Paras, bérets bleus, verts et rouges, tous unis ! Forum pour Parachutistes et Sympathisants de par le Monde |
| | Quizz de JP n° 102 | |
| | Auteur | Message |
---|
N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 56 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Quizz de JP n° 102 Ven Sep 12 2014, 23:21 | |
| Qui est-il ??? Et il est le dernier de quoi ??? | |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | milguerres
Nombre de messages : 1257 Date d'inscription : 13/01/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Ven Sep 12 2014, 23:25 | |
| | |
| | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 56 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Ven Sep 12 2014, 23:26 | |
| | |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | milguerres
Nombre de messages : 1257 Date d'inscription : 13/01/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Ven Sep 12 2014, 23:39 | |
| | |
| | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 56 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Ven Sep 12 2014, 23:42 | |
| oh trop mimi !!!! | |
| | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 56 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| | | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | milguerres
Nombre de messages : 1257 Date d'inscription : 13/01/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Ven Sep 12 2014, 23:46 | |
| - N Duchêne Leguy a écrit:
- Bonne nuit Milguerre, je me sauve au dodo... mal aux reins ce soir...
bonne nuit !! normal, c'est le changement de saison !! enfin je pense !! excellent week end | |
| | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 56 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Ven Sep 12 2014, 23:48 | |
| Oui on va dire ça, c'est rare pour moi...
Très bon week-end | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Sam Sep 13 2014, 00:48 | |
| |
| | | Invité Invité
| | | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 56 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Sam Sep 13 2014, 09:30 | |
| Oui Français et à fini Général Pour la médaille de la légion d'honneur il l'a eu en 1870. (ça peut être un indice) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Sam Sep 13 2014, 11:15 | |
| - cocoye1er a écrit:
En tous cas je suis éspanté, JP, que tu ne le connaisses pas, car il était un peu comme ton Papa: Instructeur d'artillerie (je crois) et il instruisait les Samouraïs Japs ... ni plus ni moins que Jules Brunet :50:
https://www.youtube.com/watch?v=GNsswwE3VZI
|
| | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 56 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Sam Sep 13 2014, 12:42 | |
| | |
| | | N Duchêne Leguy membre confirmé
Nombre de messages : 835 Age : 56 Emploi : Secrétaire / aide auxiliaire Puer. Date d'inscription : 10/08/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Sam Sep 13 2014, 13:04 | |
| Jules Brunet est originaire de Belfort. En 1867, il embarque pour le Japon au sein d’une équipe de militaires français qui ont pour mission de moderniser l’armée du Shogun, un seigneur samouraï. Un an plus tard, une guerre civile éclate avec l’empereur Meiji. Plus puissant et soutenu par de nombreux clans, il inflige une lourde défaite au Shogun. Mais Le corps d’élite formé par Brunet refuse de déposer les armes et se replie vers le nord. L’officier français connaît alors de nombreuses victoires sur l’île d’Hokkaido, mais l’empereur met fin à son épopée. Malgré une résistance héroïque, les troupes du shogun sont défaites, c’est la fin de l’ère des samouraïs. Jules Brunet, le dernier d’entre eux, choisit de rentrer en France où il s’apprête à participer… à la guerre de 1870.
armée de terre
Jules Brunet est né le 2 janvier 1838 à Belfort. Il fit partie de la mission militaire française envoyée au Japon par Napoléon III au dernier shogun Tokugawa, Toshinobu, en tant qu’instructeur d’artillerie. Sa tâche était de mener à bien la modernisation des armées nippones, au moment de la restauration Meiji. Après la défaite du Shogun, il se joint à la rébellion contre le gouvernement impérial, à l’instar du personnage fictif incarné par Tom Cruise, Nathan Algreen, dans le film d’Edward Zwick « Le dernier samouraï » dont le réalisateur s’est inspiré pour écrire son scénario. Le Dernier Samouraï a bel et bien existé. C’était un instructeur d’artillerie français du nom de Jules Brunet. Un polytechnicien qui, à sa sortie de l’école, décide de servir dans l’artillerie. Il est envoyé au Mexique où il fait ses preuves. À ce titre, Brunet recevra la prestigieuse Légion d’honneur. En 1867, il est nommé capitaine et part pour le Japon, participant à la première mission militaire française mandatée pour moderniser l’armée du shogun. Cette mission, sollicitée par Yoshinobu Tokugawa, a pour mission de faire des troupes du shogun, qui comprennent alors sept régiments d’infanterie, un bataillon de cavalerie et quatre bataillons d’artillerie, soit 10 000 hommes, une force moderne. Cependant, un conflit oppose les troupes shogunales aux armées du jeune l’empereur Meiji, ce dernier ayant décidé de recouvrer sa place sur la scène politique japonaise. Tandis qu’il reçoit le soutien des Américains et des Anglais, les Français prennent le parti du shogun. Malheureusement, après la défaite qu’il essuie durant la guerre de boshin en 1868 face aux troupes impériales, le shogun Tokugawa est contraint de restituer le pouvoir à l'empereur Meiji.
Un accord de neutralité est signé par les puissances occidentales que la France ratifie. La mission militaire française est forcée de quitter le Japon par un décret impérial. Cependant Jules brunet, accompagné par une poignée de ses officiers, refuse d’abandonner l’armée qu’il a formée et envoie une lettre à l’empereur napoléon III. Brunet entend rester au Japon pour y défendre les intérêts de la France. De ce fait, il choisit la voie de la désertion. Il organise la résistance de l’armée des "bakugun", les derniers samouraïs fidèles au shogun dirigés par Taekeki Enamoto, l’ancien Amiral de la flotte shogunale. Toutefois, la montée en puissance des armées impériales force les dissidents à s’enfuir à Hakodate sur l’île d’Hokkaido, depuis laquelle ils parviennent, grâce au plan français à s’emparer de la forteresse de Goryokaku.
MessagePosté le: Dim 30 Aoû - 10:35 (2009) Sujet du message: Jules Brunet et le Dernier Samouraï Répondre en citant Bien qu'il vecu au 19 eme Siecle , je pense qu'il merite un article ici : Jules Brunet est né le 2 janvier 1838 à Belfort. Il fit partie de la mission militaire française envoyée au Japon par Napoléon III au dernier shogun Tokugawa, Toshinobu, en tant qu’instructeur d’artillerie. Sa tâche était de mener à bien la modernisation des armées nippones, au moment de la restauration Meiji. Après la défaite du Shogun, il se joint à la rébellion contre le gouvernement impérial, à l’instar du personnage fictif incarné par Tom Cruise, Nathan Algreen, dans le film d’Edward Zwick « Le dernier samouraï » dont le réalisateur s’est inspiré pour écrire son scénario.
Le Dernier Samouraï a bel et bien existé. C’était un instructeur d’artillerie français du nom de Jules Brunet. Un polytechnicien qui, à sa sortie de l’école, décide de servir dans l’artillerie. Il est envoyé au Mexique où il fait ses preuves. À ce titre, Brunet recevra la prestigieuse Légion d’honneur. En 1867, il est nommé capitaine et part pour le Japon, participant à la première mission militaire française mandatée pour moderniser l’armée du shogun. Cette mission, sollicitée par Yoshinobu Tokugawa, a pour mission de faire des troupes du shogun, qui comprennent alors sept régiments d’infanterie, un bataillon de cavalerie et quatre bataillons d’artillerie, soit 10 000 hommes, une force moderne. Cependant, un conflit oppose les troupes shogunales aux armées du jeune l’empereur Meiji, ce dernier ayant décidé de recouvrer sa place sur la scène politique japonaise. Tandis qu’il reçoit le soutien des Américains et des Anglais, les Français prennent le parti du shogun. Malheureusement, après la défaite qu’il essuie durant la guerre de boshin en 1868 face aux troupes impériales, le shogun Tokugawa est contraint de restituer le pouvoir à l'empereur Meiji.
Un accord de neutralité est signé par les puissances occidentales que la France ratifie. La mission militaire française est forcée de quitter le Japon par un décret impérial. Cependant Jules brunet, accompagné par une poignée de ses officiers, refuse d’abandonner l’armée qu’il a formée et envoie une lettre à l’empereur napoléon III. Brunet entend rester au Japon pour y défendre les intérêts de la France. De ce fait, il choisit la voie de la désertion. Il organise la résistance de l’armée des "bakugun", les derniers samouraïs fidèles au shogun dirigés par Taekeki Enamoto, l’ancien Amiral de la flotte shogunale. Toutefois, la montée en puissance des armées impériales force les dissidents à s’enfuir à Hakodate sur l’île d’Hokkaido, depuis laquelle ils parviennent, grâce au plan français à s’emparer de la forteresse de Goryokaku.
La République éphémère
Enomoto décide alors de fonder la République d’Ezo, fondée sur le modèle américain. Il en devient président. Cette république éphémère durera six mois. L’armée de la République d’Ezo passe sous le commandement d’Otori Keisuke et de Jules Brunet en tant que commandant en second. Elle est divisée en quatre unités chacune menée par un officier Français. L’épopée prend fin le 30 juin 1869. 8 000 soldats de l’infanterie impériale débarquent sur l’île d’Hokkaido face au 800 soldats de l’armée Enamoto, immédiatement submergés. Le capitaine Brunet est contraint de fuir avant même la reddition avec ses officiers sur un bateau français ancré dans la rade d’Hakodate. Son épopée nippone touche à sa fin. De retour en France, il est condamné par la cour martiale. Cependant, le contexte politique national, qui a évolué, et les tensions naissantes entre la France et la Prusse font qu’il est très vite libéré pour prendre part au combat. Il sera fait prisonnier à Metz puis relâché pour ensuite participer à la répression de la révolte des communards à paris en 1871. Il atteindra le grade de général de division, grâce à l’appui du ministre de la guerre de l’époque, Chanoine, lui-même général qui avait la charge de… La mission militaire envoyée au japon. Le général Brunet meurt le 12 août 1911.
Wikipédia :
Jules Brunet, né le 2 janvier 1838 à Belfort et mort le 12 août 1911 à Fontenay-sous-Bois, est un officier militaire français dont le point culminant de la carrière est son activité lors d’une mission d’instruction au Japon. En effet, suite aux difficultés du Shogun qui conservait encore pour un temps le pouvoir politique, cet instructeur d’artillerie venu moderniser son armée de samouraïs, se joignit ensuite à ses troupes contre le nouveau pouvoir impérial nippon.
Premières années
Il est le fils de Jean, vétérinaire au 3e régiment de Dragon et de Laure Rocher. Élève de Polytechnique il fait l'École d’application de l’artillerie et du génie, il est affecté au 3e régiment d'artillerie. Brunet commence sa carrière militaire dans l’expédition mexicaine chère à Napoléon III. À son retour, il reçoit la Légion d’honneur, en récompense de ses brillantes qualités militaires, il est au régiment d'artillerie de la Garde impériale. En 1864, lieutenant il entre au régiment d'artillerie à cheval de la Garde impériale. Début novembre 1866, il fait partie de la mission envoyée au Japon sous les ordres du capitaine Jules Chanoine et qui arrive à Yokohama début janvier, afin d’instruire l’armée du shogun Yoshinobu Tokugawa.
Au Japon
Le shogun a, en effet, mesuré le retard pris dans la modernisation de son pays. Les puissances occidentales avaient imposé à Yoshinobu Tokugawa des traités qui sont, à l’instar de ceux passés naguère avec la Chine, jugés « inégaux », et qui ont fini par soulever des troubles à travers le pays et une vague de xénophobie. Les États-Unis d’Amérique, les Pays-Bas et la Russie s’en tiennent à une prudente neutralité. La Grande-Bretagne, de son côté, aide en sous-main les « clans de l’ouest », favorables au nouvel empereur (ou Tennō) Meiji qui ne représente encore que la puissance religieuse ; tandis que la France, toujours désireuse d’aider le Japon à s’industrialiser depuis le traité de paix, d’amitié et de commerce de 1858 et le succès de l’Exposition universelle de 1867, s’engage, pour contrecarrer les visées britanniques, sous l’impulsion de son ambassadeur Léon Roches, à soutenir le shogun, qui vient de subir les représailles des autres Occidentaux après une vague d’attentats à l’encontre de leurs résidents et de leurs comptoirs. Le capitaine Brunet, personnalité affable, communicative et d’une vive intelligence, va saisir rapidement les subtilités de la culture japonaise et subjuguer ses élèves artilleurs. C’est un bel homme qui en impose par une élégante stature (1,85 m), il s’exprime bien (il a un talent d’écrivain reconnu) et il a des goûts artistiques très développés qui ne déplaisent pas aux samouraïs (il excelle dans le dessin). Une solide fraternité d’armes se crée entre eux. Cependant, dès novembre, devant l’urgence de la situation, le shogun, ne croyant plus rattraper son retard, abandonne sa fonction shogunale au profit du jeune empereur Meiji avec l’espoir d’installer un gouvernement composé des seigneurs locaux (les daimyo) ; mais ce pouvoir collégial ne peut empêcher le coup d’État des partisans « réformistes » qui rétablissent, le 3 janvier 1868, le modèle de « l’ancienne monarchie ». Yoshinobu Tokugawa est poussé à prendre les armes par ses samouraïs, inquiets de perdre définitivement leurs prérogatives. Débute la guerre dite guerre du Boshin qui voit, le 27 janvier, les armées du shogun dispersées malgré leur large supériorité numérique par une force impériale déjà entièrement modernisée par les concurrents. Yoshinobu Tokugawa, après cette première défaite, se réfugie à Edo. Repoussant le plan de revanche de Léon Roches, il capitule le 27 avril à Edo qui est conquise, et se retire à Mito. La France dépitée rappelle son ambassadeur, se voit contrainte de proclamer sa neutralité et la mission Chanoine qui est désormais indésirable et sommée de quitter le territoire, se replie sur Yokohama pour être rapatriée en novembre.
De son côté, Brunet, empreint d’une éthique toute militaire refuse de revenir afin de continuer à « servir la cause française en ce pays »1, car il estime de son honneur de ne pas abandonner le shogun et ses fidèles samouraïs, des frères d’armes qu’il avait instruits. « […] j’ai décidé que devant l’hospitalité généreuse du gouvernement shogunal, il fallait répondre dans le même esprit »2. Mais Chanoine refuse sa démission et Brunet se retrouve dans une situation fausse. Le ministère de la guerre le placera finalement en congé d’un an sans solde le 6 février 1869, régularisant implicitement sa situation, mais en précisant qu’au Japon où il est toutefois autorisé, il n’aura désormais que le statut d’un simple particulier. Brunet a, semble-t-il, bénéficié d’un esprit de solidarité de corps. D’ailleurs, Roches continue de plaider auprès de l’Empereur la cause du shogun et huit officiers camarades de Brunet partiront le rejoindre. Les forces impériales, en surnombre, ont maintenant, grâce à leur artillerie lourde, la mainmise sur l’île de Honshu. Les troupes du shogun pour mieux résister se retranchent à Hakodate, sur l'île de Hokkaidō, et fondent le 25 décembre 1868, l’éphémère République d’Ezo dont Takeaki Enamoto est élu président. Brunet, conseiller militaire du ministère de la guerre, organise la défense et reprend l’instruction des soldats, jusqu’à la survenue de l’armée de l’empereur qui commence, le 30 juin, l’assaut de l’île par terre et par mer. Les quelque huit cents assiégés d’une infériorité irrémédiable doivent capituler. Brunet et les officiers français sont récupérés juste à temps par un aviso envoyé pour les soustraire aux représailles des vainqueurs (la torture est coutumière au Pays du soleil levant).
Officiellement, la France félicite le Mikado d’avoir rétabli l’ordre dans le pays mais n’acceptera pas de rendre l’officier qui a aidé les rebelles, sous prétexte qu’il est aux mains d’une autorité militaire indépendante. Rentré à Paris, Brunet reçoit un blâme réglementaire pour ingérence dans les affaires politiques d’un pays étranger, et son ministère le retire des officiers d’active par « suspension d’emploi ». Napoléon III approuve cette sanction, le 15 octobre. La France laisse courir le bruit que Brunet, passé en conseil de guerre, a été révoqué. En réalité, Brunet n’a pas été formellement désapprouvé mais il est en quelque sorte condamné à la discrétion absolue. Ainsi, dès le 26 février 1870, soit cinq mois avant que le Japon s’estime officiellement satisfait de la punition, Brunet est le directeur adjoint de la manufacture d’armes de Châtellerault, nomination qui n’a pas été insérée au Journal officiel. Dans le même temps, il contracte un beau mariage qui lui apporte une dot de cent mille francs et son ancien supérieur, le capitaine Chanoine, est son témoin. À aucun moment, son équipée japonaise ne lui sera reprochée.
Guerre de 1870
Brunet participera encore à la guerre franco-allemande, capitaine au 8e régiment d'artillerie à Metz où il sera fait prisonnier. Il est fait Officier de la Légion d'honneur3. Après la chute de l’Empire, il est au service de Versailles pour la répression de la Commune de Paris. S’ensuit un cursus militaire honorable et plus tranquille : attaché militaire en Autriche et en Italie, commandeur de la Légion d’honneur, chef de cabinet, en 1898, de Chanoine, devenu général et ministre de la guerre. Brunet finira général de division.
Le 11 mars 1895, le Japon qui vient de sortir d’une éprouvante guerre « moderne » avec la Chine, se rappellera cet ancien « samouraï » qui contribua à l’extinction de cette caste à laquelle, dès 1876 il avait été interdit de porter le sabre, en l’élevant au grade de grand officier du Trésor sacré du Mikado.
| |
| | | artificier
Nombre de messages : 1240 Age : 59 Date d'inscription : 25/02/2014
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Sam Sep 13 2014, 20:01 | |
| | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Sam Sep 13 2014, 20:17 | |
| Merci a Nat et au Chacal |
| | | Papa schulz Admin
Nombre de messages : 12008 Age : 64 Emploi : Apéro à plein temps! Date d'inscription : 23/10/2007
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Sam Sep 13 2014, 20:29 | |
| | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 Dim Sep 14 2014, 22:04 | |
| OK, Hayet n'en voulant pas, je prends la main pour le 103 |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Quizz de JP n° 102 | |
| |
| | | | Quizz de JP n° 102 | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|