement, permettent de prendre conscience de la trahison des communistes et de leurs séides, dans le contexte de la guerre d’Indochine :

•l’affaire Henri MARTIN,

•l’affaire Georges BOUDAREL.

Affaire Henri MARTIN

Pendant la seconde guerre mondiale, Henri MARTIN avait été un membre des FTP3 . Il était un militant du parti communiste.

Après la libération, il a contracté un engagement dans la Marine Nationale et affecté en Indochine en 1945.

Après la fin de son contrat, Henri MARTIN est devenu un permanent du parti communiste.

Progressant dans la hiérarchie du parti communiste, il a été membre suppléant puis membre titulaire du comité central (1964), directeur de l’École centrale du Parti et membre du secrétariat de Jacques Duclos au moment de l’élection présidentielle de 1969.

Après le bombardement de Haïphong, consécutif à la « déclaration d’indépendance » faite par Hô Chi Minh, Henri MARTIN a déclaré qu’il avait voulu démissionner de l’Armée française, mais ce celle-ci avait été refusé …

Après un séjour de deux ans, il a été affecté à Toulon.

C’est là, qu’en relation avec les communistes du département du Var, il a commencé son travail de propagande au sein de l’arsenal, invitant les personnels à exiger l’arrêt des opérations militaires en Indochine.

Il a été arrêté pour propagande hostile à la guerre d’Indochine.

Il a été accusé « de participation à une entreprise de démoralisation de l’armée ayant pour but de nuire à la défense nationale » et jugé par le Tribunal Militaire de Brest et condamné à cinq ans de réclusion pour « propagande hostile à la guerre d’Indochine » et à la dégradation militaire, en première instance puis en appel.

Il a été soutenu par la parti communiste et plus particulièrement par  : Jean-Marie Domenach, Jean Cocteau, Jean-Paul Sartre.

Il est légitime de se poser la question de savoir quel a été le véritable rôle joué par Henri MARTIN, plus particulièrement durant la guerre d’Indochine.

Il est probable que ses activités au sein des FTP, ses convictions communistes, bien antérieures à son engagement dans l’Armée, auxquelles il faut ajouter le projet d’insurrection nationale, du Front National (parti communiste) avaient eu pour but d’en faire un agent d’influence dont la mission était conforme à l’accusation motivant sa condamnation.

Affaire Georges BOUDAREL

Cette « affaire » est encore plus « exemplaire » que la précédente car le triste sire BOUDAREL a contribué directement, sur instructions, aux ordres et en territoire ennemi, aux tortures physiques et morales infligées à nos Anciens faits prisonniers.

BOUDAREL était un communiste, professeur de philosophie. En avril 1948, sursitaire, il avait été nommé au lycée Yersin de Dalat. En 1949, il avait été nommé au lycée Marie-Curie à Saïgon.

C’est là, qu’il a animé la structure du parti communiste indochinois et aussi le groupe culturel marxiste.

Ses brillants états de service justifiant son statut de traître ayant pratiqué l’intelligence avec l’ennemi :

•en décembre 1950, il a abandonné son poste de professeur pour rejoindre le Việt Minh.

Ses « compétences » en avaient fait le rédacteur créateur de l’émission en langue française de « La Voix de Saïgon-Cholon libre » (station de radio clandestine du Việt Minh)

•au début de 1952 ou en juin 1952 (dates non certaines), le Việt Minh l’a désigné pour rejoindre le Tonkin. Où il est arrivé après 9 mois de marche

•pendant sa « longue marche » il a été appelé sous les drapeaux en Indochine et, n’ayant pas rejoint il a été considéré comme « insoumis, puis déserteur et, enfin, condamné à mort par contumace »

•il est arrivé au Tonkin en décembre 1952 (date non certaine), et a été nommé commissaire politique (aux côtés d’autres communistes : soviétiques, allemands de l’est, roumains, bulgares) dans un camp de rééducation de prisonniers, le « fameux camp 1133 »4 .

Selon de plusieurs témoignages de nos Anciens rescapés du camp, il s’était rendu coupable de tortures contre nos Soldats

•après s’être marié à Hanoï, il a quitté l’Indochine en 1964 et s’est rendu en URSS, et a travaillé en Tchécoslovaquie pour la Fédération syndicale mondiale (FSM), à l’époque totalement aux mains des communistes et inféodée aux soviétiques

•en 1966, profitant de la loi d’amnistie votée en juin, il est rentré en France et a intégré la section Histoire du département de « Géographie – Histoire et Sciences de la société » (aujourd’hui UFR de l’Université paris Diderot – Paris 7). Par la suite, il a été promu maître de conférences à l’Université de Paris 7 et chercheur au CNRS, il s’est spécialisé dans l’histoire du Vietnam (certainement en appliquant les principes soviétiques de réécriture de l’Histoire )


« Sanction » de son passé de traître5

•le 13 février 1991, lors d’un colloque organisé au Sénat par le centre des Hautes études sur l’Afrique et l’Asie modernes, il est reconnu par Jean-Jacques Beucler qui, ancien combattant en Indochine, avait été détenu pendant 4 ans dans le camp 113.

•par la suite, d’autres témoignages ont été déposés contre Georges BOUDAREL.

Et, en 1991 une plainte pour crimes contre l’humanité déposée par certains de nos Anciens détenus dans le camp 113.

La Cour de cassation a rejeté la plainte car les faits reprochés étaient couverts par la loi d’amnistie de 1966

•sans aucune vergogne, sans aucun Honneur et sans aucun regret, BOUDAREL a poursuivi ses accusateurs pour diffamation.

Plus particulièrement, pour justifier sa plainte, il a retenu cinq accusations au motif qu’elles étaient sans fondement, et donc diffamatoires.

Afin de trancher clairement la question de la vérité de ces accusations le juge Jean-Pierre Getti en charge de l’instruction a alors décidé de mener une instruction permettant de déterminer les éléments matériels associés aux accusations contre BOUDAREL pour « crimes contre l’humanité ».

Après avoir mis en examen l’un des accusateurs en 1994 et recueilli 23 volumes de dépositions, le juge Getti a clos l’affaire sur une ordonnance de non-lieu en 1996

•à la suite de ce jugement, les accusateurs ont lancé une nouvelle procédure contre BOUDAREL, pour dénonciation calomnieuse.

Elle a été rejetée en 1998, au motif que la loi l’amnistie de 1966 éteignait aussi la possibilité de cette action.

En 2000 les accusateurs ont présenté leurs griefs à la Cour Européenne des Droits de l’Homme …

Celle-ci a mis un terme définitif aux procédures entreprises en 2003, considérant que la décision contestée était en fait celle de la Cour de cassation en 1993 : la demande avait été déposée hors délai.

On peut légitimement se poser la question : de quelles puissantes protections BOUDAREL a-t-il bénéficié ?




1 Ne jamais oublier que l’emblème et l’hymne de ce parti sont ceux de l’Union Soviétique, puissance étrangère dont une des principaux rêves était la conquête de l’Europe.

2 « Calqué de l’anglais « useful idiot », expression apparaissant dans l’usage aux États-Unis pour la première fois en 1948. L’expression sera attribuée plusieurs décennies plus tard, en pleine guerre froide, par des auteurs américains à Lénine.

Le terme s’appliquait à l’origine pour qualifier les Occidentaux sympathisants du communisme, qui reprenaient et répandaient, sans grand sens critique, la propagande de l’Union Soviétique. ». (Source Wikipedia.)

3 Les Francs-tireurs et partisans (FTP) ou Francs-tireurs et partisans français (FTPF) : nom du mouvement de « résistance » créé à la fin de 1941 par la direction du parti communiste, composé essentiellement de communistes et d’anciens des brigades internationales.

Il s’agissait d’unités de guérilla et de sabotage mises sur pied par le Front national (mouvement communiste de « résistance à l’occupant allemand », de 1941 à 1949.

Il refusa toute fusion avec d’autres mouvements de la Résistance.

Par les actions de ces unités, par sa propagande, les mots d’ordre d’action immédiate, de grève et d’action de masse il prépara l’insurrection nationale.

4 BOUDAREL a reconnu que durant l’année de son activité au camp 113, le taux de mortalité avait atteint 50 %.

Nos Anciens survivants assurent qu’il y eut 278 morts sur 320 prisonniers !

5 Pour de très nombreuses informations relatives à cette ordure, consulter les sites de l’ANAPI Association Nationale des Anciens Prisonniers Internés Déportés d’Indochine, et le site « Pieds Noirs aujourd’hui »

A nos "Anciens"

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« Je ne suis pas abattu, je n'ai pas perdu courage.
La vie est en nous et non dans ce qui nous entoure.
Être un homme et le demeurer toujours,
Quelles que soient les circonstances,
Ne pas faiblir, ne pas tomber,
Voilà le véritable sens de la vie ».

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