DES OBSEQUES PAS TRISTES

DE SOURCE : LE NOUVEAU  DETECTIVE  - THE TELEGRAH
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Par erreur… on diffuse un film porno en plein pendant sa messe d’enterrement !

Marie  29 janvier 2016
Un film pornographique diffusé pendant l'enterrement de Simon Lewis à Cardiff29/01/16 – Cardiff.
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Mercredi à Cardiff (Royaume-Uni), des centaines de personnes étaient réunies dans un crématorium pour rendre un dernier hommage à Simon Lewis et à son bébé. Malheureusement, les funérailles ont très mal tourné…

Victime à 33 ans d’un terrible accident de voiture le soir du réveillon, Simon Lewis est mort sur le coup. Sa femme enceinte, aussi présente dans la voiture ce soir-là, a réussi à survivre à la collision, heureusement. Mais pourtant, trois jours plus tard, le sort s’est acharné. La jeune veuve a dû être hospitalisée. Son bébé présentait une souffrance foetale, si bien qu’une césarienne a dû être pratiquée en urgence.

Un deuxième drame venait alors s’ajouter au premier. L’enfant n’a pas survécu à l’accouchement.

Simon Lewis

Perdre son mari et son bébé à quelques jours d’intervalle, quoi de plus tragique ? Rien à priori. Sauf quand les obsèques se transforment en un terrible moment.

En effet, ce mercredi, le jour des funérailles de Simon et de son fils, un film pornographique a été diffusé par erreur à la place de la vidéo d’éloge funèbre ! Oui, oui, vous avez bien lu ! Un film X !

Le prêtre s’est retourné pour démarrer la vidéo en hommage à Simon mais c’est un film porno qui a été projeté sur un des écrans », raconte une des personnes qui assistait à la cérémonie. « Tout le monde était choqué, furieux.
Cela leur a pris au moins quatre minutes pour éteindre », ajoute ce proche de la famille. Le révérend en charge de la célébration a indiqué qu’en trente ans de service, il n’avait jamais vu de telles grossièretés… On veut bien le croire !

Le conseil communal de Cardiff, dont dépend le crématorium, a demandé l’ouverture d’une enquête. De son côté, le crématorium a présenté ses excuses à la famille et aux proches de Simon Lewis. C’est ce qu’on appelle le service minimum.

Source : The Telegraph